Thursday, April 29, 2021

Leeds United The Greatest Ever Team

 
   When winger Arthur Graham signed for Leeds United from Aberdeen (or £100,000 in the close season, he became the latest in a long line of Scots to join the ranks of the Northern club, all seeking football fame and glory. Leeds have had a long association with Scottish footballers, stemming from the days when Bobby Collins led them to promotion from the Second Division in 1964. Middlesbrough's Terry Cooper, the former England international whose career with Leeds in an ever changing Tartan athmosphere, has definite view of the key players at Elland Road were — and are - Scottish. He says: "Don Revie had a tremendous scouting system operating in Scotland. He believed there was a wealth of untapped talent North of the border. "And when he bought players, he often went for known Scots. Collins was one of the Scots Ravie bought. He joined the club in March, 1962, from Everton. At the time Collins had won 28 international caps. He added three more to that with Leeds in the twilight of a colourful career.

Scotland : 1974 Undefeated



The Clough Revie Interview 1974

 

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Focus On : Sol Man The Story Of Sol Campbell

 

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USA Bicentennial Cup Tournament 1976 England Team America

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Inauguration Stade de France : Amical 1998 France Espagne

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QPR Season Review 1990 1991

 

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Amical 2012 Suisse Argentine

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Sporting Clube do Portugal 1964

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Champions League 1999 2000 Real Madrid Bayern Semis Finals

First and Second Leg
May 2000

   Madrid n'a d'yeux que pour lui. Fini, la disgrâce et les mises au rancart. Anelka est de retour. Et Anelka ouvre la voie de la qualification pour la finale. Quatrième minute Ă  Santiago Bernabeu. Chacun cherche ses marques. Tandis que le Bayern, comme Ă  son habitude, fait en sorte de mettre en place son système de jeu qui repose en grande partie sur une formidable soliditĂ© dĂ©fensive et une incroyable habiletĂ© Ă  dĂ©clencher ses contres, le Real, lui, montre très vite qu'il a des fourmis dans les jambes. C'est Raul, le premier, qui va mettre le feu aux poudres. Le voilĂ  dans sa position favorite de relanceur. Il a l'Ĺ“il Ă  tout, le regard pĂ©riphĂ©rique. Son Ă©lĂ©gance naturelle et sa technique Ă  la fois fluide et fine le dĂ©signent comme l'Ă©tincelle qu'il faut Ă©teindre au plus vite. Thorsten Fink n'y parvient pas et Raul peut passer le relai Ă  Nicolas Anelka qui vient de prendre la poudre d'escampette. Il est dĂ©jĂ  dans la surface, en position de tir. Jens Jeremies a beau se jeter devant lui dans un geste dĂ©sespĂ©rĂ©, Nicolas a dĂ©jĂ  enroulĂ© sa frappe du pied droit ainsi qu'un ruban autour d'une offrande. Oliver Kahn ne peut rien faire. Anelka vient d'offrir le premier but Ă  Madrid. Le Real ne regrette plus son fabuleux investissement et veut croire maintenant que le joueur de Trappes n'est pas qu'un enfant gâtĂ©. 

Focus On : Paul Gascoigne : "Waiting For Gascoigne"

 When Rangers signed "Gazza" in the summer of 1995 from Lazio for a fee of £4.3 million, it was probably the biggest coup ever seen in Scottish football. Here was the English hero of Italia 90 and the midfielder acknowledged by English fans as the most talented player of his generation coming to Scotland - and he wasn't even at the veteran stage yet! Rangers knew they were getting a world class performer to join their other one, Laudrup, but manager Smith also knew that the two players were chalk and cheese when it came to their personality. Gascoigne brought genius and madness with him as well as a lot of baggage for the media to latch on to whereas Laudrup was the model professional with the stable and happy homelife.

Focus On : Paul Gascoigne : "Italia 90", Gascoigne Glory"

 A entendre Bobby Robson cĂ©lĂ©brer les vertus mentales de son Ă©quipe, on aurait eu tendance Ă  la prendre pour une gagneuse. Une de ces crĂ©atures sans beaucoup de cervelle, qui se dĂ©chire les tripes pour gagner sa croĂ»te. Et quand Robson en rajoute en disant que sa troupe est arrivĂ©e jusqu'Ă  Turin grâce, surtout, «Ă  son esprit de combat, sa volontĂ© et ses jambes », on se dit que l'Angleterre n'a donc pas eu Ă  jouer au football pour se payer une tranche de demi-finale (ce qu'elle n'avait pas fait depuis 1966). Et c'est vrai que depuis que Robson - non, pas Bobby : l'autre, Brian, le joueur - est absent, l'Angleterre a du mal Ă  ordonner son jeu. Elle a des jambes, c'est sĂ»r, elle a du cĹ“ur, elle a du souffle mais elle n'a pas de tĂŞte. Alors, forcĂ©ment, on tremble un peu pour elle face Ă  l'Allemagne et Ă  son empire du milieu. Car, Ă  l'inverse, les Allemands sont des aigles Ă  deux, voire trois tĂŞtes. Quand Pierre Littbarski rĂ©pond « nein » Ă  l'appel du soir, le Kaiser peut se permettre le luxe d'aligner Olaf Thon et Thomas Hassler pour jouer les grosses tĂŞtes Ă  cĂ´tĂ© de la îête pensante de Lothar MatthĂ us...

Amical 2012 Allemagne France

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Club Spotlight : Fiorentina La Storia Viola

 Rarement un joueur a Ă©tĂ© autant en harmonie avec la ville oĂą il Ă©voluait. Giancarlo Antognoni, surnommĂ© « l'archange aux pieds de velours », a illuminĂ© le jeu de la Fiorentina dans les annĂ©es 1970-1980. Un expert du football mondial, Jacques Thibert, a mĂŞme affirmĂ© un jour : « Si Antognoni avait vĂ©cu au XVIe siècle, nul doute qu'il aurait Ă©tĂ© le modèle de Michel-Ange. » « L'archange » ne pouvait distiller un tel art du jeu, une telle aisance dans l'espace et sur le sol qu'Ă  Florence, ville de la Renaissance aux riches musĂ©es, tels ceux des Offices, du Bargello, du palais Pitti ou de la galerie de l'AcadĂ©mie. Capitale de la Toscane avec ses 450 000 habitants, arrosĂ©e par l'Arno, fleuve de magie et de lĂ©gendes, cette citĂ© active devenue grand centre touristique ne peut accepter n'importe quel football. LĂ , comme nulle part ailleurs, le jeu du ballon rond doit correspondre Ă  un certain art de vivre. Ce que comprend bien Luigi Ridolfi, aristocrate local issu d'une grande famille toscane et amoureux du football, qu'il a dĂ©couvert lors de ses voyages sur le continent et en Grande-Bretagne. De retour au pays Ă  trente et un ans, il convainc les deux clubs locaux, Palestra Ginnastica Libertas et Club Sportivo Firenze, de fusionner. Le 26 septembre 1926 naĂ®t donc l'AC Fiorentina Firenze - fiorentina, mot Ă  double sens signifiant Ă  la fois « florentine » et « en fleur ».

Euro 1976 Qualfs Hollande Italie

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Primera Division 1981 1982 Real Sociedad FC Barcelone

Day 7
24 october 1981
Estadio Anoeta,
San Sebastian

Referee E. Soriano Aladren


  Le pays» Basque sent la poudre. Politiquement et footballistiquement. En première division espagnole, Athletic Bilbao et la Real Sociedad de San SĂ©bastian reprĂ©sentent Euskadi, la « nation » basque. Glorieusement : le premier a jouĂ© en 1977 la finale de la Coupe U.E.F.A. La seconde lutte cette annĂ©e pour le titre de champion contre un adversaire aux moyens incomparablement supĂ©rieurs : Sa MajestĂ© le Real Madrid. Tout le monde s'en Ă©tonne, sauf les Basques qui ont tout programmĂ© pour ça. San SĂ©bastian. 

Steve Bull Bully Bully

DFB Pokal 1978 1979 Fortuna DĂĽsseldorf Hertha Berlin


Arsenal Goodies

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Benfica Great Teams series

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Friendly 1981 Brasil Irleland

23 September 1981
Estádio Estádio Rei Pelé, Maceió
Referee Oscar Scolfaro