Sunday, May 29, 2011

Cup Winners Cup 1977 1978 St Etienne Manchester United

Round One
First Leg
Stade Geoffroy-Guichard,
St Etienne

Attendance 34 000.
Referee : M. Biwersi
 Le doux soleil de cet après-midi d'automne stéphanois n'annonçait pas une soirée grinçante. A première vue, dans la ville, le ton de l'avant-match était à la discrétion. Pour la première fois depuis longtemps, le président Rocher n'assistait pas au repas d'avant-match. Coupe des Coupes / Une Coupe d'Europe en second ? Dès quinze heures, les premiers arrivés se pressent aux abords de la nouvelle boutique des « Verts » construite à l'entrée du stade, s'emmêlant parfois les pieds dans les câbles des caméras de Pierre Badel, qui doit diffuser le match vers l'Angleterre et... la Yougoslavie. Isolés, quelques jeunes supporters anglais, torse nu, se font bronzer au soleil. Gentils, en apparence ! Rien à voir, à première vue, avec les cinq voyous qui ont brisé la veille la porte vitrée du Grand Hôtel et qui ont été appréhendés, dont deux avec un couteau, par la police appelée au secours. « Ils ont sorti des poignards ! », m'avait dit le matin le barman. A cette heure, les brebis galeuses sont au frais, au poste. Au cours du repas des journalistes, des confrères anglais se sont inquiétés de savoir comment était le public stéphanois, après avoir appris que les partisans de Manchester (1 500) seraient mêlés à ceux des Verts dans les tribunes populaires.

Le parking du stade se bouche peu à peu. Un camion blanc immatriculé 78, une 504 bleue 87, une Méhari verte 19 : on est venu de loin pour encourager les Verts. Une R 8 avec 34 sur sa plaque est venue de Montpellier avec à son bord quatre filles en jeans et un garçon aux faux-airs de Rocheteau. Ils s'appliquent, tranquilles, à coller leur pare-soleil qu'ils viennent d'acheter à la boutique des Verts. Tout à l'heure, un type est venu les saluer: « Vous êtes de l'Hérault. Moi aussi... » 15 h 30 : la première perruque verte fait son apparition portée par un gaillard qui salue dans une R4 décapotée. 16 h 09 : arrivée de costauds venus de... Bayonne. 16 h 28 : entrée comme pour une parade des autocars des supporters parisiens. Ouverture des portes. En lever de rideau, les juniors de Saint-Etienne affrontent le onze de Montbrison. Coup d'envoi : 18 heures. 19 heures : l'armée rouge de Manchester fait son entrée dans les gradins debout sud, drapeaux et écharpes brandis. Quelques centaines... Courageusement, ils s'installent au beau milieu des gradins mais face aux spectateurs avant d'entamer une étonnante marche vers le haut qui.provoque les premiers remous. Premiers jets de projectiles, premiers chants des Anglais. 19 h 05 : premières bagarres sérieuses. Et puis ce sera l'enchaînement: des bagarres de plus en plus violentes. Des jets de projectiles divers. La panique qui s'empare du public sous les yeux atterrés du président Rocher. Des spectateurs affolés franchissent les grilles et se réfugient sur le terrain. Premiers blessés qui restent à terre. Les bagarres, bien que brèves, sont devenues plus graves. Malheur à l'Anglais qui se fait coincer sur la pelouse. Qui a frappé le premier ? On ne le saura jamais. La police a un mal fou à se frayer un chemin sur le lieu des combats et devra recourir à la brutalité pour évacuer du stade les plus excités et les plus dangereux des Anglais. Honte sur Manchester ! Plusieurs dizaines de blessés. Depuis bien longtemps déjà, les juniors de Saint-Etienne et l'équipe de Montbrison ont quitté le terrain. Une sombre fumée grise monte des cheminées et se déverse sur le stade. Ce soir, le diable devait être au rendez-vous...
L'ordre semble rétabli. Quelques Anglais sont même de nouveau rentrés dans les tribunes avec, entre eux et les Stéphanois, un espace d'un mètre qui ne sera jamais plus comblé.

A l'annonce de la composition des équipes, gros succès pour Barthélémy et pour le remplaçant de luxe... Dominique Rocheteau. D'entrée, Buchan dégage en corner. Tiré par Sarramagna, dégagé de nouveau par Mac llroy. Re-cor-ner, tête de Sarramagna. Récupération de Mac Grath pour Pearson. Hors-jeu. Un centre de Santini, dangereux. Réponse de Me llroy. Pearson, déjà lui, manque de peu la reprise. Première montée de Piazza. Sans succès. Quelques secondes plus tard, Osvaldo est en difficulté devant Pearson. But de Hill. Hors-jeu... Comme à l'habitude, les Verts vont tenter le forcing mais les Anglais rendent coup pour coup (dans le bon sens du terme). A un dégagement en catastrophe de Bathenay succède un arrêt-miracle de Step-ney. Au bout de trente minutes, la poussée verte se fait plus forte. Patrick Revelli, Barthélémy frappent violemment aux carreaux avant que Santini, ayant reçu le ballon de Sarramagna, ne manque l'immanquable. Dès la reprise, les Anglais sont dangereux par Pearson, puis par Coppell. Rocheteau s'échauffe. Lopez, Janvion, Bathenay sont à deux doigts d'ouvrir. Rocheteau remplace Barthélémy. Sans s'émouvoir, Pearson tire au ras du poteau. Les premières réactions de Rocheteau sont lumineuses. Un échange avec Sarramagna aboutit à un corner, L'entrée de Dominique redonne du tonus à la ligne d'attaque. Hill puis Me Grath se font refuser deux buts pour hors-jeu justifiés. Rocheteau et Bathenay tentent leur chance. Soixantième minute, Pearson échappe à Farison, centre sur Hill. Reprise instantanée. Saint-Etienne : 0 — Manchester : 1. Jamais vu depuis la visite déjà lointaine du Legia. 79" minute : sursaut d'orgueil stéphanois. Synaeghel égalise entre deux défenseurs anglais. Greenhoff a été remplacé par Orston, Me llroy par Grimes. Bathenay et Patrick Revelli veulent emporter la décision. Mais Hill, par deux fois, fait courir le frisson. Une ultime montée sans succès de Piazza. Malgré quelques yeux au beurre noir, les supporters anglais peuvent chanter.


Tard dans la nuit, les radios donneront des nouvelles alarmantes sur l'état de certains blessés faisant un peu passer au second plan, sur le moment, les excellentes performances des trois autres représentants français en Coupe d'Europe : Nantes, Bastia et Lens. Une nuit noire à oublier. Dimanche 18 septembre: réunion extraordinaire de la commission de discipline de l'UEFA. Décision brutale : Manchester United est disqualifié. Saint-Etienne est qualifié pour le tour suivant. Il n'y aura pas de match retour. Pour l'exemple... Paradoxalement, la presse anglaise se déclare plus satisfaite de cette dure sanction que la presse française. Les joueurs de Saint-Etienne soulignent l'injuste punition pour des joueurs qui ont été des adversaires corrects. Robert Herbin sait que Manchester United peut encore faire appel. Il décide de maintenir ses joueurs sous pressing. Lundi 25 octobre : c'est l'incroyable retour en arrière de l'UEFA. La décision précédente est annulée. Le match retour devra avoir lieu avant le 5 octobre sur un terrain situé au moins à 200 kilomètres de Manchester. Le club de Manchester est aussi condamné à payer une lourde amende. Il se murmure d'abord que la rencontre pourrait avoir lieu à Londres. On cite les terrains d'Arsenal et de Chelsea. Puis se dessine la possibilité de Wembley. Au matin du mercredi 28 septembre, date des matches retour du premier tour, c'est le nom d'Aberdenn en Ecosse qui est cité jusqu'à ce qu'on apprenne en fin de soirée que c'est finalement sur la ville de Plymouth, port célèbre au sud-ouest de l'Angleterre, que sont tombés d'accord Saint-Etienne-Manchester. Date prévue : mercredi 5 octobre. Robert Herbin avait bien raison de maintenir ses troupes sous pressing.


Saturday, May 28, 2011

Cup Winners Cup 1983 1984 Manchester United Barcelona

Quarter Final,
Second Leg
21 March 1984
Old Trafford,
ManchesterAttendance: 58,350
Referee: Paolo Casarin

 This now defunct competition was an old-fashioned two-legged knock-out. United, managed by Ron Atkinson, had qualified after winning the FA Cup after a final replay with Brighton and Hove Albion. Barcelona meanwhile, suffering a decade without a Liga title, had won the Copa Del Rey by beating Real Madrid in an unforgettable final. In that game, Diego Maradona had finally begun to look the part under the coaching of compatriot Cesar Luis Menotti.

March 1984 saw a meeting of two clubs both largely confined to cup successes during that era. The first leg took the tie to the Camp Nou where United put up a decent account of themselves but fell to an own-goal from young Scottish defender Graeme Hogg and a late blockbuster from Juan Carlos Rojo. Back at Old Trafford it seemed United had been handed mountain to climb. Yet on a night still remembered by fans of an evermore August vintage, the roof was very nearly taken off the Stretford End by a United performance matched by the ear-splitting baying from the stands. Bryan Robson, the subject of rumoured bids from Juventus and AC Milan, put Maradona in the shade with the type of lung-bursting and inspirational performance that gave him the monicker "Captain Marvel". First, Robbo threw himself headlong to bravely nod in a Ray Wilkins corner. Five minutes into the second half, Robson seized on a mistake from Javier Urruticoechea in the Barcelona goal to put the tie level. Robson then played a leading role in the clincher, playing a raking ball out wide to Arthur Albiston. Norman Whiteside headed back across the full-back's ball in and Frank Stapleton was the coolest man in the postcode as he slotted home. Ecstatic scenes on the terraces followed. There was still time for Bernd Schuster to curve a shot inches wide yet the night ended with Robson being carried from the pitch by hordes of fans all exhorting him to stay.

Football Funnies

Tuesday, May 24, 2011

UPDATE





Friendly 1977 USSR Poland

september, 07  1977
Central Stadium Volgograd
40000 spectators

referee:  Bela Nagy (Hungary)
 
USSR: Pilguy, Golubev, Makhovikov ( 78` Zhupikov), Bubnov, Prigoda, Buryak, Chesnokov (75` Chelebadze), Bessonov (68` Minayev), Veremeev, Blokhin. 
Coach: Nikita Simonyan.

Poland: Kukla, Dziuba (79` Rudy), Wieczorek, Zmuda, Maculewicz, Erlich (76` Kmiecik), Nawalka, Boniek, Masztaler, Lato, Terlecki. 
Coach: Jacek  Gmoch.

1:0 (6`) Buryak (11 m),  2:0 (47`) Chesnokov,
2:1 (57`) Lato, 3:1 (71`) Blokhin, 4:1 (75`) Blokhin.


Sunday, May 22, 2011

Football Funnies

Brazilian Championship 1987 Flamengo Santa Cruz


Place: Maracanã, Rio de Janeiro (RJ)
Date: 22/11/1987
Referee: Nei Andrade Nunesmaia
Attendance: 67.601

FLAMENGO: Zé Carlos, Leandro Silva , Leandro, Edinho
e Leonardo; Andrade, Ailton e Zico; Renato Gaúcho (Alcindo),
Bebeto e Zinho - Coach: Carlinhos.

SANTA CRUZ: Birigüi, Orlando, Lula, Ivan e Lóti;
Zé do Carmo e Ataíde; Cardim (Régis), Dadinho,
Édson (Sérgio) e Gílson Gênio - Coach: Abel.

Paulista Championship 1981 Ponte Preta Guarani


05/08/1981
Campeonato Paulista
Place: Moisés Lucarelli (Campinas)
Referee: José de Assis Aragão
Attendance: 21.948

Ponte Preta: Carlos, Toninho Oliveira, Juninho,
Nenê e Odirlei; Zé Mário, Humberto
(Marco Aurélio) e Dicá; Osvaldo, Chicão
(Jorge Campos) e Serginho. Técnico: Jair Picerni.

Guarani: Birigüi, Chiquinho, Mauro, Édson e
Almeida; Jorge Luís, Éderson (Tadeu) e
Jorge Mendonça; Lúcio, Careca e Ângelo. Técnico: Zé Duarte.

Tuesday, May 17, 2011

Serie A 1998 1999 Perugia Milan Ac Decisive Scudetto

23 mai 1999
Stadio enato Curi Perugia


  Leggendo una lettera di una ragazza di Pisa mi è venuto in mente di scrivervi per raccontarvi la spettacolare e triste trasferta di Perugia!!(ultima partita dell'ultimo scudetto!!) Ricordo quella giornata come se fosse ieri anche se oramai sono passati anni... Partimmo da Milano con il solito treno speciale.Eravamo tantissimi sul treno la gente era ammassata sui corridoi!!Molti partirono con i pulman e le macchine e,molti erano senza biglietto!! Ma tutti uniti e pieni di speranze nel vedere il grande milan vincere lo scudetto!! Arrivammo a Perugia e,una volta scesi tutti dal treno,ci scortarono allo stadio a piedi!!Ci fu un corteo di massa!! A poco a poco si incominciava ad intravedere lo stadio.......ero pieno di ansia,non vedevo l'ora della partita! Ma non potevo immaginare cose stava per succedere! Eravamo davanti ai cancelli,i numerosi tifosi senza biglietto cercavano di sfondare e nel giro di pochi secondi ci fu un vero e proprio inferno!!In un attimo mi trovai con a destra gli sbirri che caricavano e a sinistra tutta la sud!Rimasi per alcuni minuti a far scontri con gli altri,ma dopo decisi di entrare e proseguire da dentro i cancelli!! Sembrava che la 'battaglia' non finisse mai!! 

Saturday, May 14, 2011

Brazilian Championship Final 1990 Corinthians Sao Paulo


16/12/1990
Place: Morumbi (São Paulo-SP);
Attendance: 100.858;
Referee: Edmundo Lima Filho (SP);


CORINTHIANS: Ronaldo, Giba, Marcelo Djian,
Guinei e Jacenir; Márcio, Wilson Mano e Neto
(Ezequiel); Fabinho, Tupãzinho e Mauro
(Paulo Sérgio). Coach: Nelsinho Baptista.


SÃO PAULO: Zetti, Cafu, Antonio Carlos,
Ivan e Leonardo; Flávio, Bernardo e Raí
(Marcelo Conti); Mário Tilico (Zé Teodoro),
Eliel e Elivélton. Coach: Telê Santana.

World Cup Qualifying 1985 Paraguay Brazil


Data (Date): 16-06-1985
 (HLs 45mins)
Competição:
Eliminatórias da Copa do Mundo (World Cup Qualifying)
Local (Place): Estádio Defensores del Chaco
Cidade (City): Assuncion (Paraguai/Paraguay)
Árbitro (Referee): G. Castro (Chile)

Brasil (Brazil): Carlos, Leandro, Oscar, Edinho,
Júnior, Toninho Cerezo, Sócrates, Zico, Renato Gaúcho
(Alemão), Casagrande, Éder. Técnico (Coach): Telê Santana

Paraguai (Paraguay): Ever Almeida, Virginio Cáceres,
Rogelio Delgado, César Zabala, Justo Jacquet -
Gustavo Benítez (Enrique Villalba), Jorge Amado Nuñes,
Julio César Romero "Romerito" - J. Villalba,
Buenaventura Ferreira, Alfredo Damian Mendoza
Técnico (Coach): Cayetano

Tuesday, May 10, 2011

update




update

Torneo De Verano 2002 Boca Juniors River Plate

Copa Revancha
January 26, 2002
Stadium José María Minella,
Mar del Plata

Referee: Héctor Baldassi
Suspended at 59'

  Bastante más acá en el tiempo que el llanto de 1931 y un par de años antes que el arañazo de 2004, el superclásico del fútbol argentino tuvo otro capítulo que dejó a las claras cómo el nerviosismo puede alterar el comportamiento humano. Pero a diferencia de lo que pasó en 1931, esta vez los que prefirieron tirar la toalla antes de tiempo no fueron los jugadores sino unos pocos simpatizantes de la hinchada millonaria. Hecha la introducción, hay que zambullirse en la noche marplatense del 26 de enero de 2002, sin dejar de mencionar un pequeño detalle. Tres días antes, en el Malvinas Argentinas de Mendoza, River se llevó la Copa Desafío al ganar polémicamente 5-4 por penales. Lo de polémicamente se explica porque el único penal errado de los diez que se patearon fue el de Omar Pérez. El Pelado la picó, la pelota pegó en el travesaño y rebotó claramente adentro del arco, pero el línea no vio el gol y River festejó en forma totalmente desmesurada el triunfo. Es muy probable que a los jugadores de Boca no les haya gustado ni medio la mojada de oreja y salieron ese sábado en La Feliz pisando el acelerador a fondo. A los 4 minutos, cuando Carreño marcó el primer gol, Boca ya había rifado dos chances claras. A los 12 el Pelado Pérez tuvo su revancha y puso el segundo. Y a los 15 un Chelotazo desde lejos le perforó las manos (?) a Comizzo. Unos minutos antes, Willy Caballero le atajó un penal al refuerzo estrella (?) de River, el uruguayo Fonseca. Lo que estaba pasando en el campo de juego no se podía creer. Boca, con un equipo lleno de pibes le estaba pegando un baile descomunal a los titulares de River. 

Monday, May 9, 2011

Football Funnies

Football Funnies

Friendly 1979 Italia Argentina

26 mai 1979
Olimpico Roma


 Lorsqu'au mois de juin de l'année dernière, à Buenos Aires, l'équipe d'Argentine avait gagné la Coupe du Monde contre la Hollande, il n'avait pas manqué d'esprits chagrins pour signaler que cette victoire était essentiellement due à la chance (reprise de Rensenbrink sur le poteau en fin de seconde mi-temps), au jeu viril des Argentins et, bien sûr, au soutien des 80 000 spectateurs du Stade Monumental. Répondons d'abord sur ces trois points. Les tirs sur la barre ou sur le poteau ne sont pas des buts et il ne sert à rien de refaire sans cesse l'histoire d'une rencontre avec des « si », surtout après un score victorieux par deux buts d'écart. Deuxièmement, le jeu viril des Argentins n'avait rien à envier au jeu viril des Hollandais et l'on ne peut que regretter la tension qui préside à presque toutes les rencontres de haut niveau. Enfin, l'aide psychologique certaine du public argentin, d'ailleurs très correct, ne peut pas être reprochée aux hommes de Menotti, pas plus que celle du public allemand pour les siens lors de la finale du W.M. 1974 à Munich.

Saturday, May 7, 2011

Bundesliga 2010 2011 Werder Bremen Bayer Leverkusen


There is no dressing up the fact that Bremen are in trouble. Every week Thomas Schaaf and co must wonder when the club's fortunes will improve, only for things to get even worse. Last weekend's 4-0 defeat in the Nord derby to rivals Hamburg was a sickening experience for all concerned with the club, especially 250 fans in particular who sought answers from the team. Their is certainly a contrast in fortunes between the two sides heading into Sunday's crucial game between Bremen and Leverkusen. Leverkusen come into the game on the back of a 4-2 victory over Stuttgart and a 6-0 aggregate win in the Europa League over Metalist Kharkiv to send die Werkself into the last 16. 

Wednesday, May 4, 2011

Primera Division 1992 1993 Real Madrid Seville

 A l'issue de longues négociations, Diego Armando Maradona est transféré du SSC Napoli au Sevilla Futbol Club. Un contrat d'un an, avec option sur une deuxième saison, et de 7,5 millions de dollars. Environ 38 MF. Sur le bord de la piscine de l'hôtel Andalousi Park, où il s'est retranché le 19 avec femme, filles, père, belle-mère, manager, avocat et toute la clique, Maradona fond en larmes. Il remercie la planète entière, Ferlaino compris ! « On m'a exposé comme le pire des criminels. Mais aujourd'hui le cauchemar est terminé. Je veux que ma famille redevienne fière de moi. » Et de promettre qu'un petit Maradona naîtra en Andalousie. Les voisins de la suite royale n° 113 passeront une nuit blanche. Champagne ! Dans l'après-midi du 27, Maradona ne tient plus en place. On lui administre un calmant. Il dormira une vingtaine d'heures. Son excitation n'est pas fortuite. Après quinze mois de pénitence, pour consommation de cocaïne, et trois autres mois d'abstinence, il effectue le lendemain son grand retour sur un terrain de football. Presentations officielles contre le Bayern de Lothar Matthaus. l'autre convalescent notoire. A l'occasion d'un des huit matches amicaux programmés dans le cadre de son transfert et destinés à éponger la lourde dette qu'il aurait contractée au pied du Vésuve. 

Monday, May 2, 2011

English Leagues the 60s: Chelsea Manchester United Division One 1968 1969

Match of The Day
Stamford Bridge,
London
Saturday 15 March 1969


 The arrival of Dave Sexton as Chelsea's manager did nothing to dull the artistry of a side that painted on a broad canvas. In the next two years, they joined the privileged English masters in the European winners' academy.
The style and free spirit of their football was matched by that of the European champions Manchester United when a crowd of 60 000 saw
the teams walk out side by side in front of BBC cameras. Bobby Charlton was injured, but George Best was there, so was Denis Law, and Peter Osgood was back for Chelsea. The match was a thriller.
David Webb put Chelsea ahead in the first minute, Ian Hutchinson made it 2—0, then Steve James pulled one back for United.
In the second half, Bobby Tambling ran half the length of the pitch for Chelsea's third, and Law scored from a penalty.
But there was still time for humour in the game of the 60s.
The cameras caught referee George McCabe calming dowr an incensed Nobby Stiles by ruffling his hair.


Chelsea: Bonetti, Webb, McCreadie, Hollins, Dempsey. Harris, Boyle, Tambling, Hutchinson, Osgood, Houseman.
Scorers: Webb, Hutchinson, Tambling

 
Manchester United: Stepney, Fitzpatrick, A. Dunne, Crerand, James, Stiles, Morgan, Kidd, Sadler, Law, Best.
Scorers: James, Law (pen.)



World Cup 1974 Qualifying England Poland

Group 5,
6th Game
17 October 1973
Wembley Stadium, London

"I have never seen a better performance at Wembley by a visiting goalkeeper." (Sir Alf Ramsey)

On a night of missed chances and extraordinary saves from Jan Tomaszewski, the Polish keeper labelled a "clown" on TV by Brian Clough, England saw Iheir World Cup hopes disappear at Wembley last night. They slumbled exhausted and heart-broken out of the competition after a 90-minute all-oul assault had failed to break d o w n Poland's grim determination.

 On the pitch where, some seven years ago, they had won the trophy. Sir Alf Ramsey's m en played with a spiril that deserved a betler fate. But no one can deny thiit Poland's overall performances in the competition, afler a disastrous defeat in their opening match against Wales. make them worthy of qualification. And at Wembley they fought a magnificenl rear-guard action before the most partisan crowd gathered there since the 1966 World Cup final.
The plain and unpalatable fact is that England moved boldly on to the offensive in this tournament when it was too late. Had they produced just a Utile of this attacking zeal againsl Wales at Wembley last Mardi and Roland at Chorzow in June, they might not now have found themselves out in the cold. It can be fairly argued that Ramsey's overcaution in selection and tactics in recent years has been the major cause of this failure. Indeed, it became clear last night that England have become so used to playing with predominantly defensive efficiency that they could not switch smoothly enough into forward gear to over-come such stubborn opponents.


 With Peters, Bell and Currie dominating the midfield from the early stages, and Channon leading the front line with dash. they launched and sustained an almighly assault on the Polish barrier, creating chance after chance . But it was Roland who scored first. after 58 minutes, when Hunter was uncharacteristically caught in possession by the flying winger Gadocha, who raced away and crossed for Domarski to shoot under Shilton's dive.
England equalized six minutes later. Clarke converting a border-line penalty. But they could not beat Tomaszewski again.

Goals: England (Clarke 63 pen); Poland (Domarski 55)
England: Shilton, Madeley, Hughes, Bell, McFarland, Hunter, Currie, Channon, Chivers (Hector 85), Clarke, Martin Peters (c)
Poland: Tomaszewski, Szymanowski, Gorgon, Musial, Bulzacki, Kasperczak, Lato, Cmikiewicz, Deyna (c), Domarski, Gadocha