Thursday, May 13, 2021
FA Cup 2011 2012 Liverpool ManchesterUnited
DDR FDGB Pokal 1982 1983 FC Karl Marx Stadt FC Magdeburg
Campionato 1989 1990 Juventus Milan
11 Mars 1990
Torino Stadio Comunale
Torino Stadio Comunale
Juventus: Tacconi; Galia; De Agostini; Alessio (Brio 46’); Bruno; Sonetti; Aleinikov; Rui Barros; Zavarov (Serena M.74’); Marocchi; Schillaci, Allenatore Dino Zoff.
Milan: Galli; Bassotti; Maldini; Colombo (Stroppa 38’); Costacurta; Baresi; Donadoni (Simone 74’); Ancelotti; Van Basten; Evani; Massaro. Allenatore Arrigo Sacchi.
Team Links
Grandi partite della Serie A,
Juventus,
Milan AC
DDR FDGB Pokal 1984 1985 Dynamo Berlin Dynamo Dresden
DFB Pokal 2007 2008 Borussia Dortmund Bayern Munich
DFB Pokal 2013 2014 Borussia Dortmund Bayern Munich
GOODIES : Despedida zidane
C2 1965 1966 Borussia Dortmund Liverpool
Champions League 1999 2000 Feyenoord Chelsea
Major League Soccer 2011 Toronto Chivas USA
Finally, TFC face a team that has been in MLS for more than a week. On Saturday, we will be hosting Chivas USA who are in their seventh MLS season. If the name “Chivas” rings a bell it’s because it is the nickname of the Mexican club C.D. Guadalajara. Both Chivas clubs have the same owner and Chivas Guadalajara is considered the parent club to Chivas USA.
Chivas USA has enjoyed success in the past under current USA head coach Bob Bradley and a certain Predrag Radosavljevic, who you may recognize as “Preki”, TFC’s coach last season before he was sacked along with our former sith lord GM Mo Johnston. Bradley took Chivas to the playoffs in their second season after placing 3rd in the Western Conference. Preki took over for Chivas’ third season where he led the Rojiblancos to a 1st place finish in the Western Conference. They went on to the playoffs, but failed to advance past the conference semis.
Chivas USA has enjoyed success in the past under current USA head coach Bob Bradley and a certain Predrag Radosavljevic, who you may recognize as “Preki”, TFC’s coach last season before he was sacked along with our former sith lord GM Mo Johnston. Bradley took Chivas to the playoffs in their second season after placing 3rd in the Western Conference. Preki took over for Chivas’ third season where he led the Rojiblancos to a 1st place finish in the Western Conference. They went on to the playoffs, but failed to advance past the conference semis.
C1 1972 1973 Derby County Juventus
Ligue 1 2011 2012 Paris Sg Lille
18 December 2011
Parc des Princes Paris
Referee Mr Turpin
Le PSG et Lille ne se sont pas départagés au Parc des Princes, à l'issue d'un match qui n'a pas tenu toutes ses promesses et s'est soldé par un score vierge (0-0). Lille (3e), en bon champion de France, a tenu le tempo du match. Le PSG reste 2e derrière Montpellier à la différence de buts. PSG - Lille : 2-3. Nous ne parlons pas ici du score final, mais du nombre de tirs cadrés, un total finalement décevant pour un match attendu comme le duel entre les deux plus belles puissances de frappe de la Ligue 1. Le Paris-SG a manqué une occasion de reprendre la première place à Montpellier en concédant un match nul au champion de France (0-0), dimanche en clôture de la 18e journée, et il n'a pas énormément de regrets à nourrir. Le meilleur joueur parisien, et même de la rencontre, se nomme Salvatore Sirigu. Le gardien du club de la capitale a été décisif sur deux arrêts exceptionnels opposés à Gueye et Jelen en toute fin de rencontre.
Parc des Princes Paris
Referee Mr Turpin
Le PSG et Lille ne se sont pas départagés au Parc des Princes, à l'issue d'un match qui n'a pas tenu toutes ses promesses et s'est soldé par un score vierge (0-0). Lille (3e), en bon champion de France, a tenu le tempo du match. Le PSG reste 2e derrière Montpellier à la différence de buts. PSG - Lille : 2-3. Nous ne parlons pas ici du score final, mais du nombre de tirs cadrés, un total finalement décevant pour un match attendu comme le duel entre les deux plus belles puissances de frappe de la Ligue 1. Le Paris-SG a manqué une occasion de reprendre la première place à Montpellier en concédant un match nul au champion de France (0-0), dimanche en clôture de la 18e journée, et il n'a pas énormément de regrets à nourrir. Le meilleur joueur parisien, et même de la rencontre, se nomme Salvatore Sirigu. Le gardien du club de la capitale a été décisif sur deux arrêts exceptionnels opposés à Gueye et Jelen en toute fin de rencontre.
Ligue 1 2010 2011 Marseille Paris Sg "Le Classico"
Ligue 1 2011 2012 Paris Sg Bordeaux
25 Mars 2012
Parc des Princes Paris
Comment analyser de facon rationelle les dernieres sorties du Paris-SG ? Comment tirer des conclusions de telle rencontres, où Carlo Ancelotti semble avoir tout fait en dépit de la logique, où ses décisions étaient à l'opposé de celles qu'auraient prises la plupart des entraîneurs ? Et pourtant... Pourtant, ses choix ont été décisifs puisqu'ils ont directement permis à Paris de s'en sortir ! À Dijon, l'équipe parisienne démarre dans une organisation identique à celle qu'alignait Antoine Kombouaré - un 4-2-3-1 -, avec le seul Alex comme élément nouveau par rapport au début de la saison. On ne parle donc plus du fameux « sapin de Noël » cher aux médias. On sait que dans cette organisation l'équilibre est difficile à trouver avec quatre joueurs très offensifs et deux milieux travailleurs. Quand Sissoko est expulsé peu avant la mi-temps, on s'attend donc à ce que l'entraîneur sorte un joueur offensif pour faire entrer un soutien à Biaise Matuidi, désormais seul : Clément Chantôme, par exemple. Il n'en fait rien, ce qui est tout de même très gonflé. Paris ouvre ensuite le score par son latéral gauche, servi par un centre adressé de la gauche par son avant-centre - et non l'inverse -, ce qui est tout de même signe de bon karma.
Parc des Princes Paris
Comment analyser de facon rationelle les dernieres sorties du Paris-SG ? Comment tirer des conclusions de telle rencontres, où Carlo Ancelotti semble avoir tout fait en dépit de la logique, où ses décisions étaient à l'opposé de celles qu'auraient prises la plupart des entraîneurs ? Et pourtant... Pourtant, ses choix ont été décisifs puisqu'ils ont directement permis à Paris de s'en sortir ! À Dijon, l'équipe parisienne démarre dans une organisation identique à celle qu'alignait Antoine Kombouaré - un 4-2-3-1 -, avec le seul Alex comme élément nouveau par rapport au début de la saison. On ne parle donc plus du fameux « sapin de Noël » cher aux médias. On sait que dans cette organisation l'équilibre est difficile à trouver avec quatre joueurs très offensifs et deux milieux travailleurs. Quand Sissoko est expulsé peu avant la mi-temps, on s'attend donc à ce que l'entraîneur sorte un joueur offensif pour faire entrer un soutien à Biaise Matuidi, désormais seul : Clément Chantôme, par exemple. Il n'en fait rien, ce qui est tout de même très gonflé. Paris ouvre ensuite le score par son latéral gauche, servi par un centre adressé de la gauche par son avant-centre - et non l'inverse -, ce qui est tout de même signe de bon karma.
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