Tuesday, April 18, 2023

Coppa Italia 1996 1997 Vicenza Napoli


Finale Retour
29 mai 1997
Stadio Romeo Menti Vicenza

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Coppa.Italia1996.1997.Vicenza.Napoli.Final.2nd.Leg.29051997.Ita.D1.twb22.blogspot.mp4
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Un conte de fées à raconter aux plus petits, à ceux qui n'y étaient pas encore ou qui ne sont pas aidés par la mémoire : le voyage triomphal de Vicence lors de la saison 1996-97. Une entreprise qui s'est encore renforcée si l'on considère le chaos qui a englouti le club cette année-là. La direction de l'entreprise a changé plusieurs fois suite à la saisie des actions d'Otto S.r.l, la holding à la tête de l'entreprise. Une situation qui aurait diminué n'importe quel environnement mais qui, dans ce cas, a peut-être stimulé un groupe d'hommes qui ont dépassé toutes les attentes : c'est l'histoire que nous aimons raconter. Le chef d'orchestre est un jeune Francesco Guidolin, arrivé sur le banc de Vicence deux ans plus tôt, pour ramener le club dans l'élite après 16 ans d'absence. Force est de constater d'emblée que les rouges et blancs ont tous les atouts pour réitérer l'excellente année précédente, quand, entraînés par les buts de l'attaquant Otero, ils n'étaient placés qu'à 5 points de la zone UEFA. C'est le garçon de Montevideo qui signe un poker historique face à la Fiorentina de Batistuta, qui permet à son équipe de conquérir le Franchi dès la première journée du championnat. Mais Vicenza, qui en tout cas lui enlèvera la satisfaction d'avoir battu la Juve, l'Inter et Milan dans le tournoi, l'histoire s'écrit en Coupe d'Italie.


A dix jours des quatre buts d'Otero face à la Viola, les terribles garçons de Guidolin remportent le 8e de finale en s'imposant 2-1 à Porta Elisa face à Lucchese. Le premier but du match a été marqué par Maurizio Rossi : notez bien ce nom. Le 23 octobre suivant, l'adversaire à vaincre est le Gênes d'Attilio Perotti. Pour la première et unique fois, la méthode de la répétition a été introduite dans la compétition : uniquement aux deuxième et troisième tours, suivant le modèle de la FA Cup anglaise, en cas d'égalité, les équipes doivent rejouer le match. Chez Ferrari, deux pénalités de Viviani (V) et Masolini (G) reportent le sort à la relecture des Menti, où un sceau de Giovanni Cornacchini donne la qualification à Vicenza. Six jours seulement passent, cette fois le niveau monte : en l'espace de deux semaines, le capitaine Lopez et ses coéquipiers joueront le tout contre les champions d'Italie en titre, l'AC Milan.


Le grand événement est prévu le 30 janvier : un épais brouillard, cependant, reporte tout d'une semaine. Enfin, le 6 février, le Menti se colore pour une fête : une ambiance fantastique, agrémentée d'un feu d'artifice, est le cadre idéal. Vicence et Bologne peuvent jouer le premier acte de la demi-finale. A la 45' de la première mi-temps un rugissement du bombardier Murgita tranche : l'attaquant se détache plus haut que tout sur un coup de pinceau de Beghetto. Le but du numéro 9 place les garçons de Gudolin dans une situation de léger avantage au retour à Dall'Ara. Cristiano Scapolo, cependant, ne s'est pas intégré et a égalisé le double défi à la 43e minute. A deux pas de la prolongation, l'ancien de service, Giovanni Cornacchini, fait exploser le secteur des invités : pour la première fois de son histoire, Vicenza est en finale de la Coupe d'Italie. De l'autre côté du plateau, Napoli a battu l'Inter pour atteindre le onze rouge et blanc.
Le premier tour du dernier acte se joue le soir du 8 mai dans un San Paolo enflammé. Un stade surpeuplé entraîne les Azzurri vers la victoire : un coup de pied décisif de Fabio Pecchia. Les jours d'attente pour le match retour sont éprouvants pour les nerfs. 


Mais toute une ville veut un trophée, cette coupe qui est là sur la touche le soir du 29 mai, attendant qu'un capitaine la soulève vers le ciel. Le onze de Guidolin qui défile à côté du trophée est disposé comme suit : Brivio dans les buts ; Sartor, Beghetto et le capitaine Lopez en défense ; Ambrosetti, Di Carlo, Gentilini, Maini et Viviani au milieu de terrain ; Murgita et Cornacchini devant. Il se joue dans un cadre magnifique, le Romeo Menti affiche complet dans tous les ordres de places et depuis les tribunes le public pousse l'équipe vers la gloire. Après quelques tours de chrono, Guidolin est contraint de changer : Ambrosetti se blesse et est remplacé par le jeune Iannuzzi. A 21', la même minute où Pecchia avait marqué au match aller, Jimmy Maini manquait Taglialatela et égalisait la double confrontation. La course, comme dans les épilogues les plus tendus, se poursuit en prolongation. Juste au moment où tout semble prêt pour les tirs au but, Mimmo Di Carlo obtient un coup franc du bord. Lopez touche pour Beghetto, la conclusion n'est pas irrésistible mais Taglialatela ne se retient pas, tel un faucon que Maurizio Rossi arrive à enfiler : ce qu'il fallait retenir, celui qui avait marqué le premier but de la compétition. Les Vicentais explosent de joie et un Naples en pleine confusion capitule à nouveau grâce au but d'Alessandro Iannuzzi. L'arbitre Braschi siffle trois fois, décrétant Vicence championne. Francesco Guidolin a mené un groupe fantastique vers la plus grande réussite du club. Et le capitaine Lopez peut enfin hisser au ciel le premier trophée de l'histoire de Vicence. 


Una favola da raccontare ai più piccoli, a chi ancora non c'era o non è aiutato dalla memoria: il cammino trionfale del Vicenza nella stagione 1996-97. Un'impresa ulteriormente rafforzata se si pensa al caos che travolse il club durante quell'annata. I vertici della società cambiarono più volte in seguito al sequestro delle azioni della Otto S.r.l, finanziaria a capo della società. Una situazione che avrebbe sminuito qualsiasi ambiente ma che in quel caso, forse, stimolò un gruppo di uomini che superarono ogni aspettativa: questa è la storia che ci piace raccontare. Il direttore d'orchestra è un giovane Francesco Guidolin, giunto sulla panchina vicentina due anni prima, per riportare il club nella massima serie dopo 16 anni di assenza. Si capisce fin da subito che i biancorossi hanno tutte le carte in regola per ripetere l'ottima annata precedente, quando, trascinati dai gol del bomber Otero, si erano piazzati a soli 5 punti dalla zona Uefa. È proprio il ragazzo di Montevideo a siglare uno storico poker contro la Fiorentina di Batistuta, che consente ai suoi di espugnare il Franchi nella prima giornata di campionato. Ma il Vicenza, che comunque nel torneo si toglierà la soddisfazione di battere anche Juve, Inter e Milan, la storia la scrive in Coppa Italia.


Dieci giorni prima dei quattro gol di Otero ai viola, i ragazzi terribili di Guidolin conquistano gli ottavi di finale vincendo 2-1 al Porta Elisa contro la Lucchese. Il primo gol della gara lo segna Maurizio Rossi: segnatevi bene questo nome. Il successivo 23 ottobre l'avversario da superare è il Genoa di Attilio Perotti. Per la prima e unica volta è stata introdotta nella competizione la modalità della ripetizione: solo nel secondo e terzo turno, seguendo il modello della FA Cup inglese, in caso di pareggio, le squadre devono rigiocare il match. Al Ferraris, due rigori di Viviani (V) e Masolini (G) rimandano il destino al replay del Menti, dove un sigillo di Giovanni Cornacchini regala la qualificazione al Vicenza. Passano solo sei giorni, questa volta il livello si alza: nel giro di due settimane capitan Lopez e compagni si giocano tutto contro i campioni d'Italia in carica del Milan. Il grande appuntamento è in programma il 30 gennaio: una fitta nebbia, però, rimanda tutto di una settimana. Finalmente il 6 febbraio il Menti si colora a festa: un'atmosfera fantastica, con tanto di fuochi d'artificio, fa da cornice perfetta. Vicenza e Bologna possono giocare il primo atto della semifinale. Al 45' del primo tempo decide un ruggito di bomber Murgita: l'attaccante stacca più in alto di tutti sulla pennellata di Beghetto. La rete del numero 9 pone i ragazzi di Gudolin in una situazione di leggero vantaggio nel ritorno al Dall'Ara. Cristiano Scapolo però non ci sta e pareggia la doppia sfida al 43'. Quando i supplementari sono ad un passo, l'ex di turno, Giovanni Cornacchini fa esplodere il settore ospiti: per la prima volta nella sua storia il Vicenza è in finale di Coppa Italia. Dall'altra parte del tabellone il Napoli batte l'Inter raggiungendo l'undici biancorosso.


Il primo round dell'ultimo atto si gioca la sera dell'8 maggio in un San Paolo infuocato. Uno stadio stracolmo trascina gli azzurri alla vittoria: decisiva una zampata di Fabio Pecchia. I giorni di attesa per la gara di ritorno sono snervanti. Ma una città intera vuole un trofeo, quella coppa che la sera del 29 maggio si trova lì, a bordo campo, in attesa di un capitano che la alzi verso il cielo. L'undici di Guidolin che sfila accanto al trofeo è così disposto: Brivio in porta; Sartor, Beghetto e capitan Lopez in difesa; Ambrosetti, Di Carlo, Gentilini, Maini e Viviani a centrocampo; Murgita e Cornacchini davanti. Si gioca in una cornice stupenda, il Romeo Menti è esaurito in ogni ordine di posto e dalle gradinate il pubblico spinge la squadra verso la gloria. Dopo pochi giri d'orologio Guidolin è costretto al cambio: si fa male Ambrosetti e viene sostituito dal giovane Iannuzzi. Al 21', lo stesso minuto in cui aveva segnato Pecchia all'andata, Jimmy Maini buca Taglialatela e mette in parità il doppio confronto. La gara, come nel più teso degli epiloghi, si protrae ai supplementari. Proprio quando sembra ormai tutto apparecchiato per i calci di rigore, Mimmo Di Carlo guadagna una punizione dal limite. Lopez tocca per Beghetto, la conclusione non è irresistibile ma Taglialatela non trattiene, come un falco arriva Maurizio Rossi a mettere dentro: quello che dovevate tenere a mente, colui che aveva segnato la prima rete della competizione. Il popolo vicentino esplode di gioia e un Napoli in piena confusione capitola ancora grazie alla rete di Alessandro Iannuzzi. L'arbitro Braschi fischia tre volte decretando il Vicenza campione. Francesco Guidolin ha guidato un fantastico gruppo verso la più grande impresa del club. E capitan Lopez può finalmente alzare al cielo il primo trofeo della storia vicentina.









 

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