Huitieme de Finale
28 juin 2025
Philadephia
PORT (Brasil) 17H15 - 20H50
CWC.2025.Botafogo.Palmeriras.PORTBRAS.twb22.mp4
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Palmeiras a remporté le duel entre les deux derniers clubs titrés au sein d'un Championnat brésilien qui brille depuis le début de la Coupe du monde des clubs, en s'imposant face à Botafogo après prolongations (1-0). Paulinho a déverrouillé une rencontre fermée sur une action individuelle de grande classe : après avoir éliminé Marlon Freitas d'un crochet du pied droit, l'ailier gauche des Verdao a trouvé le petit filet de la cage adverse sur une frappe soyeuse à ras de terre du pied gauche. S'ils ont davantage porté le ballon que les Fogao (57 % en première période), les joueurs de Palmeiras ont longtemps manqué de tranchant dans les vingt derniers mètres. En première période, seul Richard Rios, à la réception d'une passe de Joaquin Piquerez, a fait passer un frisson dans la défense du club de John Textor, mais son tir du pied droit à l'entrée de la surface est passé juste au-dessus de la cage de John Victor (43e).
Le gardien brésilien a écoeuré Palmeiras en signant trois parades décisives : d'abord en se couchant sur une frappe lointaine du pied gauche du jeune Estevao (18 ans) après une récupération haute d'Allan (47e), ensuite en claquant une tête de Mauricio sur un centre côté gauche de Joaquin Piquerez (73e), puis sur un tir puissant du droit de Rios dans une situation très similaire à celle de la première période (97e). Vainqueur du PSG en phase de groupes (1-0), Botafogo, qui a aussi remporté la dernière Copa Libertadores, a offert une production offensive très pauvre (seulement deux tirs cadrés) sans se procurer une seule occasion franche avant la reprise de volée non cadrée de Vitinho (115e). Malgré le spectacle terne, l'arbitre français de la rencontre François Letexier a lui été très sollicité, distribuant douze cartons jaunes, dont deux pour Gustavo Gomez, exclu, en 120 minutes marquées par de nombreux duels rugueux dans l'entrejeu.


















Petite pensée pour Didier Roustan qui aurait aimé commenté ce match en imitant les commentateurs brésiliens comme il savait si bien le faire. Sinon c'est la poisse en ce moment pour Textor avec son Botafogo qui perd.
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