Liverpool's visit to Tokyo for the World Championship in 1981 had been an unhappy experience. Squeezed into the middle of a poor sequence of results, and after an arduous journey half way around the worldT Bob Paisley's team had been out-classed by an exciting Brazilian team full of flair and dash. The prospects seemed little brighter three years later. Liverpool, struggling in the middle of the table and with only six wins to their credit in 16 matches, were finding goals a rare commodity. In addition, they were going to play the Argentinian team, Independiente, the first time footballers from Argentins and Britain had faced each other since the 1982 Falklands War.Independiente, boasting seven Argentinian internationals and one Uruguayen, were playing their sixth World Club Final (a record), having won the competition once before, in 1973, In Argentina, they were known as 'Los Diablos Rojas', the Red Devils, and had won the South American Club Championship more times than any other club. They were a formidable proposition but this time, at least, Liverpool were to give a better account of themselves.
Although the Reds lost the match by the only goal of the game, there was little else to separate the two sides. Claudio Oscar Marangoni, who had once enjoyed a season in the Football League with Sunderland, was a constant worry, driving his midfield like a field marshal. However, the greatest threat came from Jose Percudani, Independiente's 19-year-old striker. Time and again he popped up in the box, prepared to have a shot from almost any distance. Percudani ended the match not only winning a car for his goal, but also beingvoted 'Man of the Match'.
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Il fallut un coup du sort à la septieme minute, alors que les Anglais dominaient aisement, pour que les Argentins trouvent la faille. Un malencontreux ballon rebondissait au milieu du terrain sur Marangoni qui lançait ainsi involontairement Percudani à l'extrême limite du hors-jeu. Là, c'etait au tour de Fagan, l'entraîneur de Liverpool de se lever. Mais le rapide avant centre argentin se presentait seul devant Grobbelaar qui essayait vainement de fermer l'angle de tir. Du pied droit et à ras de terre, le jeune numero 9 age de dix-neuf ans ouvrait la marque. Sur l'ecran geant du stade national, il valait mieux se regaler de ce but. C'etait le premier et le dernier.
D'une qualite mediocre, avec un public bien calme, le match ne gagnait pas en interêt en seconde mi-temps. Les Anglais, patients, pensaient venir à bout des Argentins sur des tentatives de Nicol (59" et 68e), Môlby (72e), des deviations de la tête de Dalglish ou des courses de Rush, mais ce n'etait pas leur jour. Au contraire Barruchaga, sur une grossiere erreur de Neal (65e), et Barbe-ron (74e) auraient même pu permettre à Independiente de prendre le large. Le match se terminait donc sur cette petite victoire des Argentins, nouveaux champions du monde des clubs.
D'une qualite mediocre, avec un public bien calme, le match ne gagnait pas en interêt en seconde mi-temps. Les Anglais, patients, pensaient venir à bout des Argentins sur des tentatives de Nicol (59" et 68e), Môlby (72e), des deviations de la tête de Dalglish ou des courses de Rush, mais ce n'etait pas leur jour. Au contraire Barruchaga, sur une grossiere erreur de Neal (65e), et Barbe-ron (74e) auraient même pu permettre à Independiente de prendre le large. Le match se terminait donc sur cette petite victoire des Argentins, nouveaux champions du monde des clubs.
Leur joie faisait plaisir à voir. Particulierement celle du plus jeune, Jose Alberto Percudani, sacre meilleur joueur de la rencontre par la presse japonaise. Il ne l'avait pas plus merite que Marangoni, Bochini ou Môlby mais il fallait un vainqueur. Son cadeau : une voiture. Il pourra ainsi aller de l'avant. Apres le tour d'honneur, l'ambiance etait arriere du côte de Liverpool. Fagan en particulier etait furieux contre l'arbitraire : pour lui le hors-jeu etait flagrant au depart de l'action qui amena le but. Mais bien vite il reconnaissait que ses joueurs n'avaient pas su concretiser le plus grand nombre d'occasion qu'ils s'etaient creees. Il refusait de prendre comme excuse le mauvais etat du terrain, tout en faisant remarquer que les Sud-Americains, plus habitues à jouer sur cette surface qui ne ressemblait en rien à un billard, savaient mieux
contrôler le ballon dans ces circonstances.
contrôler le ballon dans ces circonstances.
Et qu'il restait à Liverpool le championnat et, surtout, la Coupe d'Europe pour glaner un titre. Bien entendu, le mot de la fin allait aux joueurs d'Independiente. Si Pastoriza admettait que le match n'avait pas ete de bonne qualite, Trossero et ses camarades ne montraient aucun signe de fatigue. Enzo qui se rappelait avgir joue et gagne contre Dalglish et l'Ecosse en 1977, echangeait son maillot avec l'attaquant de Liverpool. Le soir, le club anglais regagnait l'Europe. Les Argentins au même moment se reunissaient dans un grand restaurant et la fête dura toute la nuit. Ce n'est pas tous les jours que l'on est Champion du Monde.
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