Tuesday, December 28, 2010

P.L. 2010 2011 Tottenham Newcastle On MiamiGunners Match Of The Week

week 20
28th december 2010: 
tottenham hotspur v. newcastle united

So far so good for Harry Redknapp and Tottenham during the festive period after their battling 2-1 victory over Aston Villa on Boxing Day placed them fifth in the table, just seven points adrift of leaders Manchester United.
Redknapp pointed out that Spurs are 33-1 to win the title after the victory at Villa Park, and while they still seem to be some way off mounting a serious challenge for the Premier League crown, another three points against Newcastle at White Hart Lane will certainly stand them in a strong position at the half way point of the season.
Newcastle, meanwhile, did not fare so well on Sunday, as Alan Pardew lost his first game at the club - his second in charge - in the 3-1 home defeat to Manchester City.

The Magpies' last visit to White Hart Lane saw them lose 1-0 to a solitary Darren Bent goal on their way to relegation to the Championship, but the Tyneside club have enjoyed some success on their travels to N17, winning the two previous meetings at the ground, scoring seven goals in the process.
Newcastle's last victory in north London back in March 2008 saw them run out 4-1 winners, with Nicky Butt, Geremi, Michael Owen and Obafemi Martins getting on the scoresheet, and while the personnel has dramatically changed, Pardew will have his fingers crossed for a similar result.

Monday, December 27, 2010

P.L. 2010 2011 Arsenal Chelsea on MiamiGunners Match Of The Week

week 19
27th december 2010: 

arsenal v. chelsea

Arsene Wenger's charges might be relieved this game doesn't fall on Boxing Day, as if there is one criticism regularly thrown at the side in recent weeks, it is that they are rarely up for a fight. Nowhere has that been more obvious than in the biggest games, which Arsenal have conspicuously failed to win in recent times. Both matches against their nearest rivals, Manchester United and Chelsea, were lost last season, and they have started this campaign in similarly poor fashion. Their recent 1-0 defeat to United was disappointing, but they can get back on track with a psychologically important win against the Blues, who got the better of their first meeting earlier in the season.

English Leagues the 70s: The Manchester Derby City United First Division 1971 1972

Maine Road
6 November 1971

Manchester derbies in the 1970s were frequently bad tempered. In the December 1970 derby, a tackle by George Best broke the leg of Glyn Pardoe; the severity of the injury almost resulted in the City defender losing his leg. The following season, an entertaining 3–3 draw saw Francis Lee accuse George Best  of diving and emphasised the point to the referee by throwing himself theatrically to the floor. The first derby of the 1973–74 season saw Mike Doyle and Lou Macari each receive a red card  in a dour contest which finished 0–0. Both players refused to leave the pitch, leading the referee to take both teams back to the dressing room until the two players accepted their dismissals...


udate



READINGS : Boxing Day 2010


P.L. 2010 2011 Aston Villa Tottenham MiamiGunners Match Of The Week

week 19
26th december 2010: 
aston villa v. tottenham hotspur

Critiqué, Gerard Houllier sait que sa formation est en danger, tout comme son poste. La zone de relégation n'est plus très loin et le Français n'a pas vraiment les résultats escomptés pour le moment.
Les Villans, auteurs d'une première partie de saison assez catastrophique, doive se rattraper devant leur public avec la venue de Tottenham. Mais en face, les Spurs sont ambitieux et savent que Villa Park est tout sauf une forteresse imprenable cette saison...


P.L. 2010 2011 Newcastle Manchester City MiamiGunners Match Of The Week

week 19
26th december 2010:
 
newcaste united v. manchester city

La meilleure équipe à l'extérieur est Manchester City. Voir donc Newcastle prendre le dessus sur les Citizens à quelque chose d'illogique. Même le passé plaide clairement en faveur de City qui n'a pas perdu lors de ses 8 derniers matches aux Magpies. Newcastle s'appuiera en tout cas sur son dernier succès sur Liverpool (3-1) pour déjouer les pronostics et surtout mettre fin à une malédiction lors du boxing day où ils n'ont plus gagné depuis 2001. On oubliera quand même pas de dire que City reste sur une défaite face à une très moyenne équipe d'Everton la semaine dernière.

Friday, December 24, 2010

Man Of The Year : Xavi Hernandez

Final Poll :
1 Xavi Hernandez

Xavi est issu du centre de formation (la Masia) du FC Barcelone, club dans lequel il a fait ses premiers pas en juillet 1991 à l'âge de 11 ans. Il arrive en équipe B en 1997 et permet à la réserve du club de monter en Segunda Division A, le Championnat d'Espagne de football D2, niveau auquel Xavi n'évoluera pas puisqu'il est appelé pour rejoindre le groupe professionnel.
Il dispute son premier match avec l'équipe A en Supercoupe d'Espagne contre le RCD Majorque lors de l'été 1998. Il débute la rencontre comme titulaire et marque un but. Dès lors, Louis van Gaal lui renouvelle sa confiance et Xavi participe activement à la conquête du titre de champion de la Liga 1998-99.
Durant la saison 1999-2000, suite à la blessure de Josep Guardiola, Xavi se retrouve titulaire. L'année suivante il gagne sa place au milieu de terrain pour devenir l'organisateur numéro 1 du jeu catalan. Avec tous les entraîneurs qu'il a connu, Xavi s'est imposé comme un pilier du FC Barcelone. A 25 ans, il avait déjà atteint le seuil de 300 parties jouées sous le maillot blaugrana.

Coupe des Confédérations 2001 France Brésil

Demi Finale
7 juin 2001

Suwon WC Stadium (Coree du Sud)
Affluence : 34 527 spectateurs
Arbitre : M. Al-Ghandour (Egypte) 


La Coupe des confédérations 2001 est la cinquième édition de la Coupe des confédérations. C'est la Corée du Sud et le Japon qui ont accueilli  la Coupe des Confédérations. Ce fut un grand succès, et en particulier pour la France. Invités à la compétition en tant que champions du monde en titre, les Bleus l'ont survolé et ont réussi, au final, à s'offrir une nouvelle ligne à leur palmarès. Ils y ont pris goût puisque deux ans plus tard, ils récidivèrent, sur leur sol, et devenaient le premier pays à remporter cette compétition plus d'une fois.


Football Funnies


Thursday, December 23, 2010

Copa Del Rey 2010 2011 Real Madrid Levante Both Legs

copa del rey 2010/11 fifth round
First and Second leg

En huitième de finale aller de la Coupe du Roi, Le Real Madrid accueille Levante, modeste 16e de Liga. Attention toutefois à ne pas faire de faux-pas comme a pu le faire Barcelone à domicile devant l'Athletic Bilbao mardi soir.
Le Barça, tenu en échec sur sa pelouse par l’Athletic Bilbao mardi, la surprise fut de taille. Trop habitués à torpiller tous leurs adversaires, Barcelone et le Real Madrid ont donné de biens mauvaises habitudes aux parieurs. Il s’avère finalement que miser pour l’un de ces deux clubs revêt plus de l’instinct naturel que de toute autre forme de réflexion.

Le résultat du Barça démontre que la Coupe du Roi, tout comme la Coupe de France, est une épreuve différente de la Liga. Les effectifs tournent beaucoup et le concept du match aller-retour permet de s’offrir un joker. Le Real Madrid a fixé ses objectifs en début de saison de façon claire et carrée. Il faut tout gagner…
La réception de Levante en huitièmes de finale aller n’a rien d’un match piège au demeurant. Le 2e de Liga contre le 16e, la balance penche évidemment du côté des Merengue. Surtout que dans l’antre de Bernabeu, les hommes de José Mourinho ont signé un 8 sur 8 du plus bel effet.

Monday, December 20, 2010

READINGS ; Gigi Buffon

 

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Matches of the Century: World Cup 1954 Germany Hungary

Final
4th July 1954

Wankdorf Stadion, Bern

Attendance: 60,000
Referee: Willy H.E. Ling (England)


 West Germany: Turek, Posipal, Kohlmyer, Eckel, Liebrich, Mai, Rahn, Morlock, O. Walter, F. Walter, Scäfer
Hungary: Grosics, Buzanszky, Lantos, Boszik, Lorant, Zakarias, Puskas, Kocsis, Hidegkuti, Czibor, J. Toth
Goals: 0-1 Puskas (6), 0-2 Czibor (8), 1-2 Morlock (10), 2-2 Rahn (18), 3-2 Rahn (84)


Everyone expected Hungary to wipe the floor with Germany again and it looked to be a dead cert when they rapidly went two goals ahead. However, in remarkable scenes, the "Miracle of Bern" revealed itself to the stunned crowd. Within a ten-minute spell, the Germans had equalized through goals by Max Morlock and Helmut Rahn and had rocked the Hungarians.
The game was deadlocked until the final six minutes. After a tense moment when the Hungarians hit the post, Rahn made history by scoring the winner for West Germany after the Hungarian keeper had slipped on the turf. West Germany were World Champions for the first time.


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Sunday, December 19, 2010

Campionato 2010 2011 Chievo Juventus on MiamiGunners Match Of The Week

serie a 2010/11
week 17
19th december 2010: 
chievo verona v. juventus
 
Invaincue depuis 17 matches toutes compétitions, la Juve a l'occasion de revenir à trois longueurs du leader milanais en cas de succès.
Pour le Chievo, qui reste sur deux défaites, il s'agira de réagir. Histoire de rester à distance respectable de la zone rouge. Pour cela, les coéquipiers des Français Kévin Constant, Cyril Théréau et Nicolas Frey peuvent s'appuyer sur leurs récentes performances face à la Roma (2-2) ou à l'Inter Milan (2-1). 

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Friday, December 17, 2010

Europa League 2010 2011 Lille Gent on MiamiGunners Match Of The Week

matchday 6 group c
16th december 2010: lille métropole v. koninklijke gent

Les entraîneurs Rudi Garcia (LOSC Lille Métropole) et Francky Dury (KAA Gent) se réjouissent de disputer leur deuxième derby dans le Groupe C de l'UEFA Europa League. Même si l'un d'eux devra dire adieu à l'Europe jeudi soir.
 Troisièmes avec deux points de retard sur La Gantoise, les Lillois passeront devant la formation de Dury s'ils l'emportent au Stadium Lille Métropole. De son côté, Gand peut se satisfaire d'un nul pour composter son ticket vers la phase à élimination directe.




Sunday, December 12, 2010

Campionato 2010 2011 Bologna AC Milan on MiamiGunners Match Of The Week

serie a 2010/11
week 16
12th december 2010: bologna v. ac milan

 A l’heure de l’apéritif, les rossoneri seront au stade Renato Dall’Ara pour affronter Bologne dans le cadre de la 16ème journée de Serie A. Comme le rappelait Massimiliano Allegri hier en conférence de presse, idéalement l’objectif est simple : arriver à la trêve hivernale avec 39 points, soit deux victoires dans les deux derniers matchs de l’année. Mais aujourd’hui, les coéquipiers de Massimo Ambrosini  ne sont pas à l’abri du faux pas qui pourrait mettre en péril leur statut de leader lors de la dernière journée et cette rencontre délicate à San Siro contre la Roma. Fort d’une différence de buts confortable, le Milan est talonné de prêt par Naples (30 points avec un match en plus) qui s’est imposé hier contre le Genoa et la Lazio (30 points) qui se déplace cet après-midi à Turin. Après la défaite contre la Juventus fin octobre dernier le Milan s’est payé Bari, Palerme, l’Inter et la Fiorentina avant de caler à Marassi contre la Sampdoria  et de se relancer dernièrement de belle manière contre Brescia (3-0). 


Depuis, il y a eu un match de ligue des champions conter l’Ajax certes sans-enjeu mais peu convaincant, perdant (0-2) et révélateurs de certaines dépendances. Un Milan remanié qui perd même sur blessures deux joueurs importants de l’effectif, Flamini et surtout Thiago Silva qui est un élément clé de l’arrière-garde rossonera. Du côté de Bologne, on reçoit son hôte sur une petite lancée sympathique. Après une lourde défaite au San Paolo, les coéquipiers de Marco Di Vaio ont battu Cesena puis en semaine le Chievo  qu’ils n’avaient pu affronter lors de la 14ème journée en raison de la neige. Bologne 13ème au classement qui garde la pêche malgré les lourds problèmes que connaissent les joueurs et le club. Le club s’est déjà vu retirer un point de pénalité.
 

Saturday, December 4, 2010

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Campionato 2010 2011 Lazio Inter


week 15
3rd december 2010: 
lazio v. internazionale milano 

 C’est bel et bien un stadio Olimpico des grands soirs qui sera le théâtre de ce choc de la 15ème journée de Série A. Plus de 50 000 spectateurs sont en effet attendus ce soir pour admirer l’envol d’Olimpia, l’aigle de la Lazio, mais également pour encourager les biancocelesti qui affronteront les champions d’europe en titre.
Ce Lazio-Inter a une saveur toute particulière pour les supporters de la Lazio. Au delà du fait que ce match se joue un vendredi soir, affronter l’Inter, championne d’europe en titre, en la précédant au classement consititue un motif de fierté pour les tifosi biancocelesti. Il faut bien avouer que l’Inter ne réussit pas (ou du moins plus) à la Lazio aussi bien au stade Olympique qu’à San Siro. L’équipe romaine qui était quasiment devenue la bête noire des nerazzurri au début des années 2000, se permettant même le luxe de priver l’Inter d’un scudetto qui lui tendait les bras en 2002, n’est tout simplement jamais parvenue à remporter un duel en championnat sous l’ère Lotito, arrivé au club en juillet 2004. Il y eut bien la finale de la super-coupe d’Italie remportée à Pékin en 2009 par les biancocelesti mais la saison qui suivit fut des plus cauchemardesques pour les coéquipiers de Rocchi.


Monday, November 29, 2010

Quizz Of The Day


(May1975 Bis) ....

Campionato 2010 2011 Sampdoria AC Milan

week 14
27th november 2010: 
sampdoria v. ac milan


"Les blucerchiati affrontent ce soir l’équipe du Milan AC, tout juste qualifiée pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions après une victoire 0-2 sur le terrain de l’AJ Auxerre mardi dernier. Toujours sans Cassano mais avec un Pazzini  qui reste un un joli triplé la semaine passé qui a permis aux siens d’arracher un succès précieux sur la pelouse de Lecce, les joueurs de Di Carlo restent sur deux matchs nuls à domicile (face à Catania et face au Chievo). De leur côté, les rossoneri sont sur une série de cinq victoires de rang avec un Ibrahimovic  qui marque but sur but : de quoi arriver avec le maximum de confiance au Marassi, mais avec également les jambes un peu lourdes… L’an passé, cette rencontre s’était soldée avec un succès 2-1 des locaux, et un but de Pazzini dans les ultimes secondes."

Sunday, November 28, 2010

Monday, November 22, 2010

Amical 1982 France Italie

23 Fevrier 1982
Parc des Princes , 
Paris
43541 spectateurs 
Arbitre Eschweiller Walter  

 Comment passer sous silence la triste impression qu'a laissé cette Squa-dra Azzurra, indigne du calcio italien. Le sélectionneur, Bearzot, à contre courant de la majorité des entraîneurs italiens, essaie pourtant de donner à son équipe  un visage  plus offensif.  Hélas, le mauvais pli est pris ! Que ce soit  en  championnat,  en  Coupe et même à l'entraînement, le catenaccio est roi, avec ce que cela comporte de marquage individuel, de tricheries et parfois, hélas, de défaillances. Avec des défenseurs incapables d'effectuer une  relance  correcte  et  spontanée, avec un milieu de terrain submergé dans l'immensité du Parc des Princes et des attaquants individualistes de la tête  jusqu'au  bout  de   leurs  pieds, l'équipe d'Italie a donné une parodie de football où l'on a rarement vu trois bonnes passes de suite pour une progression rationnelle. Il a bonne mine, aujourd'hui,  le  signor Boniperti,  le patron de la Juventus, lui qui s'étranglait de rire en prétendant que pour gagner un match international, il suffisait aux Italiens de rencontrer ces « minables » de Français... Ces problèmes étaient, de toute façon, loin des soucis des Français. Et, pour un match de préparation, ce fut une réussite parfaite pour les anciens, les jeunes et le sélectionneur, Michel Hidalgo. 
  
 Car,   pour  parler  sèchement chiffres, la France a mis dans sa poche une des têtes de série de la prochaine Coupe du Monde.  Des matches de cette qualité technique et tactique, j'en demande toutes les semaines. Au centre de cette réussite, toujours le même joueur,  le  capitaine   Michel  Platini. D'entrée de match, il a pris un tel ascendant sur son garde du corps, Tardelli, qu'il a, à lui seul, mis en pièce la stratégie défensive de la formation italienne. Et, bien vite, ses partenaires se sont mis au diapason. Pour la circonstance, Platini avait abandonné les avant-postes pour se consacrer à un rôle de stratège plus en rapport avec ses qualités. Et, le plus étonnant, dans le match fourni par le capitaine français, n'est pas tant la démonstration de ses incomparables talents de créateur et de buteur, que la manière dont il a récupéré à tous les coins du terrain une quantité impressionnante de ballons, ses deux premiers tacles sur Tardelli étant comme un prémice au match complet qu'allait nous offrir le numéro 10  tricolore. Son compère du milieu, Alain Giresse, est lui aussi à ranger dans le rayon des grandes satisfactions.

Il  s'est amusé plusieurs fois, dans le match, à faire sauter le ballon au nez des défenseurs italiens et il n'a pas son pareil, en France, pour mettre un partenaire en position de tir. Tel le trois quart centre de rugby qui cadre l'adversaire, Giresse a cette  faculté de fixer le défenseur pour donner dans le mouvement une balle en retrait qui a fait, dans ce match, le régal de Michel Platini, lequel en a expédié une sur la barre transversale ef quelques autres au ras des poteaux. Car, un autre aspect très positif de cette rencontre a été le nombre important d'occasions de buts que se sont procurées les attaquants français. Lors des trois derniers matches face aux Italiens, la France a marqué cinq buts à cette défense réputée pour cette imperméabilité. Peu d'équipes peuvent se vanter d'une telle performance.   Une   preuve   supplémentaire que nos attaquants ne sont pas les plus mauvais.
Dans cette période où tout notre football est obnubilé par le prochain Mun-dial, le mérite est grand, pour Michel Hidalgo, de penser d'ores et déjà à l'avenir. Les deux intronisations d'Amoros et de Bravo s'étant elles aussi soldées par des satisfactions totales, cette soirée du 23 février était décidément bénie des dieux pour notre football.

update


Football Funnies


Update

Wednesday, November 17, 2010

Stade de Reims - Racing Club Paris 1960

Championship match from 1960, featuring the great Reims (and also the great Raymond Kopa), in DVD format. Sadly, it's only the 2nd half (but an exciting second half - all I'll say is that there are goals), starting from 2-0 to Reims.Here are the links:

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Cheers!

Tuesday, November 9, 2010

Football Funnies

1997 World Youth Championship Argentina Republic of Ireland

Semi-final
July 2, 1997,Sarawak Stadium, 
Kuching
Att
endance 14,976
Referee Kim Young-Joo 

 En demi-finale, les petits hommes verts venus d'Irlande avec leur faible budget de fonctionnement estimé à 100 000 francs, ont presque réussi dans leur entreprise. Bousculant les Argentins, les harcelant, ils avaient failli revenir au score et pousser leurs adversaires à la prolongation. Mais une tête trop croisée de Fenn et les séquelles d'un match âpre en quart de finale face aux Espagnols ont eu finalement raison de leurs dernières volontés. Il n'empêche, troisième de l'épreuve après sa victoire face au Ghana (2-1) en match de classement, première des nations européennes (la France, championne d'Europe, a été éliminée en quart de finale par l'Uruguay, l'Eire a séduit tout son monde. Sans complexe, elle a joué un football frais et enthousiaste, spectaculaire et offensif. Une partition tout en jeu court et vivacité, habileté et fantaisie, orchestrée par un remarquable trio d'attaquants composé de Kirby, Fenn et Molloy, bien soutenu par un axe central défensif très clairvoyant, avec Hawkins et Linch.De«vrais» Irish pour la plupart, évoluant dans les centres de formation anglais, qui autorisent la République d'Irlande à rêver d'un avenir radieux. Surtout si, comme cela s'est produit lors de son premier match face au Ghana, en poule, on laisse à nouveau traîner un -N- (pour Northern) devant Ireland sur le tableau d'affichage. Une faute de «goût» qui a peut être décuplé les forces de cette selection surprise. Car comme le confiait Brian Ken, le chef des Martiens»: «Chez nous, la différence se fait grâce au coeur et à l'humilité.

World Youth Championship 1997 Argentina Uruguay

Final
July 5, 1997, 
Shah Alam Stadium, 
Kuala Lumpur
Attendance 62,000
Referee Saad Mane

Pour la troisième fois de son histoire, et la deuxième consécutivement/ l'Argentine est devenue championne du monde des «Moins de 20 ans». Avec Diego Placente, son latéral gauche, elle s'est imposée à l'Uruguay, à l'issue d'une superbe finale.

  Sa tête est mise à prix. Et après son second titre consécutif de champion du monde des «Moins de 20 ans» obtenu en juillet dernier en Malaisie, les tarifs vont flamber, c'est sûr. Pour s'attacher les services de José Nestor Pekerman, le sélectionneur argentin, Boca Juniors, le plus populaire des clubs de son pays, serait même déjà prêt à dépenser 50 millions de francs. Pourtant, là, dans les fraîches travées du Shah Alam Stadium, il la joue encore modeste. Le souffle court et la voix rauque après la bataille qu'il vient de livrer et de  gagner face aux Uruguayens, heureux comme jamais, il se confie tranquillement: «Je crois qu'il n'y a rien de plus beau que de gagner deux Coupes du monde consécutivement...» Les cheveux blancs-blonds ondulés, trempés de Champagne, dégoulinent de plaisir. De ses petits yeux bleus ravageurs, l'homme scrute son assistance. La presque cinquantaine sportive, la classe naturelle, un visage de page de la Renaissance légèrement mangé par le temps et les épreuves de la vie, il vole à nouveau, sans le vouloir, la vedette à ses joueurs. Il faut dire que «Pacman» est un sacré bonhomme, un chercheur d'or hors pair. Au nombre des pépites dénichées par ses soins au fil des ans, on compte ainsi un certain Diego Maradona ou encore Fernando Redondo, Heman Crespo, Alessandro Basile ou Fernando Caceres... Ses» dernières trouvailles :Cambiasso, génie tactique, déjà emmailltoté par le Real Madrid, Riquelme. un fabuleux milieu de terrain doté d'une frappe surpuissante, titulaire en D1 Argentine et Pablo Aimar, successeur d'Ariel Ortega.

Médaillé de bronze au Mondial avec les -Moins de 17 ans», champion d'AmSud et deux fois champion du monde avec les «Moins de 20 ans», Pekerman esr un rigoriste convaincu aussi, capable d'écarter ses meilleurs éléments à des fins stratégiques. En cours de tournoi, il a ainsi évincé, le temps d'un match, son gardien Franco, coupable de légereté face à l'Australie, Riquelme, en demi-finale contre l'Eire, son stratège Pablo Aimar et son capitaine Diego Markic, en finale, pour muscler son milieu de terrain et contrer les forces uruguayennes. Pekerman est enfin un compétiteur né, dangereux récidiviste qui, bientôt, ne pourra plus se complaire dans le monde des «enfants». D'autres tâches l'attendent,même s'il préfère encore les éviter: La seule chose que je puisse dire, c'est que je serai en Egypte avec les "Moins de 17 ans" en septembre prochain. Mon avenir, j'en discuterai après.» Mais déjà, dans toute l'Argentine, on commence à imaginer ce merveilleux alchimiste à la tête de la vraie sélection, en lieu et place de Passarella, le très discuté et discutable sélectionneur national. Seul inconvénient, «Pacman» n'a jamais connu le «monde adulte», «préférant sortir de la rue les jeunes talents.» A travers ces mots, c'est aussi un secret de l'Argentine triomphante qu'il dévoile: «Ce n'est pas facile pour les enfants chez nous. La drogue et la violence sont deux fléaux très présents et deux moyens "aisés" pour sortir de la misère urbaine. Et c'est pourquoi les gamins qui ont l'aubaine d'intégrer de bons clubs formateurs comme le Racing Club ou Esgrima La Plata par exemple, ont tous la farouche volonté de se battre pour devenir professionnels. La concurrence est rude, mais le foot est un extraordinaire stimulant moral et une bonne méthode pour s'accomplir.»

Ceux qui pleurent ou crient leur joie sur la pelouse du somptueux stade de Shah Alam ont de bonnes chances d'y parvenir: et ils savent sûrement que ce titre va les y aider. Dans un manège fou, ils tournent encore et encore sur cette piste d'athlétisme, vêtus de drapeaux et d'oriflammes ciel et blanc. Ivres de bonheur, les cheveux hirsutes, les yeux brillants d'une félicité jamais atteinte. Plus loin, sous le plastique de la cabane des remplaçants, ils sont une quinzaine à fermer les yeux ou à pleurer. Le regard brouillé, les jeunes Uruguayens chassent les démons d'une défaite en finale de ce Mondial. Petit tonneau de 108 kilos, barrique de 170 centimètres plutôt courte sur pattes, Victor Pua, le technicien en chef de la formation uruguayenne, dispense ses félicitations à l'équipe. Mot à mot, il console les siens. «Mes joueurs ont été formidables de courage. Je suis très, très fier d'eux.» Mais quand les dernières portes des vestiaires se referment, la tristesse perle à travers ses prunelles vertes. Il aurait tant voulu redonner un grand éclat à ce football urugayen en mal de résultats depuis cet incroyable titre de champion du monde 1950 gagné aux dépens du Brésil, au Maracana de Rio. Il aurait tant aimé, l'espace d'une journée, chasser quelque peu la grisaille quotidienne de son peuple, durement touché économiquement. Il voudrait tant de choses, ce Senor Pua, homme de foi et de passion, docteur es football pour jeunes de haut niveau, ancien numéro 10 à la Maradona» du River Plate de Montevideo, ex-international uruguayen reconverti en sélectionneur de cette Petite Céleste.