2ème tour Groupe A
1 Juillet 1982
Nou Camp
ENG repost lien mort retrouvé sur un disque dur
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3.02 GB https://1fichier.com/?nl6rtug81wtd1spt61lw
La dernière Coupe du Monde disputé par l’Union soviétique remonte à 1970 et ce quart de finale contre l’Uruguay, Esparrago stoppant les espoirs des Soviétiques à la 116e minute. Et depuis ? L’Union soviétique est absente des deux Coupes du Monde des années 70. En 1974, l’URSS ne va pas en RFA à la suite d’une disqualification par la FIFA pour ne pas avoir participé au match retour de barrage contre le Chili. En 1978, la Sélection soviétique ne passe même pas les éliminatoires, chutant par deux fois contre la Hongrie (2-1) et la Grèce (1-0) La Hongrie sortant de ce groupe de trois et se qualifiant face à la Bolivie en match de barrage.
Une décennie de perdue malgré la présence de joueurs importants et entraîneurs confirmés. Mais même Nikita Simonyan n’a su insuffler sa soif de victoires qu’il a connu comme entraîneur au Spartak Moscou ou à l’Ararat Erevan. Après la déconvenue de 1978, les dirigeants soviétiques décident de faire confiance à nouveau à Konstantin Beskov. En poste durant l’Euro 1964 et avec la Sélection olympique de 1974 à 1977, le tacticien soviétique a d’abord la grande tâche de qualifier l’URSS à l’Euro 1980. Mais les choses ne se passent pas comme prévu et l’URSS finit à la dernière place de leur groupe composé de la Grèce, de la Hongrie et de la Finlande. Malgré la nouvelle claque, Beskov est prolongé à son poste.
À son arrivée en Espagne, la Sélection soviétique ne se trouve pas avec un seul entraîneur en la personne de Konstantin Beskov, mais avec un trio à sa tête. En effet, Valeri Lobanovsky du Dynamo Kiev et Nodar Akhalkatsi du Dinamo Tbilissi l’accompagne. Au départ, ce trio ne devait être formé que pour le match des éliminatoires de la Coupe du Monde contre la Turquie, le 23 septembre 1981. L’idée était de Konstantin Beskov qui, en sachant qu’une grande partie de la Sélection provenait de ces deux clubs, pouvait ainsi gérer plus facilement les hommes et les retards de retour de Sélection qui posaient pas mal de problèmes. Le second tour est des plus étranges avec un déroulement par poule de trois. Cette formule entraîne des matchs totalement fermés et des équipes s’occupant plus de faire des calculs pour passer plutôt que de jouer au foot… Car dans cette configuration, seul le premier de chaque poule passait en demi-finale. Une faible marge donc !
L’Union soviétique tombe dans le groupe de la Belgique et de la Pologne. Après une lourde défaite contre la Pologne (3-0), la Belgique affronte les Soviétiques avec peu de chances de pouvoir se qualifier. Ces derniers en profitent en remportant le match par la plus petite des marges grâce à un but d’Oganesian.
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