TWB22: 04/07/23

Friday, April 7, 2023

Tournoi de Toulon U21 2009 France Chili

It's a series about how dominant FC Porto was in the 80's. If you are hard core tripeiro, it's a must.

When Pinto da Costa joined as president, FC Porto was the only club from the "Big Three" without European honours, but that quickly changed. The first final was played against Juventus for the 1984 Cup Winners' Cup, but Porto lost.Three years later, the team led by Artur Jorge, the name hand-picked by Pedroto, won its first European honour in a thrilling 2–1 victory over Bayern Munich in the European Cup 1986–87. The following year, Porto won the European Super Cup against AFC Ajax, and the Intercontinental Cup against Peñarol, making them the first Portuguese winners of the two cups.

Benfica 1982 1983 Review

1ere journee

22 Aout 1993

Estádio do Dragão

Foi a 24 de Março de 1935 que Benfica e FC Porto se encontraram pela primeira vez em Lisboa para disputar um jogo da Liga, no velho Campo das Amoreiras, com arbitragem do lisboeta Manuel Marques. A partida, a contar para a 10ª jornada da prova, a apenas cinco jogos do final do Campeonato, levava um FC Porto extremamente moralizado a Lisboa, fruto de cinco vitórias consecutivas, que lhe garantiam a liderança da Liga, com 3 pontos de vantagem sobre Belenenses e 4 sobre Sporting e Benfica.

Unione Sportiva Salernitana was founded on 19 June 1919 by Adalgiso Onesti, who initiated the merger of an older club using the same name; which itself was founded in 1911 by a merger of four local clubs; and Foot-Ball Club Salerno.The club was known as Società Sportiva Salernitanaudax for a time during the 1920s. It can be argued that Salernitana's best period as a club was 1997–1999. In the 1997–98 season, Salernitana topped Serie B and gained their second promotion to Serie A (first was in 1947–48). A young Marco Di Vaio led the scoring charts with 21 goals. In the 1998–99 season, their first in Serie A after 50 years, Salernitana fought hard and were led by Cameroonian international Rigobert Song and Salvatore Fresi in defense, a young Gennaro Gattuso in midfield, and Marco Di Vaio and David Di Michele leading the attack. They recorded surprise wins against Inter, Juventus, Roma and Lazio. Unfortunately, they finished 1 point shy of salvation and were relegated.Since then, the club did not manage to return back to the top flight, and was excluded by Serie B in 2005. A new club, who started back from Serie C1, was then established. In 2008, Salernitana finally returned back to Serie B as Serie C1/B champions.

Au stade Giuseppe-Meazza, majestueux avec ses 85 000 places assises, ils aiment raconter le temps passé. Les heures héroïques de ce club qui a vécu deux périodes dorées, deux périodes de grâce. Avec deux hommes de légende : l'attaquant Giuseppe Meazza et l'entraîneur Helenio Herrera. Deux hommes qui ont su faire de l'Internazionale Milano, plus connu dans le monde sous le diminutif d'Inter, une équipe respectable mais aussi à l'identité forte. Meazza, par exemple, a été la première star lombarde - et même les supporters de l'ennemi local, le Milan AC, lui reconnaissaient un talent immense et un comportement humain exemplaire dans la vie quotidienne. Meazza, dans les années 1930, c'est 247 buts marqués pour l'Inter. Une légende, on vous dit! Helenio Herrera, lui, va inventer un style de jeu. Entraîneur d'origine argentine et officiant au FC Barcelone, il va devenir un maître du jeu de football.

22 Mars 1987
San Siro Milan

Bienvenue en Italie. C'est par l'humour acide d'une banderole portant ces trois mots que les suppçrters de Naples furent accueillis, il y a quelques semaines, dans un stade du nord de l'Italie. Et par un chapelet de quolibets: — Alors, vous vous êtes lavés, ce matin? — Vésuve, ne les rate pas comme en 1980! — Bonjour les analphabètes. Ça vous plaît, la civilisation ? Les stades de football sont souvent le théâtre de comportements ridicules qui caricaturent les conflits régionalistes. Entre le sud de l'Italie, « maudit », et le nord, industriel, celui-ci est bien réel. Le calcio, avec les passions démesurées qu'il engendre, est un terrain propice à l'expression grotesque des rivalités. Pour Naples-la-déshéritée, il est aussi un moyen de trouver des motifs d'orgueil. Ainsi, au début du mois de mai, tout un peuple de Napolitains se préparait déjà à fêter un événement considérable : le premier « scudetto » (titre de champion) de la «Societa Sportiva Calcio Napoli » et, par conséquent, le premier pied de nez aux grands clubs du nord, Juve ou Inter. Une date historique pour le club qui, à travers soixante ans d'histoire (il fut officiellement fondé en 1926) n'a jamais récolté que des accessits : deuxième en 1968, troisième en 1966, 1971, 1974, 1981 et 1986 (plus deux victoires en Coupe, 1962 et 1976).

Rivoluzione in Campionato comincia l'era dai tre punti e il nostro calcio diventa più combattuta e appassionante. Rivoluzione, anzi rifondazione alla Juve. Gianni Agnelli. l'Avvocato, lascia per il fratello Umberto. Il Commando delle operazioni e affidata alla triade. Giraudo-Bettega-Moggi. Arriva un nuovo prometlentissimo allenatore. Marcello Lippi. La Juve del nuovo corso e la principale avversaria del Milan super decorato. La prima fase vede protagonista il Parma in fuga, poi agganciato dalla Juve che vince il titolo d'inverno e, a due giornate dalla fine, conquista lo scudetto e celebra Alessandro Del Piero, talento dai piedi d'oro Seconda, a pari merito con il brillante Parma, la Lazio di Zdenek Zeman e del collaudatissitno cannoniere Beppe Signori

Prima di Zico. però, ci sono almeno altre due stagioni da raccontare, due stagioni che testimoniano la crescita graduale della squadra e della società. Dopo la soffertissima salvezza Sanson abbandona per motivi di salute e rimette le sue azioni nelle mani del sindaco Candolini. Meno di un mese dopo l'Udinese viene acquistata da Lamberto Mazza. Nel frattempo 1' 11 giugno si registra il secondo scudetto della Primavera le cui stelle si chiamano Gerolin. Miano. (Tinello. Papais. perni dell'Udinese del domani: un'Udinese che riparte da Franco Causio. scartato dalla Juventus. ma che grazie alla splendida stagione in Friuli si toglierà la soddisfazione di essere covocato da Bearzot per i mondiali di Spagna. L'Udinese precede il Milan terz ultimo di due punii ma già a tre domeniche dalia conclusione, grazie al successo di Bologna, i bianconeri sono matematicamente salvi. L'Udinese sta diventando grande, investe sul mercato e. dopo Causìo. nella stagione '82-83 arrivano il brasiliano Edinho e lo Iugoslavo Suriak: sul mercato italiano vengono pescali Mauro. Corti e Pulici. Siamo ancora nell'epoca dei due punii a vittoria e l'Udinese non paga dazio per i venii pareggi oiienuti in trenta partite. A fine campionato le vittorie saranno sei. le sconfìtte quattro. L'era Zico è alle porte.

Quando una squadra vince qualcosa, subito si parla di "gruppo", si straparla di "amicizia", si dà immancabilmente merito della conquista alla "serenità dell'ambiente". Il calcio, spesso, ci racconta storie diverse, storie di allenatori "attaccati" agli armadietti, di calciatori che a malapena si rivolgono la parola o si passano la palla. Nessuna di queste storie, tuttavia, è paragonabile a quella della Lazio che, nei primi anni settanta, conquistò uno scudetto, giocando veramente contro tutti, anche contro sè stessa. E vinse.Questa ricostruzione vuole essere un atto di ammenda nei confronti di quella squadra che non ricevette a suo tempo, almeno dal pubblico neutrale, il giusto riconoscimento ai propri meriti.

8 Avril 2012
Parc des Princes Paris

Deux nuls et deux défaites pour l'un, neuf défaites et un nul pour l'autre : les séries en cours des deux clubs dessinent une opposition entre un Paris qui patine et un Marseille qui dévisse. L'OM peut profiter du choc pour réveiller sa confiance en vue de la finale de la Coupe de la Ligue, samedi. Pour le PSG, il s'agit d'effacer le fiasco du match aller (0-3). Et, surtout, de réagira la victoire de Montpellier contre Sochaux..

Coupe de France 2008 2009 Guigamp Rennes

Friendly 1967 France URSS

Final

24 june 1995
Olympiastadion Berlin

Dix heures trente. Le parvis de la Gedechtniskkhe est déjà bien encombré. L'avant-match se prépare ici, chaque année, A l'ombre de cette splendide église berlinoise, aujourd'hui symbole de la paix, dans un océan d'écharpes et de drapeaux. Une démonstration de force, te plus souvent dans la bonne humeur. Cette saison, le vert est à la mode. Couleur dominante des deux heureux finalistes, le VfL Wolfsburg, la quatrième formalion de D2 à atteindre la finale (neuf clubs amateurs ont également réalisé cet exploit), et le prestigieux Borussia Mônchengladbach, au régime sec depuis 1977. La foule compacte, hilare et braillarde défte vers le stade Olympique de Berlin. La finale de la Coupe d'Allemagne y a élu domicile depuis onze ans, histoire de se créer, sur le modèle de la FA Cup anglaise, une unité de lieu et d'action. Mais Berlin n'est pas Wembley. Ici, l'atmosphère est plutôt de celle qui règne lors d'un Superbowl de foot américain, parfumée au houblon et à la saucisse chaude. Mais, sur cette rencontre uflime, point final de la saison, planent aussi de plus douces fragrances. Celles du formidable parcours accompli par les amateurs du Bayem Munich (en Allemagne, comme aux Pays-Bas, chaque équipe pro peut engager également sa Réserve en Coupe), brillants quarts de finalistes. Tombeurs du Werder Brème et du VfB Stuttgart, deux formations de D1, ils se sont finalement inclinés de justesse contre Wolfsburg.

World Cup 1994 Bulgaria Germany

Second Round Group B
3 Juillet 1974
Waldstadion, Frankfurt

Just because it’s the World Cup doesn’t mean everything about it need be of World Cup quality. Take the pitch in the 1974 semifinal between hosts West Germany and Poland, for example it looked like it belonged hosting the 400m butterfly at the Summer Olympics rather than a World Cup game. And that’s precisely why it became known as the Wasserschlacht, German for water fight. The game wasn’t a semifinal, per say, but it was: the winner would win up winner of Group B and thus unofficially, it was a semifinal. Therefore it was a largely important game. Factor in German-Polish relations and, well, wars have been started over less.

Ce jour-là, Hennes Weisweiller, l'entraîneur de Cologne, portait le masque chagrin de l'homme en proie à une grosse contrariété. Il aboyait ses consignes sur un ton encore plus cassant qu'à l'habitude. L'entraînement terminé, alors que les joueurs regagnaient le vestiaire pour une douche réparatrice, ses cheveux blancs apparurent dans l'encadrement de la porte des douches. « Preben, dans mon bureau!» Elkjaer Larsen, blondinet gringalet d'une vingtaine d'années, posa sa serviette en souriant et s'exécuta. Weisweiller ferma la porte et invita le joueur à s'asseoir. « Hier, tu as été en discothèque, commença le patron du F.C. Köln. On t'a vu partir avec deux jeunes femmes après avoir descendu une bouteille de whisky. Est-ce ainsi que tu espères devenir un grand joueur professionnel ? » Elkjaer fit mine de protester : « Mais, c'est faux... » Weisweiller le coupa d'un geste : « Ne me dis pas que c'est faux. Je suis sûr de mes informations, » Alors, superbe de décontraction et retrouvant son éternel sourire, Elkjaer rétorqua : « C'est absolument faux, Herr Weisweiller. Ce n'était pas du whisky, mais de la vodka ! »

Demie Finale
Stade La Pontaise Lausanne
30 June 1954

Overwhelming favourites to win the 1954 World Cup, Hungary arrived in Lausanne for their semi-final against Uruguay having suffered only one defeat in the preceding four years. Their opponents were defending champions, and had never lost a World Cup match in their history, winning both previous tournaments they had entered. One record had to give, and the stage was set for a match which would go down in history as one of the greatest football matches ever played.

7 Aout 1982
Giants Stadium East Rutherford

« Imagine le monde partageant tout... Tu peux dire que je ne suis qu'un rêveur, mais je ne suis pas le seul... J'espère un jour que tu nous rejoindras et que le monde ne sera qu'un... » C'est ce que pouvaient entendre les quatre-vingt mille spectateurs venus en masse, en ce soir d'été new-yorkais, applaudir les vedettes du «FIFA World All Stars Game ». match organisé au profit de l'U.N.I.C.E.F. et donc, par voie de conséquence, au profit de l'enfance malheureuse dans un monde que John Lennon. l'auteur des paroles, avait imaginé qu'il pourrait être, un jour, uni. Lui qui paya cette folle idée de sa vie... Assis entre mes amis, Lawrie Miflin du « New York Times » et Paul Gardner, j'eus, dès le début l'impression d'assister à une soirée exceptionnelle. Mieux, rare. Une folle nuit à la dimension de l'Amérique.