ESP
Rosario.Informe.Robinson.ESP.twb22.mp4
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Inconnu en Europe, idolâtré en Argentine, ce joueur qui ne comptait que quatre matchs en première division a vu sa légende s’étoffer bien après la fin de sa carrière. Sa mort tragique à Rosario, la ville du Che et de tant d’autres mythes, achèvera de le classer parmi les plus grands On sait très peu de choses factuelles de ce milieu de terrain gaucher de grande taille, lent mais élégant, et d’une habileté technique diabolique. Il n’y a pas beaucoup de photos et pratiquement pas d’images à peine quelques bouts de pellicules en noir et blanc, à demi effacées, qu’il traverse comme un fantôme parce qu’il passa l’essentiel de sa carrière dans des clubs de seconde division du nord du pays. Il y a aussi un bref extrait de match incrusté dans un mauvais film de série B argentine, Se acabó el curro, où il élimine un adversaire du Deportivo Armenio sur deux touches, pied gauche pied droit en deux appuis.
Je croyais que j’étais le meilleur mais depuis que je suis ici on ne me parle que d’un certain Carlovich Diego Maradona, arrivant à Rosario, en 1993
“En Rosario, Argentina, un nombre se transmite boca a boca de generación en generación, el de un futbolista que, para muchos aficionados, e incluso para el propio Diego, fue mejor que Maradona. Un talento que solo jugó dos partidos en la máxima categoría, pero que ha sido elevado al rango de mito viviente. Una cosa de locos: la historia del Tomás Felipe "Trinche" Carlovich”, así anunciaba el canal español el documental sobre el ídolo de Central Córdoba de Rosario. Luego de su emisión, la leyenda del “El Trinche” cruzó las fronteras de nuestro país. Su mito se agiganta ya que en esa época el ascenso no se trasmitía, por lo que hay muy pocas imágenes de él dentro de un campo de juego.
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