Quarter-finals, First and Second Leg
The only time these sides have met in a competitive tie was in the quarter-final of the 1984-85 UEFA Cup. Real Madrid won the first leg at White Hart Lane 1-0 when Tottenham's Steve Perryman turned Emilia Butragueno's cross from the right into his own net after only 15 minutes. It was the first time Tottenham had lost at home in European competition. Up until that point they had won 35 and drawn seven of their 45 matches. Flashback: Perryman and Camacho exchange pennants prior to their UEFA Cup quarter-final 2nd leg at the Bernabeu It was also the first time they had failed to score at home in European games. That goal was enough to settle the tie as the second leg at the Bernabeu finished goalless with Perryman having another howler - getting sent off in the 78th minute for a body check on Jorge Valdano. Madrid went on to win the trophy that year with a 3-2 victory over Inter Milan in the semi-finals and a 3-1 aggregate win over the Hungarian side Videoton in the final. Seeing red: Perryman is sent-off by referee Bruno Galler for a foul on Valdano...
First Leg
6 March 1985
White Hart Lane, London
6 March 1985
White Hart Lane, London
Referee Casarin (Italia)
Tottenham; Clemence, Perryman, Hughton, Miller (Dick 83´), Stevens, Chiedozie,
(Brooke 62´), Hoddle, Hazard, Falco, Galvin, Crooks.
Real; Miguel Angel, Chendo, Salguero, Sanchís, Camacho, Gallego, Stielike, Michel, Angel, Butragueño (Juanito ), Valdano (Santillana 87´)
Ufa.1984.1985.Tott.Rl.Thewildbunch22.1Leg.mkv
991.2 Mo
https://uptobox.com/hhv3qd0o2sjb
Ufa.1984.1985.Rl.Tott.Thewildbunch22.2Leg.mkv
935.4 Mo
https://uptobox.com/l4c7rcux1czl
ou
https://uptobox.com/a91okinpnsmz
Second Leg
20 March 1985
Santiago Bernabeu,
20 March 1985
Santiago Bernabeu,
Madrid
Galler (Swiss)
Real; Miguel Angel, Chendo, Sanchís, Salguero, Gallego, Camacho, Michel, Ángel,
Pineda (San José 89´), Butragueño (Lozano 90´), Valdano.
Tottenham; Clemence, Thomas, Miller, Roberts, Hugthon, Perryman, Hazard,
Hoddle, Galvin (Dick 80´), Falco, Crooks (Brooke 68´).
Pineda (San José 89´), Butragueño (Lozano 90´), Valdano.
Tottenham; Clemence, Thomas, Miller, Roberts, Hugthon, Perryman, Hazard,
Hoddle, Galvin (Dick 80´), Falco, Crooks (Brooke 68´).
Ufa.1984.1985.Rl.Tott.Thewildbunch22.2Leg.mkv
935.4 Mo
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Lors du championnat 1984 1985, le Real n'a pu obtenir qu'une cinquième place indigne de son rang. Pire même, ce club prestigieux a enduré de véritables humiliations. Dans le sanctuaire de Bernabeu, il a dû s'incliner face à ses deux principaux rivaux, le Barça d'une part et, surtout, l'Atletico de Madrid d'autre part. Ce dernier ayant même réussi un cinglant quatre à zéro.
Il y eut donc des problèmes de personnes. Et dans l'intérêt supérieur du club, il y eut du changement. Contrairement à ce qui se fait ailleurs, on ne débarqua point l'entraîneur. Plus solennellement, et avec une grande dignité, le Président. Luis de Carlos, remit les rênes de son cher club à un comité directeur de crise qui prit les pleins pouvoirs. Outre les résultats sportifs négatifs, le grand argentier, malgré les 70 000 socios (c'est-à-dire les abonnés), eut à résoudre le problème d'un énorme gouffre financier qui avoisina le milliard de pesetas (cinq milliards de centimes).
Et puis, il restait le terrain. Celui qui n'a pas vu jouer le Real Madrid depuis une saison aurait beaucoup de mal à reconnaître la plupart des joueurs. Ce bouleversement a été justifié par un recrutement qui n'a pas répondu aux espérances des dirigeants. Les plus décevants investissements ont été réalisés avec les étrangers. On ne parlera pas du fantasque Laurie Cunnhingam, mais plus surprenant fut le fiasco de Lozano. Transféré pour près d'un milliard de centimes, il s'est retiré, en claquant la porte, après une altercation avec Amancio, l'entraîneur. Même Stielike a connu cette saison de graves problèmes physiques qui l'on tenu très longtemps sur la touche. Seul, l'Argentin Valdano, venu de Saragosse, s'est parfaitement intégré, à tel point qu'il a terminé deuxième buteur de la Super Ligue.
En Coupe Uefa, Madrid a glissé cinq buts à Innsbriick, trois à Rijeka, six à Anderlecht. Le miracle de Madrid est là. Inconsistant et à la dérive en championnat, il redevient une bête féroce en Coupe d'Europe. Santiago Bernabeu, dont l'aura reste prestigieuse depuis sa disparition, peut être fier de ses petits. S'ils lui ont fait parfois de la peine, il les a reconnus tels qu'il les aime. Fiers de porter la tunique blanche, mauve et or du Real. Je suis sûr que s'il avait été de ce monde, le Président Bernabeu aurait appelé ses joueurs un à un dans son bureau pour leur glisser l'enveloppe scellée aux armoiries du club et renfermant la prime de reconnaissance du Real à ses serviteurs...
Il y eut donc des problèmes de personnes. Et dans l'intérêt supérieur du club, il y eut du changement. Contrairement à ce qui se fait ailleurs, on ne débarqua point l'entraîneur. Plus solennellement, et avec une grande dignité, le Président. Luis de Carlos, remit les rênes de son cher club à un comité directeur de crise qui prit les pleins pouvoirs. Outre les résultats sportifs négatifs, le grand argentier, malgré les 70 000 socios (c'est-à-dire les abonnés), eut à résoudre le problème d'un énorme gouffre financier qui avoisina le milliard de pesetas (cinq milliards de centimes).
Et puis, il restait le terrain. Celui qui n'a pas vu jouer le Real Madrid depuis une saison aurait beaucoup de mal à reconnaître la plupart des joueurs. Ce bouleversement a été justifié par un recrutement qui n'a pas répondu aux espérances des dirigeants. Les plus décevants investissements ont été réalisés avec les étrangers. On ne parlera pas du fantasque Laurie Cunnhingam, mais plus surprenant fut le fiasco de Lozano. Transféré pour près d'un milliard de centimes, il s'est retiré, en claquant la porte, après une altercation avec Amancio, l'entraîneur. Même Stielike a connu cette saison de graves problèmes physiques qui l'on tenu très longtemps sur la touche. Seul, l'Argentin Valdano, venu de Saragosse, s'est parfaitement intégré, à tel point qu'il a terminé deuxième buteur de la Super Ligue.
En Coupe Uefa, Madrid a glissé cinq buts à Innsbriick, trois à Rijeka, six à Anderlecht. Le miracle de Madrid est là. Inconsistant et à la dérive en championnat, il redevient une bête féroce en Coupe d'Europe. Santiago Bernabeu, dont l'aura reste prestigieuse depuis sa disparition, peut être fier de ses petits. S'ils lui ont fait parfois de la peine, il les a reconnus tels qu'il les aime. Fiers de porter la tunique blanche, mauve et or du Real. Je suis sûr que s'il avait été de ce monde, le Président Bernabeu aurait appelé ses joueurs un à un dans son bureau pour leur glisser l'enveloppe scellée aux armoiries du club et renfermant la prime de reconnaissance du Real à ses serviteurs...
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