Wednesday, August 31, 2011

Mundialito clubs 1983 Juventus Flamengo

02 Luglio 1983 
Località: San Siro (Milano-Italia) 
Spettatori: 80.000 Arbitro: Enzo Barbaresco (Italia) 
Juventus: Bodini, Gentile, Scirea (Prandelli), Caricola, Cabrini, Furin, Tardelli, Platini, Bonini, Boniek, Paolo Rossi. Allenatore: Giovanni Trappatoni.

Tuesday, August 30, 2011

up




Friendly 1989: Italia Brazil

Data (Date): 14-10-1989
Competição (Competition): amistoso (friendly)
Local (Place): Stadio Renato Dall'Ara
Cidade (City): Bologna (Itália/Italy)
Árbitro (Referee): H. Kohl (Áustria/Austria)


Itália: W. Zenga, D. Bergomi, R. Ferri (C. Ferrara), F. Baresi, L. De Agostini - F. De Napoli, N. Berti, G. Giannini (L. Fusi), R. Baggio - G. Vialli, A. Carnevale
Técnico (Coach): Azeglio Vicini

Brasil: Taffarel, Jorginho, Aldair (André Cruz), Mauro Galvão, Ricardo Rocha, Mazinho, Dunga, Alemão (Geovani), Silas (Tita), Müller, Careca Técnico (Coach): Sebastião Lazaroni

Monday, August 29, 2011

TO UPDATE Division One 1972 1973 Chelsea Manchester United Bobby Charlton Last Game

28 April 1973
Stanford Bridge,
London


 It's impossible to name for sure the greatest Manchester United player of all time. How can you compare footballers from different ezas and different positions, and come up with a definitive answer? But a few key individuals are bound to crop up on any shortlist: Edwards, Best, Charlton and Cantona would surely be there. But when it comes to the most influential player in the club's history, then you are picking from a list of one: it can only be Bobby Charlton. A glance at the statistics alone establishes his status: he still holds the club's appearances record (606 League games, including two as a substitute) and remains United's all-time top-scorer with 199 league goals. And for sheer longevity he stands out from the rest. Charlton made his first-team debut in 1956 and won two Championship medals with the great Busby Babes team. He overcame the horror of Munich to become a mainstay of the side in the 19605; throughout the transitional years while Busby re-built the team and on into the title-winning campaigns and the glory of the European Cup in 1968. Even into the 19703 Charlton was an effective midfield operator, until he made an emotional farewell to his time as a United player. But the figures and dates tell less than half the story. Most importantly, he was a beautiful footballer to watch. There have been few more thrilling sights in United's history than that of Charlton running from deep with the ball at his feet, the perfect marriage of grace and power. Defenders trailed in his wake as he swept onwards, before unpacking his hammer of a shot to send the ball soaring into the net.

Charlton had a football intelligence that made him master in a series of different roles. In his early days he was a deadly penalty box operator, playing a striking role which suited him so well that he scored 29 League goals in 38 games in the first full season after Munich. In the early 19605 he was more commonly found on the left wing, where his direct running and ability to deliver an accurate ball made him one of the best wide players in the country. But his best role was probably the deeper, midfield position he made his own while United were climbing back to the summit of English football in the mid-1960s. It was also the place he played his best football for his country, and his surging runs and thoughtful passing made him a prime architect of England's triumph in the 1966 World Cup. It was that tournament that cemented Charlton's reputation as one of the world's greatest players. Out of all England's heroes that year Charlton was singled out for the European Player of the Year award. By the time he played his last competitive game for United, a i-o defeat at Chelsea on 28 April 1973, Charlton had amassed a list of honours rivalled by few players: three Championships, an FA Cup, a European Cup and a World Cup. He played 106 games for England and remains top of his country's all-time goalscoring list with 49. Most importantly, he had earned the respect and admiration of his peers, and the game's most discerning judges. Busby said, 'There has never been a more popular footballer. He was as near perfection as man and player as it is possible to be.'

Cup Winners Cup 1993 1994 Paris Sg Arsenal

Semi Finals
First and Second Leg,
March 1994

Combien seront-ils à pleurer PSG-là? Sans doute, ces quelques centaines de fidèles rêveurs, parqués dans un coin de tribune à Highbury et que seuls Roche, Ginola et Lama ont eu le courage et la dignité d'aller saluer ou ces quelques milliers d'autres, noyés à longueur de saison sous la bruine du Parc des Princes, molle averse de tristesse et d'ennui. Combien seront-ils à se réfugier hypocritement derrière un titre de champion de France conquis à la force du boulier (44 matches officiels disputés depuis le début de la saison, 12 remportés par plus d'un but d'écart...)? A pleurer sur le nombre incalculable d'occasions de but gâchées, mangées, dispersées au vent mauvais? A plaindre les efforts à la fois louables et désespérés d'un groupe rarement régénéré, sans cesse sur la brèche et, donc, fatigué? Combien seront-ils à regretter Artur Jorge, pour peu qu'il se décide enfin à partir? 

 Le constat est une nouvelle fois amer: pour la deuxième année consécutive, le Paris Saint-Germain de toutes les promesses, victime d'un syndrome décidément bien français, échoue aux portes d'une finale européenne, contre un adversaire qui n'a pas donné l'impression de lui être supérieur. J'ai les boules , commente, laconique, Laurent Fournier. Raccourci saisissant. Le double affrontement contre Arsenal a illustré l'ensemble de la saison du Paris Saint-Germain. Crispés et nerveux au Parc des Princes, mis dans l'incapacité de développer leur jeu par une bande de baroudeurs pugnaces et déterminés, les Parisiens ont laissé filer le match, un grand Lama évitant même le pire. Une bonne leçon de réalisme, de rigueur tactique et morale, de la part d'un Arsenal limité sur le plan technique mais animé d'une foi inébranlable. Face à ce bloc homogène, le PSG a une nouvelle fois laissé paraître des signes inquiétants: ostensible retenue dans te jeu, faiblesse défensive (symbolisée par un placement défaillant et fatal sur le but de Wright  mais Alain Roche ne jouait pas), finition bâclée. Mais que dire, alors, du festival de ratés d'Highbury?  Six occasions franches, fruit d'un jeu cette fois bien élaboré à l'approche du but, et autant de navrants échecs? On ne peut raisonnablement prétendre disputer une finale de Coupe d'Europe lorsque l'on avance un aussi piètre bilan. Bernard Lama est en colère: «C'est incroyable qu'on n'en mette pas une au fond! Pour gagner, il faut marquer des buts et nous en sommes incapables. 

 Mais comment le faire lorsque nos attaquants sont sur le banc?i. Illustration des propos du gardien de l'équipe de France, la titularisation, pour le match retour, du funambule Rai, au détriment de George Weah. Un chorx tactique pour le moins surprenant et douteux, dicté par une volonté de jouer court et à terre, intentions rapidement mises à bas par un terrain glissant et un pressing constant des Anglais. Total: le capitaine de la sélection brésilienne (passé depuis peu de la tribune au terrain) a été consternant: non seulement il n'a strictement rien apporté sur le plan du jeu mais il a loupé deux occasions en or, dont l'une, dès la troisième minute, aurai pu donner une toute autre tournure à la rencontre. Et l'entrée en jeu bien trop tardive de Gravelaine (un attaquant, un vrai), aux côtés d'un Ginola décevant, sonnait comme un aveu d'impuissance. Sassus avance un bout d'explication: "Ce problème de réussite est peut-être d'ordre psychologique. D'accord, il y a aussi la malchance mais cela n'explique pas tout: ce manque de réalisme, c'est notre péché, il va falloir travailler devant le but". Ginola, pour sa part, évoque la pression, puis s'attarde sur la capacité du PSG à réagir lors de ce match retour disputé dans des conditions difficiles. Rarement Arsenal avait été à ce point bousculé sur sa pelouse. Car, oui  le PSG a fat un bon match à Highbury. Un match intense et appliqué, bien maitrisé sur le plan tactique. Mais troublé par ce but rapide de Campbell (et elle est où, la défense?) et irrémédiablement gâché par cette incroyable maladresse dans le dernier geste, agaçante et lancinante rengaine. Deux coups de boule ont suffi à propulser Arsenal en finale de la Coupe des coupes, very easy, et à tirer un trait sur une campagne européenne d'un PSG frustré. Mas combien seront-ils à pleurer ce PSG-là? A l'heure où le club s'apprête à célébrer son deuxÈme titre de champbn de France (il lui reste aussi la Coupe, l'autre: la petite), à l'heure où l'on parle de restrictions budgétaires, de querelles de clans et de mouvements divers, déjà, l'alléchante et juteuse Champions League se profile à l'horizon. Pour aller au bout, il faudra cette fois un autre esprit et un autre style. Un tout autre PSG qui ne devra laisser aucune place aux regrets.

CONSTRUCTION VI

Sunday, August 28, 2011

Primera Division 2011 2012 Opening : Season Review 2010 2011 Revista de la Liga

Apres la greve des joueurs qui a empêché le déroulement de là 1e journée, la Liga reprend ce week-end directement par la deuxième. On avait hâte d'y être après le spectacle de la Super-coupe d'Espagne, entre le Barça et le Real Madrid, à la mi-août (2-2,3-2). Et on ne fera injure à aucun de leurs rivaux en présentant ces deux-là comme les deux grands favoris à la succession de Barcelone, triple champion sortant. Leur bras de fer s'annonce déjà grandiose, démesuré, monumental. Car seront face à face les deux meilleurs joueurs du monde : Messi en quête d'un troisième Ballon d'Or de suite, et Cristiano Ronaldo, immense pichchi (meilleur buteur de la Liga) avec un total de 40 buts la saison dernière. Mais ce sera aussi l'opposition de deux grandes personnalités du banc de touche, Pep Guardiola et José Mourinho. 

Cup Winners Cup 1979 1980 Valencia Arsenal

Final
14 May 1980
Heysel Stadium,
Brussels

Referee Vojtech Christov
Attendance 40,000


Image de la désolation et du courage mal récompensé que celle de Graham Rix, planté sur la pelouse du Heysel et regardant fixement le point de penalty, d'où venaient de s'envoler les espoirs des canonniers d'Arsenal. Image de la contradiction, aussi, de voir le meilleur joueur de cette finale échouer sur un geste technique réalisé et réussi des centaines de fois. Enfin, l'image de la solidarité, que cette course du capitaine anglais Rice entraînant avec lui tous ses coéquipiers pour venir récupérer Graham Rix, qui ' s'était mis à pleurer au milieu de la suface de réparation. Car, s'il est vrai que tout au long de cette finale, il ne s'est pas passé grand-chose de palpitant, la faute n'en revient certainement pas aux joueurs d'Arsenal, qui ont cru jusqu'au bout que le destin allait pencher du côté des plus méritants. 

 L'état de fatigue des « Canonniers » était tel qu'ils n'ont jamais pu passer la vitesse supérieure, qui aurait, sans doute, fait éclater la défense de Valence. Mais le championnat anglais avec vingt-deux clubs, la Coupe de la League, le marathon de la Cup (avec notamment quatre matches contre Liverpool) , bref la répétition accélérée de matches, a fait qu'Arsenal, au soir de cette finale ne disposait pas de tous ses atouts sur le plan physique. C'était sans doute aussi le cas des joueurs de Di Stefano. Cette finale était leur dernière chance de participer à une Coupe d'Europe l'année prochaine. Devant Nantes, et surtout au stade Saupin, ils étaient passés très près d'une large défaite. Plutôt que d'imposer leur manière, dont ils n'étaient pas très sûrs, ils ont préféré subir le match et contrer les Anglais. Cela explique que Mario Kempès, esseulé à la pointe de l'attaque espagnole, ne toucha en tout et pour tout que dix fois le ballon au cours du temps réglementaire. 

 Ce n'est pas par hasard si le portier Pereira fut le meilleur joueur de son équipe, détournant des tirs de Priée et Brady et s'opposant aux coups de tête de Stapleton, Sunderland ou Talbot. Mais les « Canonniers » étaient singulièrement émoussés et leurs capacités physiques n'étaient pas à la hauteur de leurs intentions. Ils auraient sans doute mérité de rejouer cette finale deux jours plus tard. A ce sujet, il faut regretter que l'U.E.F.A. n'harmonise pas ses règlements en ce qui concerne le déroulement des finales. Mais les Anglais ne sont pas footballeurs à pleurer sur leur sort. Tout juste ont-ils estimé que les Espagnols auraient dû être un peu plus dignes et un peu plus reconnaissants dans leurs déclarations d'après-match. La défaitel ne les a pas empêchés d'aller se mêler à leurs supporters, pendant que  Bonhof et  Kempès brandissaient la Coupe d'Europe..

Friday, August 26, 2011

READINGS : C1 2011 2012 Draw Group Stage

25 August 2011
Monaco

Michel Platini a beau avoir réformé la Ligue des champions pour l'ouvrir un peu plus aux champions des petits pays, il est possible que les clubs français n'aient pas l'occasion de s'en apercevoir lors du tirage au sort de la phase de groupes, à partir de 17 h 45, à Monaco. Jusque-là, le quatrième chapeau était complètement exotique, et le troisième n'abritait pas un favori possible. Cette saison, ce n'est plus le cas. Le danger sera partout. Pour commencer, il n'y a pas de club français dans le premier chapeau. Marseille et Lyon, qui sont dans le deuxième, et Lille, dans le troisième, seraient sûrement heureux d'éviter Barcelone. Seule nuance, pour qui a envie devoir plus loin : le club qui se qualifie avec Barcelone dans son groupe est sûr de ne pas retrouver les Catalans en huitièmes. Mais ce n'est pas la tête de série qui peut vraiment poser problème : elle fait partie du paysage. Si ce tirage est dangereux pour les trois clubs français, c'est parce que quelques retours de fortune torpillent joyeusement l'idée que lesforces du football européen se répartissent de manière juste dans un système pyramidal. Manchester City, qui peut être considéré comme un prétendant à la victoire finale, est dans le troisième chapeau. Le Borussia Dortmund, champion d'Allemagne, vainqueur de l'épreuve en 1997, sera dans le quatrième. Ce sont eux que Marseille et Lyon devront éviter. Lille, de son côté, a seulement l'assurance de ne pas tomber sur Manchester City, ni sur les clubs français du deuxième chapeau, Marseille et Lyon. A la place, il pourrait avoir droit à l'AC Milan (ou au Chakthior Donetsk).

Friday, August 19, 2011

World Cup 1982 Brazil USSR

June 14, 1982
First Round
Group VI
Estadio Ramon Sanchez Pizjuan,
Sevilla

Un 14 de junio de 1982, hace 29 años, la Copa del Mundo aterrizaba en Sevilla.
El  partido en del grupo 6 del Mundial España 82 entre las selecciones nacionales de Brasil y la Unión Soviética.

La selección de Brasil de los Toninho Cerezo, Junior, Falçao,  Zico, Eder, Socrates, etc... Un auténtico equipazo!Su oponente iba a ser la U.R.S.S., la única selección perteneciente al grupo sexto que podía plantar cara a la “canarinha”. Con las otras dos selecciones que conformaban aquel grupo, Escocia y Nueva Zelanda, Brasil no hizo sino disputar dos “entrenamientos con público”, venciendo en ambos casos por 4-1 y 4-0, respectivamente; en dos partidos que no tuvieron más trascendencia, ni por los rivales de Brasil, ni por el escenario escogido para la celebración de los encuentros.

La Unión Soviética era considerada en aquellos entonces una de las más potentes selecciones del viejo continente, y contaba en sus filas con jugadores de la talla de Blokhin, Shengelia, Gavrilov, Baltacha, Demianenko, o el mismísimo Rinat Dassaiev, que seis años después recalaría en Nervión, en el ocaso ya de su carrera.
El partido, catalogado a priori como el más interesante de la primera fase, cumplió con las expectativas sobradamente. El estadio presentaba un lleno hasta la bandera, 68.000 espectadores según cifras facilitadas por la organización.Con una masiva presencia de aficionados de la "torcida" brasileña que, durante todo el día, habían inundado de color y de música toda Sevilla.Ganó Brasil 2-1. Aunque los soviéticos merecieron mejor resultado, y probablemente podrían haberlo obtenido, de no haber sido por el trío arbitral, compuesto por los españoles Lamo Castillo y sus jueces de línea, Sánchez Arminio y García Carrión.

Lamo Castillo escamoteó dos claros penaltis a la U.R.S.S. además de anular un gol a Shengelia, por un más que dudoso fuera de juego, en las postrimerías del encuentro, ¡ay los árbitros españoles! La calidad de los brasileños puso el resto.
Por Brasil jugaron aquella histórica noche: Valdir Peres; Leandro, Oscar, Luizinho, Junior; Socrates, Falçao, Zico, Dirceu(Paulo Isidoro); Serginho y Eder.


Por la Unión Soviética lo hicieron:
Dassaiev; Sulakvelidze, Chivadze, Baltacha, Demianenko; Bessonov,Gavrilov(Susloparov), Daraselia, Bal; Shengelia(Andreev), y Blokhin.
El encuentro fue vibrante de cabo a rabo. Brasil salió decidida a resolver desde el principio y puso cerco a la meta de Dassaiev. Poco a poco la Unión Soviética se fue sacudiendo el dominio inicial brasileño, gracias a su solidez defensiva y a un gran orden táctico en el centro del campo; además de sus dos fantásticos estiletes atacantes, Shengelia y Blokhin. Los pupilos de Konstantin Beskov se fueron estirando poco a poco, y en una de sus incursiones en campo rival, Bal, en el minuto 33, lanzó un tiro, sin aparente peligro, desde fuera del área, que Valdir Peres, en un error clamoroso no pudo atajar, viendo como el balón se alojaba en el fondo de sus mallas. 0-1 para los soviéticos. Acabó la primera parte y daba la sensación que mucho habría de sufrir Brasil si quería superar a la U.R.S.S.  Comenzó la segunda mitad con los hombres de Tele Santana volcados sobre la portería de Dassaiev. Los suramericanos lo intentaban de todas las maneras, las ocasiones se sucedían, pero el gol no llegaba. Y entonces... Apareció la samba.


Corría el minuto 75 cuando el doctor Socrates condujo el balón en diagonal, desde la izquierda hasta el centro, quebró a dos rivales que le salieron al paso, y lanzó un zambombazo con su pierna diestra, que se coló por la escuadra derecha de Dassaiev, sin que éste nada pudiera hacer, después de tocar el balón en la parte inferior del larguero. Extraordinario gol. 1-1.

La “verdeamarelha” seguía asediando la portería soviética. La U.R.S.S. había bajado enormemente en su rendimiento físico, en gran medida por el enorme calor de la noche sevillana. Aun así la Unión Soviética todavía tuvo fuerzas para contragolpear en un par de ocasiones con mucho peligro. Y entonces fue cuando apareció la triste figura de Lamo Castillo, que pasó por alto un clarísimo penalti por manos de Luizinho, y anuló un gol a Shengelia, en el minuto 86, por un más que discutible fuera de juego.Cuando todo indicaba que el partido acabaría con empate a uno, de nuevo surgió la magia “brasileira”.

El reloj avanzaba inexorable desgranando los minutos. Concretamente se cumplía el minuto 87; cuando Paulo Isidoro, desde la derecha, cedió el balón a Socrates; éste lo dejó pasar, abriéndose de piernas, para que llegara hasta Eder quien, con un toque sutil, se levantó el balón medio metro del suelo, para posteriormente enganchar una bolea espectacular, con la zurda, que entró por la izquierda de un Dassaiev atónito, que sólo pudo hacer la estatua.