Saturday, December 31, 2011

Happy New Year 2012 Have a good Time !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


P.L. 2011 2012 Liverpool Newcastle

30 December 2011
Anfield,
Liverpool

Referee: L. Probert
Attendance: 44372 


 A la lutte pour revenir parmi les qualifiés à la prochaine Ligue des Champions, Liverpool a fait une très bonne affaire en surpassant un adversaire direct, Newcastle (3-1). A domicile, les Reds se sont pourtant fait peur dans la première demi-heure de la partie. En effet, c'est le malheureux Daniel Agger qui a ouvert le score avec un but contre son camp (25e). Un avantage qui n'aura cependant pas permis aux Magpies d'espérer bien longtemps. Dans la foulée, les hommes de Kenny Dalglish sont revenus dans la rencontre avec une égalisation du Gallois Craig Bellamy (29e). En seconde période, l'attaquant a même signé un doublé sur coup franc qui a donné de l'air à son équipe (67e). Pour asseoir son succès, le club de la Mersey a enfoncé le clou par Steven Gerrard, tout juste entré en en jeu (79e). Au classement, les Reds reviennent donc à la hauteur de Chelsea, qui est 4e, avec 34 points. Mais les Blues joueront ce samedi pour tenter de se redonner de la marge. Avec ce 5e match de suite sans défaite en championnat, Liverpool redevient un candidat sérieux au podium cette saison, et va pouvoir passer un bon réveillon. 

Monday, December 26, 2011

Cup Winners Cup 1969 1970 Manchester City Gornik Zabrze

Final
29 April 1970
Prater Stadium,
Vienna

Referee Paul Schiller
Attendance 7,968


 Manchester City were without winger Mike Summerbee with a leg injury that had troubled him since the League Cup Final the previous month. George Heslop came into the team as a result, though Summerbee was fit enough to be named as a substitute. Heslop was given the task of man-marking Włodzimierz Lubański, who The Guardian identified as "an outstanding individual... ...whom Malcolm Allison considers to be in the same class as Eusebio." Manchester City started strongly, particularly Francis Lee; 

The Guardian correspondent wrote "Lee, indefatigable and nigh irresistible continually embarrassed the Gornik defence in the early stages". Lee had the first chance of the match, a close range shot which was saved by Kostka. Manchester City took the lead in the 12th minute. Lee cut in from the left wing, escaping a tackle from Alfred Olek, and struck a fierce shot. Goalkeeper Hubert Kostka parried the ball, only for it to land at the feet of Neil Young for a simple finish. Shortly after City defender Mike Doyle sustained an ankle injury after colliding with Stefan Florenski. Manchester City played on with ten men for a period as Doyle received treatment from trainer Dave Ewing, but the defender was unable to continue. Substitute Ian Bowyer replaced him. The change prompted an alteration in formation, in which Colin Bell switched to a deeper position. Shortly before half-time, Young won the ball after loose play from Florenski, which put him clear on goal. 

As Young moved into the penalty area Kostka rushed out of his goal and upended him, leaving the referee no option but to give a penalty. Lee struck the spot-kick with power into the centre of the goal. Kostka's legs made contact with the ball, but the force of the shot carried it into the net to make it 2–0. Górnik got a goal back midway through the second half, but there were no more goals and the match finished 2–1. Winning manager Joe Mercer said "the heavy rain in the second half ruined the game" and that he was "quite happy with the performance of our team, although the technical level was rather low in the second half". Gornik coach Michał Matyas blamed his side's poor start, saying the "first goal came too early for us and we never recovered from this shock."


Sunday, December 25, 2011

English Leagues the 60s: Queens Park Rangers West Bromwich Albion League Cup 1966 1967

Final
4 March 1967
Wembley Stadium,
London

Attendance: 97,952
Referee: Walter Crossley


The first final to be held as a single event - previous finals following the competition's formation in 1961 had been held over two legs - the Wembley showpiece did not disappoint. The famous stadium had hosted the World Cup final a year earlier and when top-flight West Brom took a 2-0 lead over Third Division QPR, thanks to two goals from Clive Clark against his old side, many thought that they would go on to finish the job.

However, the comeback began as Roger Moran headed home in the 63rd minute and one of the most memorable goals in the competition's history levelled the scores just 12 minutes later. Rodney Marsh dribbled through the Baggies' defence, eluding countless tackles on his way, before sliding his shot past goalkeeper Dick Sheppard and in off the post. With spirits high, QPR pushed on and, with nine minutes left, centre-half Ron Hunt challenged Sheppard and the ball broke for Mark Lazarus to smash home the winner. QPR had scored three goals in 20 second-half minutes to turn the tie on its head, and they became the first Third Division side to win a major trophy, although were not allowed to enter the Fairs Cup due to their league status.

Thursday, December 22, 2011

Campionato 2011 2012 Udinese Juventus

21 December 2011
Stadio Communale Friuli,
Udine

Referee: P. Tagliavento
Attendance: 16000 


 La Juventus Turin a repris son fauteuil de leader de la Serie A après son match nul sur le terrain de l'Udinese (0-0) lors de la 1re journée de Serie A. Les Turinois devancent l'AC Milan, vainqueur mardi à Cagliari (0-2), à la différence de buts particulière. Carton de Naples face au Genoa (6-1). Pas de vainqueur dans le choc au somme de la 1ère journée de Serie A, reportée en début de saison en raison de la grève. L'Udinese et la Juventus Turin ont fait match nul (0-0) dans le Frioul au terme d'une rencontre rythmée mais plutôt avare en occasions de but. Le point pris à Udine permet aux Turinois, toujours invaincus, de reprendre la tête du classement abandonnée la veille à l'AC Milan, vainqueur la veille à Cagliari (0-2). L'équipe d'Antonio Conte devance celle de Massimiliano Allegri à la différence de buts particulière. L'Udinese est troisième à deux points. Capables de briller offensivement par leurs qualités individuelles et collectives, la Juventus et l'Udinese restent avant tout de redoutables machines à défendre. Dans l'enceinte du stadio Friuli s'opposaient la meilleure défense à domicile (seulement deux buts encaissés en sept matches joués à domicile) et son alter ego en déplacement (six réalisations concédées pour sept sorties loin de la Juventus Arena). Et avec trois défenseurs centraux alignés de chaque côté, l'imperméabilité des défenses udinoise et turinoise s'est une nouvelle fois manifestée.

Tuesday, December 20, 2011

C1 2011 2012 Group Stage Last Round

 Le tirage au sort des huitièmes de finale de la Ligue des Champions se déroulait ce vendredi. Placés dans le pot 2, Marseille et Lyon connaissent désormais leur futur adversaire. Bonne pioche pour les Lyonnais avec l'APOEL Nicosie, alors que l'OM devra affronter l'Inter Milan. En terminant à la deuxième place de leur groupe, Marseille et Lyon pouvaient s'attendre à un tirage difficile au vu des équipes présentent dans le premier pot. Les deux formations de Ligue 1 souhaitaient à tout prix éviter le Real Madrid et le FC Barcelone, c'est chose faite. Qualifié miraculeusement lors de la dernière journée de la phase de poules, l'Olympique Lyonnais a visiblement la chance de son côté. Le club rhodanien affrontera l'APOEL Nicosie ! La petite formation chypriote que les deux équipes de Ligue 1 souhaitaient rencontrer. Attention toutefois à ne pas prendre cette opposition à la légère puisqu'elle s'est qualifiée face au Zénith Saint-Petersbourg, Porto et le Shakhtar Donetsk. En revanche, l'Olympique de Marseille est un peu moins verni. Les Phocéens ont hérité de l'Inter Milan. Si la formation italienne n'a plus grand-chose à voir avec celle qui avait triomphé en finale de la C1 en 2010 sous les ordres de José Mourinho, cela reste un adversaire difficile qui a remporté ses deux rencontres face à Lille (0-1, 2-1) lors de la phase de poules. Le match retour à Giuseppe Meazza s'annonce périlleux, mais l'OM se souviendra du quart de finale de C3 remporté face aux Nerazzurri en 2004. Dans les autres rencontres, on notera les belles affiches Naples - Chelsea et Milan AC - Arsenal. De son côté, le Bayer Leverkusen a hérité de l'ogre de la compétition : le FC Barcelone. Autre grand favori, le Real Madrid doit certainement s'estimer heureux en héritant du CSKA Moscou. Le Bayern Munich devra se méfier du FC Bâle, qui a notamment éliminé Manchester United dans le groupe C. Les matchs aller se disputeront les 14, 15, 21 et 22 février, et les matchs retour les 6, 7, 13 et 14 mars.

Sunday, December 18, 2011

English Leagues the 70s: League Cup Tottenham Newcastle 1975 1976

Semi Finals
14 January 1976
White Hart Lane ,
London

Referee Clive Thomas
Attendance : 40,215


 Spurs grabbed the initiative at the half-way stage of this League Cup semi-final after the first leg 1-0 win. A single strike from John Pratt gave Tottenham the win, but an inspired display in goal from Pat Jennings kept Newcastle at bay as they pushed forward to gain an equaliser.  Referee Clive Thomas played a good advantage when defender Geoff Nulty stopped John Duncan's header from Terry Naylor's cross from going in with his arm.  The match official let play continue and Pratt seized the loose ball to crack home a fierce shot. The last half hour was a backs-to-the-wall effort by Tottenham, as Newcastle pushed for an equaliser, but Jennings saved everything which was thrown at him, producing a stunning save from a drive from Tommy Craig which saw him arch backward to  punch the dipping shot away for a corner.

Club World Cup 2011 Final FC Barcelona Santos

18 December 2011
Nissan Stadium,
Yokohama

Referee: R. Irmatov
Attendance: 68166  


Le FC Barcelone et le FC Santos vont s'affronter en finale du Mondial des clubs. Une première entre les deux clubs ? Non : avant Lionel Messi et Neymar, Johan Cruijff et Pelé se sont déjà affrontés en leur temps. Neymar a inscrit un but magnifique face aux Japonais du Kashima Reysol (3-1), en demi-finale du Mondial des clubs. Un spot promotionnel on ne peut plus efficace pour lancer le duel tant attendu entre la pépite brésilienne et Messi. Certains affirment que ce Barça - Santos mettra face à face le meilleur joueur du monde et son futur challenger. Qui sait ? Mais attendons de voir Neymar à l’œuvre dans un grand championnat avant de nous enflammer trop vite. 

Mais les plus jeunes d'entre nous ne savent peut-être pas que cette affiche est loin d'être inédite. Le dernier match entre Santos et le Barça remonte en effet à 1974. A l'époque, le duel médiatique et sportif le plus représentatif de cette opposition était celui entre Pelé et Johan Cruijff, deux des plus grands joueurs de tous les temps. Pelé, c'est peut-être tout simplement le premier grand joueur de l'histoire du ballon rond. Cruijff, lui, a tout gagné avec l'Ajax et avec le Barça, deux clubs qu'il entraînera d'ailleurs par la suite. Le Néerlandais était plus ou moins considéré comme le 5e Beatles en son temps tant sa popularité était grande. Le cadre de cette rencontre de 1974 était certes prestigieux, mais n'avait rien à voir avec l'importance du Mondial des clubs. Ainsi, les deux clubs se disputaient la troisième place lors du trophée estival Ramon Carranza, en Andalousie. Le Barça s'est imposé 4-1 ce jour là, et Pelé fut le seul buteur de Santos, sur pénalty. Les deux clubs s'étaient affrontés 3 fois auparavant, entre 1959 et 1974. Pelé est le seul joueur à voir pris part à toutes ces rencontres. Il inscrivit un doublé au Camp Nou, en 59, lors de la victoire 5-1 de Santos. Puis le Barça s'est imposé 4-3, 2-0, et donc, comme nous l'avons dit 4-1. Vous l'aurez compris, il s'agira bien de la première confrontation entre les deux équipes dont Pelé sera absent. Même si il y a peu une folle rumeur l'envoyait jouer quelques minutes, juste pour la symbolique, contre le Barça ce mois de décembre. Avant de regretter Pelé, voyons ce que Neymar a dans le ventre.

Tuesday, December 6, 2011

Hommage Gary Speed : League Cup 1995 1996 Aston Villa Leeds United

24 March 1996
Wembley Stadium, 
London
Attendance: 77,065
Referee: Robbie Hart


 Gary Speed came through the youth ranks at Leeds, making his first team debut in May 1989 as a 19-year-old. He quickly established himself, first on the left wing and eventually as a combative midfielder, thanks to his good touch and excellent game awareness. 

 Speed’s qualities helped Leeds to climb out of the old Second Division as Champions in 1990 and he then made 41 appearances in manager Howard Wilkinson’s side that won the First Division title in 1992. Speed moved from Leeds to the club he supported as a boy, Everton, at the end of the 1995-96 season and was even made club captain, but he was on the move again in 1998, this time to Newcastle. After a spell at Bolton he joined Sheffield United in 2008, first as a player, then coach before taking over as manager in late 2010. After just two months in the job at Bramall Lane he took over from John Toshack as Wales boss.

Hommage Gary Speed Leeds The 1991-92 Season


Bad Times for football.... Gary Speed died too. He killed himself. He was 42. Speed began his career at Leeds United and was part of the side that won the old First Division title in 1992. In a career that spanned two decades, he also played for Everton, Newcastle, Bolton and Sheffield United. Cheshire Police confirmed he was found dead at 07:08 GMT at his home in Huntington, Chester. They said there were no suspicious circumstances. Leeds United said the club was "stunned and saddened" to hear of his death. The flags at Elland Road are flying at half-mast as a mark of respect. In a statement on the club's website, Sheffield United - where Speed was made manager following the departure of Kevin Blackwell - said: "Everybody at Sheffield United is extremely shocked and saddened to learn of the death of former player and manager Gary Speed. "Thoughts are with Gary's family and friends at this distressing time."

Saturday, November 26, 2011

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Friendly 1977: Brazil West Germany


Data (Date): 12-06-1977
Competição (Competition): amistoso (friendly)
Local (Place): Estádio do Maracanã
Cidade (City): Rio de Janeiro (Brasil/Brazil)
Árbitro (Referee): L. Pestarino (Argentina)

Brasil (Brazil): Leão, Zé Maria, Luís Pereira,
Amaral, Rodrigues Neto, Toninho Cerezo,
Zico, Rivellino, Gil (Marcelo),
Roberto Dinamite,Paulo César Caju
Técnico (Coach): Cláudio Coutinho

Alemanha Ocidental (West Germany): Maier, Vogts,Kaltz, Rüssmann, Dietz - Hölzenbein (Tenhagen),Bonhof, Beer (Heinz Flohe) - Abramczik, Fischer, Volkert (Rummenigge). Técnico (Coach): Helmut Schön

update


 


 

 


 

 

Wednesday, November 23, 2011

Friendly 2011 Ukraine Germany

11. 11. 11.
Olympic stadium 
Kyiv, Ukraine
69 700 spectators
Referees: V. Carballo,
A. Fernandes,
J. Jimenez
Ukraine: Oleksandr Rybka, Yevhen Selin, Oleksandr Kucher, Yaroslav Rakitskiy, Bohdan Butko, Anatoliy Tymoshchuk, Yevhen Konoplianka (Artem Fedetskiy, 90), Roman Bezus (Serhiy Nazarenko, 42), Andriy Yarmolenko (Oleksandr Aliyev, 82), Artem Milevskiy (Marko Devic, 66), Andriy Shevchenko (Oleksiy Hai, 67). Coach: Oleg Blokhin.

Germany: Ron-Robert Zieler, Dennis Aogo, Mats Hummels, Holger Badstuber, Jerome Boateng, Sami Khedira (Simon Rolfes, 46), Mesut Oesil (Thomas Mueller, 66), Christian Traesch (Andre Schuerrle, 46), Toni Kroos (Lars Bender, 89), Mario Goetze (Lukas Podolski, 66), Mario Gomez (Cacau, 83). Coach: Joachim Loew.

Germany came from two goals behind to draw 3-3 with Ukraine in a friendly on Friday in the first game in the Olympic Stadium in Kiev, which will host the final of next year's European Championship.

Germany dominated despite missing a number of its top players, but Ukraine was dangerous on the break, and was roared on by the 70,000 crowd.

Ukraine took the lead in the 28th minute through Andriy Yarmolenko, and Yevhen Konoplianka added a second in the 36th after sprinting about 50 yards (45 meters) .

Toni Kroos fired in from distance for Germany's first in the 39th minute. But Ukraine restored its two-goal lead just before halftime, when Serhiy Nazarenko curled in a similar long-range shot.

Germany started its comeback in the 65th when Simon Rolfes blasted in from a corner, and the equalizer came in the 77th through Thomas Mueller's 20-yard shot.

Germany had the best of the early exchanges, but Ukraine was holding its shape and defending well. The opening goal came when Andriy Shevchenko found Artem Milevskiy breaking down the right. He flicked a pass to Yaroslav Rakitskiy outside him whose fired cross was bundled in by Yarmolenko.

Eight minutes later, and Ukraine had a second. Milevskiy controlled the ball in his own penalty area and played a long pass to Konoplianka. He raced clear of the defense, took the ball past the goalkeeper and slotted in.

Germany was finally rewarded for its pressure when Kroos curled the ball home and it almost drew level in the 44th minute. Oleksandr Rybka failed to deal with a Mesut Oezil header, which hit the post and then the goalkeeper, who eventually managed to grasp the ball on the goal line.

Ukraine broke immediately forward and substitute Nazarenko, who had only been on the pitch for three minutes, hit a sweet shot into the top corner from 30 yards.

"We made a few mistakes that led to goals, but in general I saw dominance from our team,'' Germany coach Joachim Loew said. "I was surprised given the amount of attacks that we (conceded) three goals. Ukraine played well. I have never seen a team fight so hard for the ball.''

Germany started the second half on the attack, but the best two chances fell to Shevchenko and Nazarenko on the break, who both shot wide.

Germany's second goal came from an Oezil corner, which fell for Rolfes to fire in after the defense failed to clear the ball.

The visitors drew level when Rybka reacted slowly to Mueller's low shot from 20 yards.

Ukraine could have taken a surprise win at the end, but substitute Marko Devic twice failed to score when put in by passes from Konoplianka.

"I am very satisfied with the game and the result'', Ukraine coach Oleh Blokhin said.

"The team rallied together in the face of all the difficulties we've had'', he said, referring to the squad's injury crisis. "I thanked the team after the game for giving everything.''

Tuesday, November 22, 2011

English Leagues the 70s: Division One 1979 1980 Southampton Liverpool

Day 4
1st September 1979
St Mary's Stadium,
Southampton


 "C'est vraiment une histoire étrange. Le manager de Southampton. Mac Menemy, m'a téléphoné pour me dire : « Pourrions-nous nous rencontrer afin de parler de ton éventuelle venue à Southampton?» Mac Menemy est un bon ami ; nous travaillons ensemble à la télévision anglaise. Je l'aime beaucoup. C'est un homme très intéressant et pas seulement sur le plan football. Et parce que j'apprécie l'homme en plus du technicien, j'ai dit à Jean, ma femme : « Je dois au moins le rencontrer, ne serait-ce que par pure politesse. » Mais jamais je n'avais imaginé partir à Southampton. C'était avant le dernier match de l'équipe d'Angleterre, le 6 février à Londres contre l'Eire. Nous nous sommes vus une quinzaine de minutes seulement, le dimanche précédant la rencontre. J'étais chez des amis londoniens et je leur ai dit que je revenais dans l'heure suivante. Je me suis rendu dans l'appartement que possède Mac Menemy à Londres et c'est là que nous avons eu notre discussion. Je partais pour dire au manager que je pensais plutôt à un grand club. Il était 21 heures. A 22 heures j'étais de retour après avoir donné mon accord. Voilà comment les choses se sont passées. Il m'a fallu quinze minutes pour me décider.  

Tous les dirigeants étrangers ne me parlaient que de contrats financièrement fantastiques, avec une durée bien précise de trois ou quatre ans. Ils ne faisaient jamais allusion à l'équipe elle-même ou à son palmarès même si, dans ce cas-là, ils n'avaient rien à ajouter tant leurs résultats sont connus et archi-connus. Mac Menemy m'a parlé de ma famille tout de suite. Egalement de cette région de l'Angleterre que je connais et qui est très agréable. Enfin des amis que j'aurai au sein de l'équipe, par exemple Mike Shannon, qui est mon meilleur compagnon dans le football anglais. Sans oublier Watson, le défenseur, avec qui je joue en équipe nationale, Alan Bail, qui a toujours été mon modèle sur le terrain et qui va devenir manager, dès la saison prochaine, d'une équipe de troisième division. Il a évoqué pour moi cette équipe et ses possibilités si j'acceptais de signer. Mac Menemy voudrait que j'apporte quelque chose aux jeunes, tel que le demi Steve Williams qui a d'énormes qualités et avec l'apport des deux Yougoslaves, le gardien de Hajduk Split et Godac le défenseur, ainsi que Phil Boyer le buteur, il pense que Southampton devrait avoir de meilleurs résultats encore. En quinze minutes, il m'avait convaincu. Les dirigeants de Liverpool lorsqu'ils ont appris la nouvelle de ton transfert à Southampton, ont été fantastiques. Ils ont aussitôt accepté. 

J'ai téléphoné à Mr. Smith, le président, et à Peter Robinson, le secrétaire général, pour leur demander leur autorisation, puisque mon contrat stipulait que Liverpool avait un droit en cas de retour en Angleterre. Bien entendu, si j'avais voulu signer à Everton ou Manchester, je crois qu'ils auraient refusé ; mais Southampton est — pour le moment — suffisamment modeste pour qu'ils disent oui. C'est d'autant plus gentil de leur part, qu'ils avaient J'occasion de racheter mon contrat pour 800 000 marks (deux millions de francs), alors que j'ai coûté le double à Southampton. L'affaire s'est réglée en dix minutes avec le président de Hambourg et en deux minutes avec celui de Liverpool, par téléphone. Ils m'ont tous deux souhaité bonne chance pour l'avenir; c'est tout. C'était quasiment fait avec la Juventus. Mais je peux dire qu'ils me rendaient fou. Un jour les dirigeants me déclaraient que demain elles étaient fermées, ainsi de suite pendant des semaines.  Les gens de la Juventus venaient me relancer jusqu'au samedi matin juste avant mes matches. Une quinzaine de clubs en faisaient de même. Tous ne me parlaient qu'argent. J'ai dit à ma femme que je n'en pouvais plus, que je devais prendre une décision définitive. Et puis pour Hambourg c'est mieux ainsi. Les dirigeants ont le temps de voir venir et de me remplacer.  Depuis trois ans que je suis à Hambourg, je n'ai vraiment pas à me plaindre. J'ai gagné plus que je n'aurais jamais imaginé. A Southampton, je vais me sentir bien, alors je considère que je retourne en Angleterre aussi pour ma famille. Cela permettra au moins à ma fille Laura Jane d'apprendre l'anglais avant l'allemand. Et la région où nous allons habiter est magnifique. Je crois que ma femme, ma fille et moi allons vraiment nous sentir à la maison. 

Oh, tu sais, on m'a fait beaucoup de critiques : que je ne gagnerai aucun titre Southampton, que j'aurai à disputer soixante-dix matches par an, etc."Et alors? C'est justement excitant de devoir gagner le championnat avec une équipe présumée plus faible, pour l'instant du moins.  Le club s'est découvert une ambition soudaine, certainement appuyé par la ville qui aidera à la construction d'un grand stade, car celui qui existe actuellement ne fait que vingt-cinq mille places je crois. Mais si l'équipe n'avait pas été bonne, je n'aurais pas donné mon accord. Là, tout est réuni. Je rêve maintenant de gagner le championnat. J'ai aussitôt aimé les dirigeants, les joueurs, le club. Je veux également réussir ce nouveau défi. Ma nature me pousse sans cesse à prendre des paris. Il faut que je gagne encore celui-là. Jusqu'à présent, je m'étais beaucoup préoccupé de rencontrer des gens, de découvrir de nouveaux horizons. Avec mon retour en Angleterre, j'ai l'occasion de continuer mon exploration tout en préservant pour le club mon envie de gagner.  Tout ce que les journaux ont écrit au sujet de ma femme est faux. Lorsque je lui ai annoncé la nouvelle, elle m'a simplement dit que j'avais probablement raison. Elle n'a appris mon accord avec Southampton qu'après que j'eus serré la main de Mac Menery. Jean sait que pendant encore trois ou quatre ans, il lui faudra suivre le chemin de mes crampons. C'est notre vie pour le moment..." (Keegan March 1980)

Copa America 1991: Brasil Ecuador

Data (Date): 15-07-1991
Tipo (Class): oficial de competição (official of competition)
Local (Place): Estádio Sausalito
Cidade (City): Viña del Mar (Chile)
Árbitro (Referee): Juan Francisco Escobar (Paraguai/Paraguay)

Brasil (Brazil): Taffarel, Mazinho, Márcio Santos,Branco, Mauro Silva, Márcio, Neto (Luís Henrique),Mazinho Oliveira, Sílvio (Careca), João PauloTécnico (Coach): Falcão

Equador (Ecuador): E. Ramirez, Montanero, Tenório,Capurro, H. Quiñones - F. Bravo, Carcelén (Burbano),Ivo Ron (Garay), Aguinaga - C. Muñoz, AvilésTécnico (Coach): Dusan Draskovic

update


Friendly 1985: Brasil Finland


Data (Date): 17-04-1986
Competição (Competition): amistoso (friendly)
Local (Place): Estádio Mané Garrincha
Cidade (City): Brasília (Brasil/Brazil)
Árbitro (Referee): José de Assis Aragão (Brasil/Brazil)

Brasil (Brazil): Carlos (Paulo Vítor), Leandro,Oscar, Mozer, Branco, Elzo, Sócrates, Müller
(Casagrande), Marinho, Careca, Edivaldo.Técnico (Coach): Telê Santana

Finlândia (Finland): Ismo Korhonen, Aki Lahtinen,Jukka Ikäläinen, Mikael Granskog, Jyrki Nieminen
(Ismo Lius) - Hannu Turunen, Esa Pekonen,Kari Ukkonen (Petri Tiainen) - Pasi Rautianen,Ari Hjelm (Ari Valvee), Jari Rantanen.Técnico (Coach): Matti Kuusela

Comments: portuguese

Monday, November 21, 2011

P.L. 2011 2012 Tottenham Aston Villa

21 November 2011
White Hart Lane,
London


 Tottenham a continué son excellent début de saison en battant facilement Aston Villa à domicile (2-0), lundi en clôture de la 12e journée du championnat d'Angleterre, et s'est emparé de la 3e place du classement devant Newcastle. Cela fait près de 50 ans que les Spurs n'ont pas connu un début de saison aussi bon. Les voila invaincus depuis leur lourde défaite face à Manchester City (5-0), lors de la troisième journée qui suivait un premier revers à Manchester United. Depuis, c'est un véritable rouleau compresseur qui déboule du nord de Londres. Lundi, Aston Villa, sous les yeux de son supporteur numéro 1 le Premier ministre David Cameron, n'a tenu que 14 minutes, le temps pour Emmanuel Adebayor d'inscrire son premier but de la soirée d'un joli retourné acrobatique (1-0). Le Togolais a également marqué le second but de son équipe (2-0, 40) après une mésentente dans la défense des Villains. Mais il a aussi raté quatre autres grosses occasions (14, 52, 62 et 77) qui auraient assis encore plus la domination des Spurs, jamais inquiétés et emmenés par un excellent Gareth Bale. Tottenham, qui a un match de retard à jouer face à Everton début janvier à domicile, complète le trio de tête derrière les deux équipes de Manchester, intouchables pour l'instant. Les Londoniens devancent désormais Newcastle, battu à City (3-1) samedi, à la différence de buts (+8 contre +7), et possèdent trois points d'avance sur Chelsea, Liverpool et Arsenal. Les hommes d'Harry Redknapp, de retour sur le banc de touche lundi après une petite opération du coeur il y a trois semaines, ont aussi un calendrier favorable puisqu'ils affronteront West Bromwich, Bolton, Stoke et Sunderland avant la réception de Chelsea le 22 décembre. Pour Aston Villa, la saison moyenne continue puisque les partenaires de Charles N'Zogbia, resté sur le banc de touche lundi, conservent leur 8e place au classement mais n'ont que quatre points d'avance sur le 17e.

Thursday, November 17, 2011

Euro 2012 Play-Offs Bosnia Portugal

Play Offs, Second Leg
Stadion Bilino Polje,
Zenica
Referee: H. Webb 

Pour une fois, Cristiano Ronaldo ne devrait pas entendre parler de Lionel Messi. Accueilli en fin de semaine dernière à son arrivée en Bosnie-Herzégovine par des supporters adverses qui, pour le chambrer, ont scandé le nom de son rival barcelonais, la star madrilène sera mardi soir sur ses terres, devant le public lisboète qui l'a vu éclore. Et ça tombe bien, car le Portugal a plus que tout besoin de sérénité pour préparer son barrage retour de l'Euro 2012. Cette sérénité qui, justement, avait manqué à "CR7" à Zenica, où il avait adressé un doigt d'honneur à quelques petits malins qui s'étaient incrustés à l'entraînement d'avant-match de la Selecçao pour à nouveau chanter "Messi, Messi, Messi"... 

 Pour aller en Ukraine et en Pologne, l'été prochain, les joueurs de Paulo Bento ne devront pas se louper à Lisbonne. Le nul qu'ils ont obtenu vendredi dernier (0-0) est certes un bon résultat, mais il ne leur garantit rien. "C'est assez équilibré, affirme d'ailleurs Cristiano Ronaldo sur le site de l'UEFA. Bien sûr, nous jouerons dans de meilleures conditions, avec notre public derrière nous, mais ce sera tout aussi difficile. Nous avons obtenu un bon résultat à l'extérieur et nous devrons terminer le travail lors du match à domicile. Nous devons assumer le costume de favori car nous sommes une équipe qui a toujours une chance de gagner. Donc nous devons le prouver sur le terrain."

Cela n'avait pas été le cas au Danemark, lors du dernier match des éliminatoires de la compétition. Les Portugais n'avaient besoin que d'un nul pour valider la place de leur groupe mais s'étaient finalement inclinés (1-2), ce qui les avait alors conduits en barrages face à la Bosnie. Tout sauf un cadeau. A l'aller, les partenaires de Vedad Ibisevic ont ainsi bien failli créer la surprise et comptent le faire au retour. "J'ai eu une occasion mais malheureusement il y a eu un faux rebond, se souvient l'attaquant bosnien. Ce but aurait eu une grande importance pour nous, mais il ne faut pas cracher sur ce résultat. L'atmosphère sera différente à Lisbonne mais je suis sûr qu'il y aura beaucoup de nos fans là-bas comme à chaque match à l'extérieur. Il est temps pour cette génération de participer à une compétition majeure et j'espère sincèrement que nous atteindrons notre objectif." Ce serait, pour la Selecçao, une grosse désillusion. 

Tuesday, November 15, 2011

Copa America 1991: Brasil Bolivia



Data (Date): 09-07-1991
Tipo (Class): oficial de competição (official of competition )
Competição : Copa América
Local (Place): Estádio Sausalito
Cidade : Viña del Mar (Chile)
Árbitro (Referee): José F. Ramirez (Peru)

Brasil (Brazil): Taffarel, Cafu, Ricardo Rocha,Wilson Gottardo, Branco, Mauro Silva, Mazinho,Neto, Renato Gaúcho, Careca (Raí), João Paul(Mazinho Oliveira). Técnico (Coach): Falcão

Bolívia (Bolivia): Aragón, Rimba, Ferrufino,Jiguchi, Saldias - Borja (Peña), Melgar,Etcheverry, Ramiro Castillo - E. Sanchez,J. B. Suarez (Baldivieso)Técnico (Coach): Ramiro Blacutt



Monday, November 14, 2011

Friendly 1991: Brasil Argentina




Data (Date): 27-06-1991
Competição (Competition): amistoso (friendly)
Local (Place): Estádio Pinheirão
Cidade (City): Curitiba (Brasil/Brazil)
Árbitro (Referee): Wilson Carlos dos Santos (Brasil/Brazil)


Brasil (Brazil): Taffarel, Mazinho, Cléber,
Ricardo Rocha (Wilson Gottardo), Branco
(Cafu), Mauro Silva, Valdir, Neto,
Renato Gaúcho (Mazinho Oliveira), Careca
(Bebeto),João Paulo. Técnico (Coach): Falcão


Argentina: S. Goycoechea, N. Craviotto,
S. Vazquez, O. Ruggieri, C. Enrique -
D. Franco, L. Astrada, D. Simeone,
D. Latorre (F. Basualdo) - C. Caniggia
(Cláudio Garcia), G. Batistuta
Técnico (Coach): Alfio Basile


Sunday, November 13, 2011

Friendly 1990: Brasil Bulgaria


Data (Date): 05-05-1990
Tipo (Class): amistoso oficial (official friendly)
Competição (Competition): amistoso (friendly)
Local (Place): Estádio Brinco de Ouro da Princesa
Cidade (City): Campinas (Brasil/Brazil)
Árbitro (Referee): Ulisses Tavares (Brasil/Brazil)

Brasil (Brazil): Taffarel, Jorginho, Aldair,
Ricardo Gomes (Ricardo Rocha), Mauro Galvão,Branco (Bismarck), Alemão, Silas, Valdo (Tita),Müller, Careca. Técnico (Coach): Sebastião Lazaroni

Bulgária (Bulgaria): I. Valov, E. Dimitrov
(I. Lechkov), T. Ivanov, K. Bankov, D. Vasev
(P. Dochev) - K. Yanchev, N. Todorov (G. Georgiev),G. Yordanov, K. Balakov - E. Kostadinov(P. Mihtarski), H. Stoichkov (I. Panchev)Técnico (Coach): Ivan Vutsov

Friday, November 11, 2011

World Cup Qualifying 1989: Venezuela Brasil


Data (Date): 30-07-1989
Competição (Competition): Eliminatórias da Copa do Mundo (World Cup Qualifying)
Local (Place): Estádio Brígido Iriarte
Cidade (City): Caracas (Venezuela)
Árbitro (Referee): O. Ortube (Bolívia/Bolivia)

Venezuela: Baena, Pacheco, Acosta, Marovic,Bettancourt - Caballo, Anor (Carrero), Rivas,Febles (Areazza), Maldonado, FernandezTécnico (Coach): Carlos Horacio Moreno

Brasil (Brazil): Taffarel, Mazinho, Aldair,Mauro Galvão, Ricardo Gomes, Dunga, Valdo,Branco (Josimar),Bebeto, Careca (Silas),
Romário. Técnico (Coach): Sebastião Lazaroni

Monday, November 7, 2011

Friendly 1977 France USSR


October 08, 1977
Paris
Parc des Princes
40 823 spectators
Referee: M. van Langenhove (Belgium)
France: Andre Rey, Gerard Janvion, Patrice Rio, Marius Tresor, Thierry Tusseau, Jean Petit (65` Roger Jouve) , Michel Platini, Dominique Bathenay, Christian Dalger (65` Dominique Rocheteau), Marc Berdoll, Didier Six. Coach: Michel Hidalgo.

USSR: Yuri Degtyarev, Sergei Prigoda, Alexander Bubnov, Shota Khinchagashvili, Alexander Makhovikov, Leonid Buryak, Anatoly Konkov, Victor Kolotov, Vladimir Veremeev ( 60` Alexander Minaev), Vladimir Bessonov (62` Revaz Chelebadze), Oleg Blokhin. Coach: Nikita Simonyan.
L'U.R.S.S. n'a jamais ete une selection facile e rencontrer. 
La qualite de son football s'appuyant sur des millions de pratiquants, l'excellente condition physique des joueurs et la valeur individuelle de certains d'entre eux ont toujours pose des problemes a bon nombre d'equipes nationales. 
Trois jours avant de rencontrer la France au Parc des Princes (le samedi 8 octobre), les Hollandais, chez eux, en avaient fait l'experience en realisant un penible match nul. Pour les Tricolores, c'etait l'ultime mise au point avant le match contre les Bulgares le mois suivant.
Michel Hidalgo tentait une nouvelle fois l'experience Tusseau comme arriere gtiuche. profitait de la bonne forme des Monegasques en championnat pour faire debuter le demi Petit et rappelait l'ailier droit Dalger absent de la selection depuis plus de trois ans.
Enfin, le selectionneur donnait sa chance e Berdoll en l'absence de Lacombe blesse ; le Marseillais n'avait pas ete vu sous le maillot bleu depuis septembre 75 face e l'Islande, e Nantes.
Et, comme il fallait s'y attendre, les Russes ne laisserent pas les Franeais s'exprimer aisement.
Pendant quatre-vingt-dix minutes, les Tricolores s'evertuerent e faire sauter la defense serree des Sovietiques sans y parvenir. 
Meme Platini, sur coup franc, ne put qu'ecraser le ballon sur l'arete du but de l'U.R.S.S. Heureusement, la defense, e l'image de Tresor superbe, tenait et ce match nul donnait aux Franeais un avertissement sans doute profitable pour la rencontre suivante...

P.L.2011 2012 Queen Park Rangers Manchester City

5 November 2011
Loftus Road,
London
Referee: Martin Atkinson

 Mancini's men were far from their best but dug in to earn a 10th win in 11 league games and an eighth successive victory in all competitions to maintain their five-point lead at the top of the table. Great news for City, but the result was harsh on Neil Warnock's side who gave as good as they got even though the odds were stacked against them. Despite of the absence of Shaun Derry and Adel Taarabt because of illness and injury respectively, the home side began superbly. Helguson twice threatened early on with shots from the right-hand corner of the box before Anton Ferdinand spurned a great chance at the back post following the Icelandic striker's header back across goal. The home side continued in this vain and were rewarded in the 28th minute when Bothroyd rose highest to head in Joey Barton's curling free-kick from the right. It could have been much worse for City before the break, but goalkeeper Joe Hart saved Jamie Mackie's long-range shot and Helguson's headed follow-up - although the latter was offside - before Bothroyd hit the post with another header.

However, even when they are not playing well, City's quality ensures they remain a threat and they demonstrated this with aplomb two minutes before half-time. QPR defender Ferdinand had earlier denied Dzeko with a superb block, but this time the striker got the better of the defender, cutting inside him after being found by Milner down the right, and firing in low past Paddy Kenny. It would have been harsh on the home side, but City could have led at the break had a post not denied Sergio Aguero's 25-yard strike. arly in the second half City did lead when Silva neatly took Dzeko's cross from the right in his stride before lashing the ball past Kenny. The game now swung in the favour of the visitors and it seemed just a matter of time before they scored again. 

It is testimony to QPR's spirit then that it was they who next found the net as Bothroyd's goalbound header from an Armand Traore cross ultimately found the net courtesy of the back of Helguson, who was on the goalline but - despite the protestations of a number of City players - not offside. Toure would have the decisive say though, rising high to power a header past Kenny from Aleksandar Kolarov's cross. QPR would have one more chance to salvage a point but the bar denied Helguson with a late header and the points went to City.