HIGHLIGHTS SHOW
9 mai 2022
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La 36e journée de Ligue 1 s'est conclue sur le match nul 2-2 entre le Paris Saint-Germain, déjà titré, et Troyes qui se rapproche du maintien. Derrière le PSG, la bataille à l'Europe fait rage. Avec sa nette victoire à Lorient (0-3), Marseille conserve sa 2e place et se rapproche plus que jamais de la Ligue des champions. Difficile vainqueur de Lille ce vendredi (2-1), Monaco suit le train et repasse provisoirement 3e, avec 65 points, avec trois points d'avance sur Rennes.
Le Stade Rennais jouera ce mercredi sur la pelouse de Nantes (21h00). Un derby de l'ouest qui peut permettre aux Bretons de remonter sur le podium en cas de victoire. Strasbourg profite de sa victoire à Brest (1-0) pour remonter à la 5e place, avec 60 points, et doubler Nice. Le GYM, à égalité de points, jouera mercredi contre l'ASSE (19h00). Vainqueur de Reims (1-2), Lens pointe à la 7e place et peut encore croire à l'Europe tandis que Lyon s'éloigne. L'OL est désormais 8e après sa défaite sur la pelouse de Metz (3-2).
En bas de classement, Angers profite de sa large victoire sur Bordeaux (4-1) pour remonter à la 14e place et se rapprocher du maintien, en doublant Troyes. Clermont s'impose à domicile contre Montpellier (2-1) et reprend la 16e place. Lorient recule d'un cran. Saint-Etienne, qui compte un match de moins, reste 18e et barragiste avec 31 points. Metz profite de sa victoire à domicile pour reprendre la 19e place, avec 28 points. Bordeaux retombe 20e avec 27 points. Si Saint-Etienne s'impose à Nice mercredi, Bordeaux sera officiellement relégué.
PREVIEW SHOW
6 mai 2022
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Vendredi, en ouverture de cette 36e journée de Ligue 1, Monaco a frappé un grand coup dans sa remontée impressionnante vers le podium. Les Monégasques sont allés battre Lille (2-1). Ils enchainent ainsi une huitième victoire consécutive en championnat, prennent provisoirement la deuxième place de Ligue 1 devant l'Olympique de Marseille qui se déplace à Lorient dimanche, et se rapprochent de la qualification pour la Ligue des Champions. Les Monégasques sont sur leur nuage depuis leur victoire contre le PSG le 20 mars (3-0). De son côté, Lille a déjà brûlé tous ses jokers après son échec contre Troyes et sa 10e place, provisoire au classement, l'empêche d'espérer quoi que ce soit pour cette fin de saison qui s'annonce morose.
Samedi, une partie du football français aura les yeux tournés vers la finale de la Coupe de France (21h) entre Nice et Nantes au Stade de France. Ce rendez-vous bouscule cette 36e journée de Ligue 1 et le match Nice - Saint-Etienne, choc important pour l'Europe et le maintien, est ainsi reporté au mercredi 11 mai, comme Nantes-Rennes, crucial pour les Bretons dans leur quête de C1. La journée de samedi ne réserve ainsi qu'une rencontre de L1, Brest-Strasbourg, une occasion à ne pas rater pour les Alsaciens, sixièmes après n'avoir pris qu'un point en deux matches. Le Racing est en effet menacé par Lyon, deux points derrière au moment de se rendre chez le dernier, Metz, dimanche (13h00). Une défaite condamnerait quasiment les Mosellans à la relégation, car Saint-Etienne n'aurait alors besoin que d'un seul point en trois matches pour envoyer Metz en Ligue 2. A Angers dimanche (15h00), Bordeaux (19e) joue également sa peau, quelques heures avant PSG-Troyes, affiche déséquilibrée qui refermera le week-end (20h45).
La Ligue s'apprête à prendre des mesures pour améliorer la gestion financière des clubs de Ligue 1, toujours dans le dur après la crise sanitaire et le fiasco Mediapro. Alors que la Ligue 1 va passer à 18 clubs à partir de la saison 2023/2024, ce qui veut dire qu'il y aura quatre descentes la saison prochaine, la LFP et la DNCG se seraient mis d'accord pour imposer aux clubs une masse salariale qui ne dépasse pas 70% de son chiffre d'affaire ainsi qu'un nombre limité de 25 contrats pro par club, hors premiers contrats, qui pourraient eux passer sur une nouvelle formule en 3 ans + 1 an + 1 an, pour permettre aux clubs français de mieux protéger leurs talents.. Super. Deja qu'on est à la rue dans TOUTES les coupes d'Europe...
Pour la première fois depuis 2008, à l’époque où le Lyonnais Alain Perrin avait été oublié, l’entraîneur champion de France n’est pas nommé dans sa catégorie lors des Trophées UNFP. Le coach du Paris Saint-Germain Mauricio Pochettino ne fait pas partie des prétendants au titre. Lui qui, selon les votes de ses homologues, aurait réalisé une saison inférieure à celle de Christophe Galtier (Nice), Julien Stéphan (Strasbourg), Bruno Genesio (Rennes), Jorge Sampaoli (Olympique de Marseille) et Antoine Kombouaré (Nantes). Une absence incompréhensible pour l’entraîneur de l’Olympique Lyonnais Peter Bosz, qui a tenu à défendre l’Argentin. « Oui, ça me surprend, a réagi le Néerlandais en conférence de presse. Bien sûr qu’il a les meilleurs joueurs d’un point de vue individuel, absolument. Mais à mon avis, c’est le club où il est le plus difficile de construire une équipe. Je connais Mauricio Pochettino depuis son passage en Angleterre, j'ai joué contre lui quand il était l'entraîneur des Spurs. C’est vraiment un très, très bon entraîneur. » « Il est champion de France, avec les meilleurs joueurs bien sûr, mais ce n’est pas toujours une assurance d’être champion. Tout le monde est déçu que le Paris Saint-Germain ne soit pas allé plus loin en Ligue des Champions. Mais son boulot est peut-être le plus dur de tout le championnat. Ils sont champions de France et je pense que c'était clair depuis le mois d'octobre. Ils sont restés devant depuis le début de la saison », a rappelé Peter Bosz, qui a confié ne pas avoir voté.
Aleksander Ceferin, le patron de la Fédération européenne de football, l’UEFA, est connu pour ses déclarations souvent directes et franches. À l’occasion d’une interview au journal croate Sportske, Ceferin est revenu sur les difficultés du PSG et du Bayern Munich à briller en Ligue des champions et éliminés en quart de finale cette saison. Pour lui, l’explication est assez évidente : le manque de concurrence dans les compétitions nationales. Sans densité dans leur pays, difficile de se préparer aux joutes européennes du printemps. « C’est vrai, ces deux championnats ne sont pas forts, assène-t-il. Deux clubs dominent. Il y a plus de concurrence en Italie, mais ils ne sont pas financièrement solides. La Premier League a la plus grande tradition, les supporters sont différents de ceux d’Italie. Quand nous étions en guerre avec la Super League, les supporters anglais nous ont aidés. Les Italiens et les Espagnols n’ont rien fait. Les Allemands et les Français n’y étaient pas puisque leurs clubs n’étaient pas concernés de près. »
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