Saturday, November 26, 2011

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Friendly 1977: Brazil West Germany


Data (Date): 12-06-1977
Competição (Competition): amistoso (friendly)
Local (Place): Estádio do Maracanã
Cidade (City): Rio de Janeiro (Brasil/Brazil)
Árbitro (Referee): L. Pestarino (Argentina)

Brasil (Brazil): Leão, Zé Maria, Luís Pereira,
Amaral, Rodrigues Neto, Toninho Cerezo,
Zico, Rivellino, Gil (Marcelo),
Roberto Dinamite,Paulo César Caju
Técnico (Coach): Cláudio Coutinho

Alemanha Ocidental (West Germany): Maier, Vogts,Kaltz, Rüssmann, Dietz - Hölzenbein (Tenhagen),Bonhof, Beer (Heinz Flohe) - Abramczik, Fischer, Volkert (Rummenigge). Técnico (Coach): Helmut Schön

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Wednesday, November 23, 2011

Friendly 2011 Ukraine Germany

11. 11. 11.
Olympic stadium 
Kyiv, Ukraine
69 700 spectators
Referees: V. Carballo,
A. Fernandes,
J. Jimenez
Ukraine: Oleksandr Rybka, Yevhen Selin, Oleksandr Kucher, Yaroslav Rakitskiy, Bohdan Butko, Anatoliy Tymoshchuk, Yevhen Konoplianka (Artem Fedetskiy, 90), Roman Bezus (Serhiy Nazarenko, 42), Andriy Yarmolenko (Oleksandr Aliyev, 82), Artem Milevskiy (Marko Devic, 66), Andriy Shevchenko (Oleksiy Hai, 67). Coach: Oleg Blokhin.

Germany: Ron-Robert Zieler, Dennis Aogo, Mats Hummels, Holger Badstuber, Jerome Boateng, Sami Khedira (Simon Rolfes, 46), Mesut Oesil (Thomas Mueller, 66), Christian Traesch (Andre Schuerrle, 46), Toni Kroos (Lars Bender, 89), Mario Goetze (Lukas Podolski, 66), Mario Gomez (Cacau, 83). Coach: Joachim Loew.

Germany came from two goals behind to draw 3-3 with Ukraine in a friendly on Friday in the first game in the Olympic Stadium in Kiev, which will host the final of next year's European Championship.

Germany dominated despite missing a number of its top players, but Ukraine was dangerous on the break, and was roared on by the 70,000 crowd.

Ukraine took the lead in the 28th minute through Andriy Yarmolenko, and Yevhen Konoplianka added a second in the 36th after sprinting about 50 yards (45 meters) .

Toni Kroos fired in from distance for Germany's first in the 39th minute. But Ukraine restored its two-goal lead just before halftime, when Serhiy Nazarenko curled in a similar long-range shot.

Germany started its comeback in the 65th when Simon Rolfes blasted in from a corner, and the equalizer came in the 77th through Thomas Mueller's 20-yard shot.

Germany had the best of the early exchanges, but Ukraine was holding its shape and defending well. The opening goal came when Andriy Shevchenko found Artem Milevskiy breaking down the right. He flicked a pass to Yaroslav Rakitskiy outside him whose fired cross was bundled in by Yarmolenko.

Eight minutes later, and Ukraine had a second. Milevskiy controlled the ball in his own penalty area and played a long pass to Konoplianka. He raced clear of the defense, took the ball past the goalkeeper and slotted in.

Germany was finally rewarded for its pressure when Kroos curled the ball home and it almost drew level in the 44th minute. Oleksandr Rybka failed to deal with a Mesut Oezil header, which hit the post and then the goalkeeper, who eventually managed to grasp the ball on the goal line.

Ukraine broke immediately forward and substitute Nazarenko, who had only been on the pitch for three minutes, hit a sweet shot into the top corner from 30 yards.

"We made a few mistakes that led to goals, but in general I saw dominance from our team,'' Germany coach Joachim Loew said. "I was surprised given the amount of attacks that we (conceded) three goals. Ukraine played well. I have never seen a team fight so hard for the ball.''

Germany started the second half on the attack, but the best two chances fell to Shevchenko and Nazarenko on the break, who both shot wide.

Germany's second goal came from an Oezil corner, which fell for Rolfes to fire in after the defense failed to clear the ball.

The visitors drew level when Rybka reacted slowly to Mueller's low shot from 20 yards.

Ukraine could have taken a surprise win at the end, but substitute Marko Devic twice failed to score when put in by passes from Konoplianka.

"I am very satisfied with the game and the result'', Ukraine coach Oleh Blokhin said.

"The team rallied together in the face of all the difficulties we've had'', he said, referring to the squad's injury crisis. "I thanked the team after the game for giving everything.''

Tuesday, November 22, 2011

English Leagues the 70s: Division One 1979 1980 Southampton Liverpool

Day 4
1st September 1979
St Mary's Stadium,
Southampton


 "C'est vraiment une histoire étrange. Le manager de Southampton. Mac Menemy, m'a téléphoné pour me dire : « Pourrions-nous nous rencontrer afin de parler de ton éventuelle venue à Southampton?» Mac Menemy est un bon ami ; nous travaillons ensemble à la télévision anglaise. Je l'aime beaucoup. C'est un homme très intéressant et pas seulement sur le plan football. Et parce que j'apprécie l'homme en plus du technicien, j'ai dit à Jean, ma femme : « Je dois au moins le rencontrer, ne serait-ce que par pure politesse. » Mais jamais je n'avais imaginé partir à Southampton. C'était avant le dernier match de l'équipe d'Angleterre, le 6 février à Londres contre l'Eire. Nous nous sommes vus une quinzaine de minutes seulement, le dimanche précédant la rencontre. J'étais chez des amis londoniens et je leur ai dit que je revenais dans l'heure suivante. Je me suis rendu dans l'appartement que possède Mac Menemy à Londres et c'est là que nous avons eu notre discussion. Je partais pour dire au manager que je pensais plutôt à un grand club. Il était 21 heures. A 22 heures j'étais de retour après avoir donné mon accord. Voilà comment les choses se sont passées. Il m'a fallu quinze minutes pour me décider.  

Tous les dirigeants étrangers ne me parlaient que de contrats financièrement fantastiques, avec une durée bien précise de trois ou quatre ans. Ils ne faisaient jamais allusion à l'équipe elle-même ou à son palmarès même si, dans ce cas-là, ils n'avaient rien à ajouter tant leurs résultats sont connus et archi-connus. Mac Menemy m'a parlé de ma famille tout de suite. Egalement de cette région de l'Angleterre que je connais et qui est très agréable. Enfin des amis que j'aurai au sein de l'équipe, par exemple Mike Shannon, qui est mon meilleur compagnon dans le football anglais. Sans oublier Watson, le défenseur, avec qui je joue en équipe nationale, Alan Bail, qui a toujours été mon modèle sur le terrain et qui va devenir manager, dès la saison prochaine, d'une équipe de troisième division. Il a évoqué pour moi cette équipe et ses possibilités si j'acceptais de signer. Mac Menemy voudrait que j'apporte quelque chose aux jeunes, tel que le demi Steve Williams qui a d'énormes qualités et avec l'apport des deux Yougoslaves, le gardien de Hajduk Split et Godac le défenseur, ainsi que Phil Boyer le buteur, il pense que Southampton devrait avoir de meilleurs résultats encore. En quinze minutes, il m'avait convaincu. Les dirigeants de Liverpool lorsqu'ils ont appris la nouvelle de ton transfert à Southampton, ont été fantastiques. Ils ont aussitôt accepté. 

J'ai téléphoné à Mr. Smith, le président, et à Peter Robinson, le secrétaire général, pour leur demander leur autorisation, puisque mon contrat stipulait que Liverpool avait un droit en cas de retour en Angleterre. Bien entendu, si j'avais voulu signer à Everton ou Manchester, je crois qu'ils auraient refusé ; mais Southampton est — pour le moment — suffisamment modeste pour qu'ils disent oui. C'est d'autant plus gentil de leur part, qu'ils avaient J'occasion de racheter mon contrat pour 800 000 marks (deux millions de francs), alors que j'ai coûté le double à Southampton. L'affaire s'est réglée en dix minutes avec le président de Hambourg et en deux minutes avec celui de Liverpool, par téléphone. Ils m'ont tous deux souhaité bonne chance pour l'avenir; c'est tout. C'était quasiment fait avec la Juventus. Mais je peux dire qu'ils me rendaient fou. Un jour les dirigeants me déclaraient que demain elles étaient fermées, ainsi de suite pendant des semaines.  Les gens de la Juventus venaient me relancer jusqu'au samedi matin juste avant mes matches. Une quinzaine de clubs en faisaient de même. Tous ne me parlaient qu'argent. J'ai dit à ma femme que je n'en pouvais plus, que je devais prendre une décision définitive. Et puis pour Hambourg c'est mieux ainsi. Les dirigeants ont le temps de voir venir et de me remplacer.  Depuis trois ans que je suis à Hambourg, je n'ai vraiment pas à me plaindre. J'ai gagné plus que je n'aurais jamais imaginé. A Southampton, je vais me sentir bien, alors je considère que je retourne en Angleterre aussi pour ma famille. Cela permettra au moins à ma fille Laura Jane d'apprendre l'anglais avant l'allemand. Et la région où nous allons habiter est magnifique. Je crois que ma femme, ma fille et moi allons vraiment nous sentir à la maison. 

Oh, tu sais, on m'a fait beaucoup de critiques : que je ne gagnerai aucun titre Southampton, que j'aurai à disputer soixante-dix matches par an, etc."Et alors? C'est justement excitant de devoir gagner le championnat avec une équipe présumée plus faible, pour l'instant du moins.  Le club s'est découvert une ambition soudaine, certainement appuyé par la ville qui aidera à la construction d'un grand stade, car celui qui existe actuellement ne fait que vingt-cinq mille places je crois. Mais si l'équipe n'avait pas été bonne, je n'aurais pas donné mon accord. Là, tout est réuni. Je rêve maintenant de gagner le championnat. J'ai aussitôt aimé les dirigeants, les joueurs, le club. Je veux également réussir ce nouveau défi. Ma nature me pousse sans cesse à prendre des paris. Il faut que je gagne encore celui-là. Jusqu'à présent, je m'étais beaucoup préoccupé de rencontrer des gens, de découvrir de nouveaux horizons. Avec mon retour en Angleterre, j'ai l'occasion de continuer mon exploration tout en préservant pour le club mon envie de gagner.  Tout ce que les journaux ont écrit au sujet de ma femme est faux. Lorsque je lui ai annoncé la nouvelle, elle m'a simplement dit que j'avais probablement raison. Elle n'a appris mon accord avec Southampton qu'après que j'eus serré la main de Mac Menery. Jean sait que pendant encore trois ou quatre ans, il lui faudra suivre le chemin de mes crampons. C'est notre vie pour le moment..." (Keegan March 1980)

Euro 2011 Qualifying Croatia Turkey

Play Offs, Second Leg15 November 2011Stadion Maksimir,Zagreb
Arbitre: Pedro Proenca
Referee: 26371 

 On ne va pas se mentir. La première mi-temps de ce quart de finale entre outsiders a frôlé la purge. C’était bien parti, pourtant. Parce qu’Altintop a tenté le diable dès la 4e minute, et que Kranjcar lui a répondu dans la minute. Ensuite? Un minuscule match, éclaboussé par des contrôles manqués et des passes trop molles. On a compté: trois frappes turques en 45 minutes. L’alléchant jeu croate? Une vingtaine de secondes, à peine. Le temps pour Luka Modric de trouver Ivica Olic. Seul face au but, le buteur au damier s’est fait plaisir en testant la solidité de la barre transversale de Rustu (13e). A la pause, on était à deux doigts de descendre dans les vestiaires du Ernst-Happel Stadion pour demander des comptes aux responsables de ce brouet. Evacuons tout de suite les excuses traditionnelles: il faisait lourd sur le Prater (28°). 
 Les deux formations viennent d’enchaîner trois matchs en une semaine et demie. Mais au milieu de la seconde période, le stade a vraiment commencé à s’inquiéter. Parce que le rugueux Simunic a tenté une roulette dans ses trente mètres. Parce que Luka Modric a raté sa première passe de l’Euro. Sur le front de l’attaque slave, Olic a bien tenté de convertir une ou deux miettes. Sur l’une d’elle, Rustu s’est senti obligé de plonger (71e). Pour la forme. La seconde fois, il a dû y aller de sa parade pour sortir un coup-franc de Srna de sa lucarne (83e). On ne peut reprocher aux Turcs d’avoir gâcher: ils n’ont rien tenté. Dans ces conditions, ajouter deux prolongations de 15 minutes, c’est à deux doigts de la punition. On en a donc repris pour 119 minutes de maladresse. Mais en une minute, on en a vu plus que lors des 119 précédentes. Ivan Klasnic a cru donner la victoire aux Croates (1-0, 120e). Mais Semih a égalisé alors que certains avaient déjà éteint les ordinateurs (1-1, 121e). Modric, Rakitic et Petric ont joué les martyrs en loupant leurs tirs, envoyant la Turquie en demi-finale. Il fallait bien désigner un vainqueur pour aller se faire écharper au tour suivant par l’Allemagne. 

Copa America 1991: Brasil Ecuador

Data (Date): 15-07-1991
Tipo (Class): oficial de competição (official of competition)
Local (Place): Estádio Sausalito
Cidade (City): Viña del Mar (Chile)
Árbitro (Referee): Juan Francisco Escobar (Paraguai/Paraguay)

Brasil (Brazil): Taffarel, Mazinho, Márcio Santos,Branco, Mauro Silva, Márcio, Neto (Luís Henrique),Mazinho Oliveira, Sílvio (Careca), João PauloTécnico (Coach): Falcão

Equador (Ecuador): E. Ramirez, Montanero, Tenório,Capurro, H. Quiñones - F. Bravo, Carcelén (Burbano),Ivo Ron (Garay), Aguinaga - C. Muñoz, AvilésTécnico (Coach): Dusan Draskovic

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Friendly 1985: Brasil Finland


Data (Date): 17-04-1986
Competição (Competition): amistoso (friendly)
Local (Place): Estádio Mané Garrincha
Cidade (City): Brasília (Brasil/Brazil)
Árbitro (Referee): José de Assis Aragão (Brasil/Brazil)

Brasil (Brazil): Carlos (Paulo Vítor), Leandro,Oscar, Mozer, Branco, Elzo, Sócrates, Müller
(Casagrande), Marinho, Careca, Edivaldo.Técnico (Coach): Telê Santana

Finlândia (Finland): Ismo Korhonen, Aki Lahtinen,Jukka Ikäläinen, Mikael Granskog, Jyrki Nieminen
(Ismo Lius) - Hannu Turunen, Esa Pekonen,Kari Ukkonen (Petri Tiainen) - Pasi Rautianen,Ari Hjelm (Ari Valvee), Jari Rantanen.Técnico (Coach): Matti Kuusela

Comments: portuguese

Monday, November 21, 2011

P.L. 2011 2012 Tottenham Aston Villa

21 November 2011
White Hart Lane,
London


 Tottenham a continué son excellent début de saison en battant facilement Aston Villa à domicile (2-0), lundi en clôture de la 12e journée du championnat d'Angleterre, et s'est emparé de la 3e place du classement devant Newcastle. Cela fait près de 50 ans que les Spurs n'ont pas connu un début de saison aussi bon. Les voila invaincus depuis leur lourde défaite face à Manchester City (5-0), lors de la troisième journée qui suivait un premier revers à Manchester United. Depuis, c'est un véritable rouleau compresseur qui déboule du nord de Londres. Lundi, Aston Villa, sous les yeux de son supporteur numéro 1 le Premier ministre David Cameron, n'a tenu que 14 minutes, le temps pour Emmanuel Adebayor d'inscrire son premier but de la soirée d'un joli retourné acrobatique (1-0). Le Togolais a également marqué le second but de son équipe (2-0, 40) après une mésentente dans la défense des Villains. Mais il a aussi raté quatre autres grosses occasions (14, 52, 62 et 77) qui auraient assis encore plus la domination des Spurs, jamais inquiétés et emmenés par un excellent Gareth Bale. Tottenham, qui a un match de retard à jouer face à Everton début janvier à domicile, complète le trio de tête derrière les deux équipes de Manchester, intouchables pour l'instant. Les Londoniens devancent désormais Newcastle, battu à City (3-1) samedi, à la différence de buts (+8 contre +7), et possèdent trois points d'avance sur Chelsea, Liverpool et Arsenal. Les hommes d'Harry Redknapp, de retour sur le banc de touche lundi après une petite opération du coeur il y a trois semaines, ont aussi un calendrier favorable puisqu'ils affronteront West Bromwich, Bolton, Stoke et Sunderland avant la réception de Chelsea le 22 décembre. Pour Aston Villa, la saison moyenne continue puisque les partenaires de Charles N'Zogbia, resté sur le banc de touche lundi, conservent leur 8e place au classement mais n'ont que quatre points d'avance sur le 17e.

Thursday, November 17, 2011

Euro 2012 Play-Offs Bosnia Portugal

Play Offs, Second Leg
Stadion Bilino Polje,
Zenica
Referee: H. Webb 

Pour une fois, Cristiano Ronaldo ne devrait pas entendre parler de Lionel Messi. Accueilli en fin de semaine dernière à son arrivée en Bosnie-Herzégovine par des supporters adverses qui, pour le chambrer, ont scandé le nom de son rival barcelonais, la star madrilène sera mardi soir sur ses terres, devant le public lisboète qui l'a vu éclore. Et ça tombe bien, car le Portugal a plus que tout besoin de sérénité pour préparer son barrage retour de l'Euro 2012. Cette sérénité qui, justement, avait manqué à "CR7" à Zenica, où il avait adressé un doigt d'honneur à quelques petits malins qui s'étaient incrustés à l'entraînement d'avant-match de la Selecçao pour à nouveau chanter "Messi, Messi, Messi"... 

 Pour aller en Ukraine et en Pologne, l'été prochain, les joueurs de Paulo Bento ne devront pas se louper à Lisbonne. Le nul qu'ils ont obtenu vendredi dernier (0-0) est certes un bon résultat, mais il ne leur garantit rien. "C'est assez équilibré, affirme d'ailleurs Cristiano Ronaldo sur le site de l'UEFA. Bien sûr, nous jouerons dans de meilleures conditions, avec notre public derrière nous, mais ce sera tout aussi difficile. Nous avons obtenu un bon résultat à l'extérieur et nous devrons terminer le travail lors du match à domicile. Nous devons assumer le costume de favori car nous sommes une équipe qui a toujours une chance de gagner. Donc nous devons le prouver sur le terrain."

Cela n'avait pas été le cas au Danemark, lors du dernier match des éliminatoires de la compétition. Les Portugais n'avaient besoin que d'un nul pour valider la place de leur groupe mais s'étaient finalement inclinés (1-2), ce qui les avait alors conduits en barrages face à la Bosnie. Tout sauf un cadeau. A l'aller, les partenaires de Vedad Ibisevic ont ainsi bien failli créer la surprise et comptent le faire au retour. "J'ai eu une occasion mais malheureusement il y a eu un faux rebond, se souvient l'attaquant bosnien. Ce but aurait eu une grande importance pour nous, mais il ne faut pas cracher sur ce résultat. L'atmosphère sera différente à Lisbonne mais je suis sûr qu'il y aura beaucoup de nos fans là-bas comme à chaque match à l'extérieur. Il est temps pour cette génération de participer à une compétition majeure et j'espère sincèrement que nous atteindrons notre objectif." Ce serait, pour la Selecçao, une grosse désillusion. 

Tuesday, November 15, 2011

Celebrazioni del Unità d'Italia 2011 Italia Uruguay

15 November 2011
Stadio Olimpico,
Roma


La Celeste se déplace ce soir dans la capitale italienne. Mettant aux prises deux équipes en forme qui font bonne impression, aussi amicale soit-elle cette rencontre pourrait faire un déçu. Avec la réception dans le stade Olimpico de Rome de l’Uruguay, l’Italie célèbrera les 150 ans de l’Unité italienne. Alors qu’incapable d’une opposition forte, elle a du attendre le « secours » des marchés financiers et de la BCE, entres autres, pour porter le coup de grâce à Berlusconi. Après avoir conclu un bon parcours qualificatif à l’Euro 2012, la squadra azzurra est allée s’imposer en Pologne vendredi dernier pour se rassurer et se panser des blessures de Cassano et Rossi en trouvant une nouvelle égérie en la personne de Balotelli, auteur d’une prestation ponctuée d’un but et saluée par la presse. Comme pour l’ensemble, sans doute un peu trop exagérément au regard notamment du premier tiers de match peu convaincant face à un adversaire qui n’est pourtant pas des plus renommés, ni des plus fournis qualitativement. (Tidosi sur Calciomio )



Copa America 1991: Brasil Bolivia



Data (Date): 09-07-1991
Tipo (Class): oficial de competição (official of competition )
Competição : Copa América
Local (Place): Estádio Sausalito
Cidade : Viña del Mar (Chile)
Árbitro (Referee): José F. Ramirez (Peru)

Brasil (Brazil): Taffarel, Cafu, Ricardo Rocha,Wilson Gottardo, Branco, Mauro Silva, Mazinho,Neto, Renato Gaúcho, Careca (Raí), João Paul(Mazinho Oliveira). Técnico (Coach): Falcão

Bolívia (Bolivia): Aragón, Rimba, Ferrufino,Jiguchi, Saldias - Borja (Peña), Melgar,Etcheverry, Ramiro Castillo - E. Sanchez,J. B. Suarez (Baldivieso)Técnico (Coach): Ramiro Blacutt



Monday, November 14, 2011

Friendly 1991: Brasil Argentina




Data (Date): 27-06-1991
Competição (Competition): amistoso (friendly)
Local (Place): Estádio Pinheirão
Cidade (City): Curitiba (Brasil/Brazil)
Árbitro (Referee): Wilson Carlos dos Santos (Brasil/Brazil)


Brasil (Brazil): Taffarel, Mazinho, Cléber,
Ricardo Rocha (Wilson Gottardo), Branco
(Cafu), Mauro Silva, Valdir, Neto,
Renato Gaúcho (Mazinho Oliveira), Careca
(Bebeto),João Paulo. Técnico (Coach): Falcão


Argentina: S. Goycoechea, N. Craviotto,
S. Vazquez, O. Ruggieri, C. Enrique -
D. Franco, L. Astrada, D. Simeone,
D. Latorre (F. Basualdo) - C. Caniggia
(Cláudio Garcia), G. Batistuta
Técnico (Coach): Alfio Basile


Sunday, November 13, 2011

Friendly 1990: Brasil Bulgaria


Data (Date): 05-05-1990
Tipo (Class): amistoso oficial (official friendly)
Competição (Competition): amistoso (friendly)
Local (Place): Estádio Brinco de Ouro da Princesa
Cidade (City): Campinas (Brasil/Brazil)
Árbitro (Referee): Ulisses Tavares (Brasil/Brazil)

Brasil (Brazil): Taffarel, Jorginho, Aldair,
Ricardo Gomes (Ricardo Rocha), Mauro Galvão,Branco (Bismarck), Alemão, Silas, Valdo (Tita),Müller, Careca. Técnico (Coach): Sebastião Lazaroni

Bulgária (Bulgaria): I. Valov, E. Dimitrov
(I. Lechkov), T. Ivanov, K. Bankov, D. Vasev
(P. Dochev) - K. Yanchev, N. Todorov (G. Georgiev),G. Yordanov, K. Balakov - E. Kostadinov(P. Mihtarski), H. Stoichkov (I. Panchev)Técnico (Coach): Ivan Vutsov

Friday, November 11, 2011

World Cup Qualifying 1989: Venezuela Brasil


Data (Date): 30-07-1989
Competição (Competition): Eliminatórias da Copa do Mundo (World Cup Qualifying)
Local (Place): Estádio Brígido Iriarte
Cidade (City): Caracas (Venezuela)
Árbitro (Referee): O. Ortube (Bolívia/Bolivia)

Venezuela: Baena, Pacheco, Acosta, Marovic,Bettancourt - Caballo, Anor (Carrero), Rivas,Febles (Areazza), Maldonado, FernandezTécnico (Coach): Carlos Horacio Moreno

Brasil (Brazil): Taffarel, Mazinho, Aldair,Mauro Galvão, Ricardo Gomes, Dunga, Valdo,Branco (Josimar),Bebeto, Careca (Silas),
Romário. Técnico (Coach): Sebastião Lazaroni

Monday, November 7, 2011

Friendly 1977 France USSR


October 08, 1977
Paris
Parc des Princes
40 823 spectators
Referee: M. van Langenhove (Belgium)
France: Andre Rey, Gerard Janvion, Patrice Rio, Marius Tresor, Thierry Tusseau, Jean Petit (65` Roger Jouve) , Michel Platini, Dominique Bathenay, Christian Dalger (65` Dominique Rocheteau), Marc Berdoll, Didier Six. Coach: Michel Hidalgo.

USSR: Yuri Degtyarev, Sergei Prigoda, Alexander Bubnov, Shota Khinchagashvili, Alexander Makhovikov, Leonid Buryak, Anatoly Konkov, Victor Kolotov, Vladimir Veremeev ( 60` Alexander Minaev), Vladimir Bessonov (62` Revaz Chelebadze), Oleg Blokhin. Coach: Nikita Simonyan.
L'U.R.S.S. n'a jamais ete une selection facile e rencontrer. 
La qualite de son football s'appuyant sur des millions de pratiquants, l'excellente condition physique des joueurs et la valeur individuelle de certains d'entre eux ont toujours pose des problemes a bon nombre d'equipes nationales. 
Trois jours avant de rencontrer la France au Parc des Princes (le samedi 8 octobre), les Hollandais, chez eux, en avaient fait l'experience en realisant un penible match nul. Pour les Tricolores, c'etait l'ultime mise au point avant le match contre les Bulgares le mois suivant.
Michel Hidalgo tentait une nouvelle fois l'experience Tusseau comme arriere gtiuche. profitait de la bonne forme des Monegasques en championnat pour faire debuter le demi Petit et rappelait l'ailier droit Dalger absent de la selection depuis plus de trois ans.
Enfin, le selectionneur donnait sa chance e Berdoll en l'absence de Lacombe blesse ; le Marseillais n'avait pas ete vu sous le maillot bleu depuis septembre 75 face e l'Islande, e Nantes.
Et, comme il fallait s'y attendre, les Russes ne laisserent pas les Franeais s'exprimer aisement.
Pendant quatre-vingt-dix minutes, les Tricolores s'evertuerent e faire sauter la defense serree des Sovietiques sans y parvenir. 
Meme Platini, sur coup franc, ne put qu'ecraser le ballon sur l'arete du but de l'U.R.S.S. Heureusement, la defense, e l'image de Tresor superbe, tenait et ce match nul donnait aux Franeais un avertissement sans doute profitable pour la rencontre suivante...

P.L.2011 2012 Queen Park Rangers Manchester City

5 November 2011
Loftus Road,
London
Referee: Martin Atkinson

 Mancini's men were far from their best but dug in to earn a 10th win in 11 league games and an eighth successive victory in all competitions to maintain their five-point lead at the top of the table. Great news for City, but the result was harsh on Neil Warnock's side who gave as good as they got even though the odds were stacked against them. Despite of the absence of Shaun Derry and Adel Taarabt because of illness and injury respectively, the home side began superbly. Helguson twice threatened early on with shots from the right-hand corner of the box before Anton Ferdinand spurned a great chance at the back post following the Icelandic striker's header back across goal. The home side continued in this vain and were rewarded in the 28th minute when Bothroyd rose highest to head in Joey Barton's curling free-kick from the right. It could have been much worse for City before the break, but goalkeeper Joe Hart saved Jamie Mackie's long-range shot and Helguson's headed follow-up - although the latter was offside - before Bothroyd hit the post with another header.

However, even when they are not playing well, City's quality ensures they remain a threat and they demonstrated this with aplomb two minutes before half-time. QPR defender Ferdinand had earlier denied Dzeko with a superb block, but this time the striker got the better of the defender, cutting inside him after being found by Milner down the right, and firing in low past Paddy Kenny. It would have been harsh on the home side, but City could have led at the break had a post not denied Sergio Aguero's 25-yard strike. arly in the second half City did lead when Silva neatly took Dzeko's cross from the right in his stride before lashing the ball past Kenny. The game now swung in the favour of the visitors and it seemed just a matter of time before they scored again. 

It is testimony to QPR's spirit then that it was they who next found the net as Bothroyd's goalbound header from an Armand Traore cross ultimately found the net courtesy of the back of Helguson, who was on the goalline but - despite the protestations of a number of City players - not offside. Toure would have the decisive say though, rising high to power a header past Kenny from Aleksandar Kolarov's cross. QPR would have one more chance to salvage a point but the bar denied Helguson with a late header and the points went to City.

Sunday, November 6, 2011

Friendly 1991: Argentina Brasil


Data (Date): 27-03-1991
Competição (Competition): amistoso (friendly)
Local (Place): Estádio Vélez Sarsfield
Cidade (City): Buenos Aires (Argentina)
Árbitro (Referee): Juan Bava (Chile)


Argentina: Goycoechea, Craviotto (Unali),
Gamboa, Ruggeri, Altamirano - Franco,Ludueña
(Giunta),Bisconti (Vázquez), Latorre - Claudio Garcia, Ferreyra (Boldrini). Técnico (Coach): Alfio Basile


Brasil (Brazil): Sérgio, Gil Baiano (Paulão),
Ricardo Rocha, Wilson Gottardo, Leonardo, Mauro Silva, Cafu (Luís Henrique)(Dener), Donizete Oliveira, Mazinho Oliveira, Renato Gaúcho,
Bebeto (Careca). Técnico (Coach): Falcão
Comments: spanish



Saturday, November 5, 2011

READINGS ; Oleg Blokhin farewell match 1989 USSR Rest of the World

June 28, 1989
Kiev, Republican Stadium
100 000 spectators
Referee: Spirin,
Khusainov, Popov (all - USSR)
USSR: Chanov (Cherchesov 46), Bessonov (Rodionov 46), Baltacha, Gorlukovich (Oganesyan, 75), Chivadze (Bal, 46), Luzhny (Yaremchuk, 46), Aleynikov (Litovchenko 46), Cherenkov ( Kuznetsov, 46), Borodyuk, Y. Savichev (Protasov, 46), Blokhin (Belanov, 46).
Coach: Valery Lobanovsky.
Rest of the World: Pfaff (Belgium), Gentile (Italy), Quirarte (Mexico), Spasic (Yugoslavia) (Stielike 69), Stielike (Germany), (Forster, Germany, 46), Kasalo (Yugoslavia), Antognoni (Italy) (Dirceu, Brazil, 46), Breitner (Germany), Rocheteau (France) (Ohana, Israel, 46), Detari (Hungary), Savicevic (Yugoslavia), (Blokhin, USSR, 46).
Coach: Franz Beckenbauer.
BLOKHIN SE DESPIDIO DE SU PUBLICO

Marco un gol de penalty en un encuentro de homenaje disputado en Kiev entre sus ex companeros y rivales internacionales.

El veterano jugador Oleg Blokhin logro 28 junio de 1989 un gol en un partido que celebraron en su homenaje una seleccion Sovietica y una del "Resto del Mundo" y que termino con el resultado de empate a tres. El encuentro, que servia de despedida del futbolista del publico de su pais, se disputo en el estadio del Dinamo de Kiev ante unas 100.000 personas. 


Blokhin  jugo la primera media parte con la camiseta de la URSS y tras el descanso se enfundo la que lucieron sus invitados. El equipo de figuras del futbol mundial, dirigido desde el banquillo por Franz Beckenbauer, lo integraron Jean-Marie Pfaff (Belgica), Claudio Gentile (Italia), Jose Quirarte (Mejico), Dragan Spasic (Yugoslavia), Uli Stielike (Alemania Federal), Branko Kasalo (Yugoslavia), Giancarlo Antognoni (Italia), Paul Breitner (Alemania Federal), Doiminique Rocheteau (Francia), Lejos Datari (Hungria), Dusan Savicevic (Yugoslavia) y Dirceu (Brasil). Por parte sovietica, entre otros, participaron el meta Viktor Chanov, Vladimir Bessonov, Alexandr Chivadze, Alexandr Borodyuk, Igor Belanov y Serguei Baltacha. 

Borodyuk inauguro el marcador para la URSS en el minuto 21, pero Savicevic empato solo un minuto despues. Igor Belanov puso de nuevo a los locales en franquicia con un penalty, ya en la segunda parte, antes de que el brasileno Dirceu lograra el 2-2. El combinadoo internacional se volvio a adelantar poco despues gracias... a Blokhin, que fue objeto de un penalty que segundos mas tarde materializo. Finalmente, en los ultimos instantes del encuentro, Baltacha establecio el 3-3 definitivo. 
Blokhin seguira la proxima temporada en el Vorwaerts Steyr de Austria, donde llego tras abandonar el club de su vida, el Dinamo de Kiev, con el que se alineo en mas de 500 ocasiones y marco el mayor numero de goles jamas logrado por un jugador sovietico.

Para esta especial fecha insistio especialmente que la seleccion de su pais estuviera formada por sus antiguos companeros en los encuentros internacionales y tambien por los que fueron sus rivales. A pesar de la edad de todos ellos, el juego resulto espectacular ya que demostraron que siguen atesorando esa clase que les llevo al primer plano mundial. La recaudacion fue destinada integramente a la infancia sovietica.