Friday, March 26, 2021

C1 1987 1988 Psv Eindhoven Benfica

Finale 25 Mai 1988 Neckarstadion Stuttgart

Psv were expected to win this Final. Four of the side -keeper Van Breukelen, Van Aerie, Koeman and Vanenburg -were in the Dutch team which were to win the European Championship with such style and flair that summer. Although midfielder Frank Arnesen was absent from the line-up with a broken leg, Soren Lerby and Vanenburg were playing, as were forwards Kieft and Gillhaus, and the Benfica defence was a shaky one. Benfica winger and skipper Diamantino had torn his knee ligaments and was replaced by Han Sheu, whose job was to cut off the lines of communication between PSV's midfield and attack, and Magnusson and Aguas were to provide the firepower for the Portugese side.

Coupe de l'Uefa 1982 1983 Roma Cologne

 8e de Finale Retour

8 decembre 1982

Olimpico Roma

 

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Sir Stanley Matthews Story 1915 2000

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Ligue des Champions 2004 2005 Juventus Liverpool Retour

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Copa America 1999 Brasil Uruguay

Final 
18 July 1999
Estadio Defensores del Chaco Asuncion
Attendance : 40 000
Referee: M. Ruiz (Colombie)


 Excédés par les cadences internationales, les multiplications de compétitions, les saisons trop longues (à quand une uniformisation des calendriers?), de nombreux joueurs sud-américains exilés en Europe ont décliné l'invitation, avec l'accord de leur Fédération. L'Argentine (Batistuta, Veron, Sensini, Claudio Lopez, Crespo) est la plus touchée. Certains, comme l'Uruguay (Fonseca, Montero, Recoba...) ou le Brésil ont choisi de profiter de ce tournoi pour relancer certains joueurs (Ronaldo?) et donner un peu d'expérience internationale à quelques espoirs, habituellement barrés par les stars internationales. D'autres, encore, n'ont que faire de tout cela. Fierté nationale en bandoulière, Paraguay ou Chili n'ont qu'un but avoué: la gagne! "Basta!» José Luis Chilavert a clamé haut et fort son mécontentement. Convaincu d'une forte présence "Oviediste" au sein de sa Fédération, le gardien-buteur du pays hôte, sous le coup d'une suspension de treize mois décrétée par les tribunaux de la federation argentine, a préféré renoncer et choisi de vivre «son» tournoi à travers une chronique hebdomadaire dans le Noticias, un quotidien national. «Basta!» Un mot d'ordre repris par Carlos Roa, un autre gardien mondialiste. Fatigué du mercantilisme en vigueur dans le football mondial, l'ex portier argentin du Real Mallorca, membre de l'Eglise évangéliste du septième jour a opté définitivement pour une autre voie, une autre foi dispensée par le Tout-Puissant... Vitres et capots dégueulant de drapeaux tricolores, en cette fin juin, le peuple paraguayen a d'autres convictions, d'autres envies. Aux cris de «Forza albirroja», il souhaite pousser les siens pour la troisième fois sur le toit du continent, sous l'œil bienveillant d'un omniprésent géant rouge appelé Coca, (celui qui fait pschit!).

C1 1980 1981 Liverpool Cska Sofia resume

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Ligue des Champions 2012 2013 Dortmund Real Madrid

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C1 1987 1988 Real Madrid Porto Both Legs

  Porto, champion d'Europe 1987 grâce au magicien Madjer (souvenez-vous de sa talonnade) est un gros gâteau partagé en plusieurs parts au début de la saison 87-88. Son entraîneur Artur Jorge, considéré comme le détonateur de l'aventure, a été engagé par le Matra-Racing à un salaire de ministre (américain), deux cent mille francs par mois, dit-on. Paolo Futre, le dribbleur électronique, n'a pas pu résister aux millions de pesetas brandis par Jésus Gil (qui n'est pas un saint) et l'Atletico de Madrid. Son club non plus d'ailleurs, qui touche nettement plus d'un milliard de centimes pour conclure l'affaire. Madjer lui-même est démangé par l'horizon, en contact avec le Bayern, Tinter, Barcelone, les autres. L'ambiance, à Porto, est à la dispersion des hommes et des idées. Heureusement pour Porto, ses dirigeants engagent le technicien yougoslave Ivic qui, s'il n'a pas l'adhésion et le quorum chez tous les gens du spectacle, est un homme de football, un renard, un pragmatique.