Quart de Finale Aller
15 avril 2015
Parc des Princes
ENG
C1.2014.2015.PSG.Barcelona.ENG.twb22-1.ts
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C1.2014.2015.PSG.Barcelona.ENG.twb22-2.ts
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Chacun sa méthode. Il y a ceux qui, d’un signe de la main, vous font poliment passer le message (Sirigu). Ceux qui font semblant de ne pas vous voir, le regard fixé vers la sortie (Rabiot, Cavani). Et ceux qui profitent de l’appel d’air d’un de leur coéquipier qui, lui, s’est arrêté devant les micros, pour se glisser subtilement dans son dos et éviter la meute des journalistes (Cabaye, Lavezzi). Ni vu ni connu. Ce mercredi soir, dans les couloirs du Parc des Princes, la grande majorité des Parisiens s’est défilée. Humiliés par le Barça (1-3) quelques minutes auparavant, ils n’ont pas voulu refaire le match. Les têtes basses, les regards fuyants, visiblement anéantis par une défaite qui a quasiment sonné le glas de leurs ambitions européennes.
Quelques courageux, souvent les mêmes, ont pris la parole pour eux et ce n’est sans doute pas un hasard si les deux meilleurs Parisiens du jour, Matuidi et Marquinhos, ont pris le temps de répondre aux questions des journalistes. Blaise Matuidi est un habitué des micros. Défaite cinglante ou non, le milieu de terrain assure toujours le service après-vente avec le PSG ou l’équipe de France. Cette fois, il ne s’est pas attardé. 1’30“ montre en main. Abattu, le milieu de terrain ne pouvait que reconnaître la supériorité catalane : "On est tombés sur plus fort que nous ce soir", a-t-il constaté visiblement marqué par l’ampleur de la démonstration. "C’était une soirée compliquée, le Barça est une grande équipe." Une équipe qui ne jouait pas dans la même galaxie que le PSG ce mercredi. Mais Paris a aussi sa part de responsabilité dans la débâcle.
Parmi la petite demie dizaine de joueurs qui a tenté d’expliquer le fiasco, Maxwell s’est montré le plus sévère : "On n’a pas été organisés, ni équilibrés et on a payé cher nos erreurs", a jugé le latéral brésilien. "On a joué avec notre cœur mais sans organisation… Nous n’avons pas joué comme une équipe." "Ce n’était pas le même PSG que ces dernières semaines", a continué Marquinhos.
Ni Marquinhos ni Maxwell n’ont voulu prendre comme excuse les absences d’Ibrahimovic, Verratti ou Thiago Motta. Seul Matuidi a relevé que le PSG avait joué avec "une équipe différente" et que "beaucoup de joueurs étaient absents." Dans une semaine, ils seront sans doute tous aptes mais ce ne sera sans doute pas suffisant. "C’est mission quasi-impossible", a tranché un Matuidi fataliste et décidément marqué par la claque. arquinhos, lui, promet que le PSG "ne va pas lâcher." Dernier joueur à se présenter devant la presse, David Luiz a pris son temps pour tenter d’être le plus pédagogique possible : "Ce n’était pas une grande soirée. Ni pour moi, ni pour le PSG." Humiliés par les deux petits ponts de Luis Suarez, coupable sur les deux derniers buts catalans, il ne s’est pourtant pas caché et a assumé sa part de responsabilité. Ce ne fut pas le cas de tout le monde. Loin de là.
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