25 mai 2013
C1.2012.2013.Bayern.Dortmund.FR.twb22.mp4
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Consécration d'une saison parfaite pour le Bayern Munich, la finale de la Ligue des champions. Si les Allemands ont perdu à Wembley une finale de Coupe du monde [en 1966, face à l’Angleterre, 4-2] , ils y ont remporté leur dernier titre majeur: l’Euro, en 1996 . Du coup, l’enceinte londonienne est un lieu apprécié outre-Rhin et la perspective d’y jouer la finale de la Ligue des champions remplit de joie le Borussia Dortmund comme le Bayern Munich. «Si ça devait être la dernière finale de ma vie, je pourrais dire que je l’ai jouée au bon endroit », souriait l’entraîneur de Dortmund, Jürgen Klopp. Après sa défaite en 2012 face à Chelsea, le Bayern est favori. « Mais je ne sais pas si nous avons la pression, prévient son capitaine, Philipp Lahm. Je vois surtout une équipe qui dispute sa troisième finale en quatre ans [le Bayern a aussi perdu en 2010 face à l’inter). La pression, elle est constante chez nous... » Confirmation de son coéquipier, Thomas Müller : «Je ne me sens pas stressé. Deux finales perdues, c’est aussi beaucoup d’expérience accumulée. » Malgré cela, les Bavarois semblent tendus et le forfait de Mario Gôtze, blessé à la cuisse, n’empêche pas Dortmund de jouer sa chance. « Oui, notre statut de favori s’est ressenti et j’ai dû corriger le tir à la pause », reconnaissait Jupp Heynckes, le technicien bavarois. Du coup, Mario Mandzukic parvient à ouvrir le score [60e] et le match semble basculer. Mais un penalty de Gündogan suite à une faute de Dante sur Reus remet Dortmund dans le bon sens [1-1, 68e). Finalement, une inspiration de Ribéry pour Robben permettra au Néerlandais de sceller la rencontre juste avant son terme [2-1, 89e]. «J’ai fait plusieurs fois le match dans ma tête, raconte Robben. Mais quand ça arrive vraiment, avec une passe et un but, on a du mal à le croire. Même si on pratique un sport collectif, c’est le sommet pour un joueur. »
Côté Dortmund, Klopp est un peu plus crispé: « La déception domine, mais je sens la fierté monter en moi. Tout était beau aujourd’hui : la ville, le stade et le public. Il n’y a que le résultat qui soit pourri. » Le Borussia, qui a déjà abandonné son titre de cham¬ pion d’Allemagne au Bayern, laisse donc la Cl à son grand rival qui est en route pour une saison exceptionnelle puisque, quelques jours après ce triomphe européen, il remportera également la Coupe d’Allemagne face à Stuttgart. « Oui, notre statut de favori s’est ressenti et j’ai dû corriger le tir à la pause. " .....
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