Group 2 Match Aller
Olimpico Roma
17 Novembre 1976
Cela si Zaccarelli ne se remettait pas assez vite de ses blessures contre Bastia. Benetti, le « chien de garde » et Antognoni, l'« ange de la Fiorentina », tiendront leur place en ligne médiane. L'attaque, elle, est royale avec Causio, au jeu semblable à celui de Riyelino, Graziani, le taureau du Torino et Bettega, le joueur chéri des Italiens, à coup sûr le meilleur joueur de tête du monde à l'heure actuelle. Les trois buts qu'il marqua ainsi contre les Finlandais à Turin en ont fait, si besoin était, un héros national. A signaler enfin la possible incorporation du jeune Rossi, le buteur de Lanerossi Vicence. Après le tirage au sort, les Italiens n'étaient pas persuadés du tout avoir fait une bonne opération en demandant à jouer dans le groupe de l'Argentine (pays supposé par eux être le moins fort des têtes de liste). En effet, ce qu'ils redoutaient arriva : la présence de deux nouvelles équipes de très bon niveau, les Français et les Hongrois.
Olimpico Roma
17 Novembre 1976
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L'entraîneur Bearzot, qui a su redonner à la Squadra le goût de l'offensive, peut compter sur un effectif d'une quinzaine de titulaires interchangeables : Zoff, Cuccureddu, Tardelli, Mozzini, Scirea, Facchetti, Manfredonia, Gentile, Benetti, Zaccarelli, Antognognoni, Claudio Sala, Causio, Graziani et Bettega. A noter cependant que sur ces quinze noms, douze sont de la Juventus ou du Torino. Les exeptipns sont le vieux lion milanais Facchetti, le jeune Manfredonia de la Lazio de Rome et le stratège florentin Anto-gnoni. Un gage d'unité d'ensemble. Dino Zoff, avec plus de soixante sélections, gardera les buts comme il le fit il y a quatre ans en R.F.A. A l'arrière, deux problèmes : la présence de Facchetti, concurrencé dans son club par le jeune Bini, face à la montée de Scirea et de Manfredonia et le déplacement éventuel du brillant Tardelli au milieu du terrain avec, en conséquence, le retour de Cuccureddu.
Cela si Zaccarelli ne se remettait pas assez vite de ses blessures contre Bastia. Benetti, le « chien de garde » et Antognoni, l'« ange de la Fiorentina », tiendront leur place en ligne médiane. L'attaque, elle, est royale avec Causio, au jeu semblable à celui de Riyelino, Graziani, le taureau du Torino et Bettega, le joueur chéri des Italiens, à coup sûr le meilleur joueur de tête du monde à l'heure actuelle. Les trois buts qu'il marqua ainsi contre les Finlandais à Turin en ont fait, si besoin était, un héros national. A signaler enfin la possible incorporation du jeune Rossi, le buteur de Lanerossi Vicence. Après le tirage au sort, les Italiens n'étaient pas persuadés du tout avoir fait une bonne opération en demandant à jouer dans le groupe de l'Argentine (pays supposé par eux être le moins fort des têtes de liste). En effet, ce qu'ils redoutaient arriva : la présence de deux nouvelles équipes de très bon niveau, les Français et les Hongrois.
En 1974, en Allemagne, les Italiens étaient déjà tombés dans le groupe de l'Argentine. A Stuttgart, pour le compte du groupe IV, ils avaient obtenu un résultat nul, un à un, les deux buts de la rencontre ayant été inscrits par deux Argentins : Housemann pour ses couleurs et Per-fumo contre son camp. La rencontre Italie-Hongrie rappellera aux deux nations des souvenirs de finale de Coupe du Monde jouée en... 1938 à Colombes. Ce jour-là, le 19 juin, les Italiens avaient battu les Hongrois par quatre buts à deux devant cinquante mille spectateurs, sous l'œil vigilant de l'arbitre français, M. Cap-deville. Beaucoup plus récemment, l'an dernier, l'équipe hongroise avait rendu visite à la Juventus de Turin, ce qui avait permis un premier contact entre Pinter, Varadi, Tardelli et Bettega.En ce qui concerne la France, la rencontre de Naples du 8 février aura permis aux deux formations de faire le point sur leur niveau l'une par rapport à l'autre. Ensuite, en Argentine, l'Italie pense jouer dans une ambiance favorable. A moins que le public ne voie en elle, malgré des origines communes, l'adversaire numéro un des Argentins ??!!

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