Wednesday, March 23, 2022

Ladies First: Ligue des Champions Feminines 2021 2022 Juventus Lyon


Quart Aller
23 mars 2022
Juventus Stadium

ENG 
1st HALF VERY BAD if somemody knows a date for a replay
on OLTv or any foreign channel
I'll try the second half on the Italian Channel maybe
Women.CL.2021.2022.Juve.Lyon.twb22.1MT.ts
1.7 Go
https://uptobox.com/1fjzx7b3dnol
https://filejoker.net/r27kgwy2wo4k
2nd HALF perfect ENG
Women.CL.2021.2022.Juve.Lyon.twb22.2MT.ts
2.1 Go
https://uptobox.com/dlg0nh2ffr9m
https://filejoker.net/acz0eldbywol
HALF TIME
Women.CL.2021.2022.Juve.Lyon.twb22.MT.ts
407.0 Mo
https://uptobox.com/nspibj9ei707
https://filejoker.net/e4x7el56or45

Il ne fallait pas être en retard, mercredi soir. Dans des rencontres qui offrent souvent des rounds d’observation, l’Olympique lyonnais et la Juventus Turin ont plutôt attaqué pied au plancher. Après quelques secondes, Catarino Macario s’est retrouvée étrangement seule dans la surface mais l’Américaine a vu sa frappe s’envoler. Le décor a été planté et dans la continuité, l’OL n’a pas été loin de se lancer dans une rencontre compliquée après une relance de Bouhaddi directement dans le dos de Renard. Fort heureusement, Hurtig, tellement pressée d’ouvrir le score, a trop croisé sa frappe. Une piqure de rappel pour les filles de Bompastor, la seule dans le premier acte. Plus d’un an après avoir croisé le fer en seizièmes de finale de cette compétition, l’opposition entre les Lyonnaises et les Turinoises a été bien plus déséquilibrée avec une domination des Fenottes. L’ouverture du score de Macario (8e) a validé cette domination mais aussi ce sentiment d’attaque-défense. Pour le premier quart de son histoire, la Juve n’a rien montré pendant plus d'une heure.


Réputé pour son jeu porté vers l’offensif, Joe Montemurro a été muselé par son homologue Bompastor avant que les faits de jeu ne tournent en faveur du coach turinois. En misant sur la titularisation de Damaris Egurrola, la coach lyonnaise a eu le nez fin. Malgré son absence de rythme, l’Espagnole a parfaitement joué son rôle de sentinelle que ce soit offensivement en étant au départ des actions que défensivement en réduisant au silence Rosucci. Toutes en maitrise, les joueuses de l’OL ont dominé les débats mais il y a très certainement manqué un peu plus de vitesse dans les transmissions pour se mettre complètement à l’abris. Et l'exclusion de Carpenter à l'heure de jeu après un mauvais réflexe a redonné espoir à une formation italienne qui donnait l'impression de ne plus en avoir.


La barre de Cernoia (64e) l'a d'ailleurs rappelé et en l'espace de dix minutes, l'OL s'est sabordé tout seul. Un rouge puis une faute de main de Bouhaddi plus tard, la Juventus Turin est revenue dans ce match... A ce stade de la compétition, chaque erreur se paye cash et la physionomie s'est complètement inversée avec un deuxième but turinois par Bonfantini (2-1, 83e). Comme souvent cette saison, les contre-performances lyonnaises se font à l'extérieur... Si l'OL veut prouver qu'il est encore un grand d'Europe, il va falloir se retrousser les manches. Punies par leurs erreurs, les Lyonnaises n'ont pas d'autres choix, le 31 mars prochain.


Sonia Bompastor, qu’est-ce qui prédomine après ce match ?
Forcément, beaucoup de frustration et déception. On a bien commencé le match et je pense qu’avec notre maîtrise, on aurait dû mener de 2 ou 3 buts à la mi-temps. Le tournant, c’est le carton rouge et derrière, ça a été plus compliqué sur la dernière demi-heure.
Pensez-vous qu’il y a une faute au moment de l’égalisation et que le ballon est sorti ?
Quand on est au bord du terrain, c’est difficile d’avoir une analyse à chaud. Il faut revoir les images pour avoir une vraie opinion. Mais ce qui est certain est que si on veut une assise sur la rencontre, avoir cet objectif de qualification, il faut qu’on fasse le nécessaire pour ne pas avoir à parler de l’arbitrage. Parler à l’arbitre à la fin du match ne doit pas arriver, il faut avoir fait le travail en amont. Donc je ne veux pas parler des décisions arbitrales mais de ce qu’a fait ou non mon équipe.


Pourquoi ne pas avoir titularisé Hegerberg ? Un souci physique ?
Ada est malade, elle a une gastro depuis le match contre Dijon. Elle a dû mal à s’en remettre. Elle a fait le déplacement avec nous à Turin mais est restée les deux jours à l’hôtel. Elle n’est sortie que pour le match et aller en tribunes car elle n’était pas en état de jouer. Pour le reste, ce sont des choix qui semblaient les plus justes sur la forme du moment. Damaris a fait un match intéressant pour son retour donc ça a été une bonne nouvelle.
Qu’avez-vous dit aux joueuses dans le vestiaire après le match ?
J’ai dit qu’il fallait prendre le temps d’analyser les choses à froid. Quand c’est chaud, c’est difficile d’avoir une vraie analyse d'une défaite. Dans les prochains jours, on va revoir le match, bien analyser. Il faut se préparer pour le match dans une semaine, il nous reste 90 minutes devant notre public. On avait dit qu’il allait sûrement falloir faire preuve de caractère dans cette double confrontation donc on va voir si on a les filles qui ont un mental. C’est forcément de la déception mais il faut bien récupérer physiquement et mentalement


"Quand j'entends une femme parler de tactique, ça me retourne l'estomac. Je n'y arrive pas", assurait en février 2019 l'ancien champion du monde de football italien Fulvio Collovati, reconverti en commentateur télé. Pourtant, cette même année, la Squadra Azzurra atteignait les quarts de finale du Mondial 2019 en France. Une compétition suivie par près de 25 millions de spectateurs dans le pays. Trois années plus tard, l'équipe féminine de la Juventus affronte l'Olympique Lyonnais en quarts de finale de la Ligue des champions, mercredi 23 mars. "Le football italien progresse et vite. La sélection nationale a montré ses qualités", a appuyé l'entraîneure de l'OL, Sonia Bompastor. "La Juventus s'est qualifiée pour la phase finale de la Ligue des champions, cela montre la qualité du football italien. Ce sont des équipes qui évoluent bien." Il est vrai que le football italien féminin est en plein essor, aussi bien en terme d'intérêt, que de pratique. Après la Coupe du monde, 34,1% des Italiens ont déclaré s'intéresser au football féminin. L'intérêt des amateurs de football pour la Serie A féminine a lui aussi augmenté : entre 2016 et 2019, il est passé de 14% à 30%, et de 11% à 22% parmi la population italienne de plus de 18 ans. 


La Fédération italienne de football n'est pas étrangère à ce nouvel engouement et se donne les moyens de faire progresser le football féminin. Depuis la saison 2018-2019, l'instance gère l'organisation des compétitions de haut niveau (Serie A, Serie B, Primavera, Coppa Italia et Supercoppa). Et cette direction semble porter ses fruits. Au cours des douze dernières années, le nombre de licenciées a grimpé d'environ 65 %, passant de près de 19 000 en 2008-2009 à plus de 31 400 en 2019-2020. En parallèle, la couverture télévisuelle a également fait un grand bond en avant, enregistrant une hausse de 81%.  Cette place qu'est en train de se frayer le fooball féminin en Italie attire. La Française Alice Benoît a fait le choix de quitter le club de Soyaux pour rejoindre le championnat italien cette saison. Elle évolue désormais à Sassuolo et ne regrette pas sa décision. "J'ai été agréablement surprise par la qualité du championnat", confie l'ancienne internationale tricolore U19. "C'est un football complètement différent. En France, c'est plus athlétique, il y a davantage de duels. En Italie, c'est plus tactique, plus collectif."


En Italie, les écuries féminines sont rattachées à des clubs historiques, comme la Juventus, l'Inter Milan, ou encore l'AC Milan. "Ils ont plus de moyens, plus de médiatisation, donc le développement va plus vite que dans le foot français. Les noms des clubs parlent plus aux passionnés", fait remarquer Alice Benoît. Elle souligne également le caractère imprévisible des rencontres en Serie A féminine : "Il y a plus de surprises en Italie qu'en France. Se dire qu'on peut même accrocher la Juventus, première du championnat, c'est très enrichissant. En France, il n'y a pas ça. Il y a trop d'écart avec Lyon ou Paris. Tu sais que tu vas devoir poser le bus tout le match et essayer de retarder au maximum le moment où tu encaisseras un premier but."


La Serie A féminine aura le statut de ligue professionnelle dès la saison prochaine. "Le nouveau statut va assurer plus de sécurité et d'avantages aux joueuses. De plus en plus d'étrangères vont faire leur arrivée", projette Alice Benoît. De son côté, la France continue de stagner et ne semble pas avancer par rapport aux autres nations européennes. "L’étau se resserre. On se rend compte qu’on n’a plus l’avance qu’on pouvait avoir auparavant. Je l’ai réalisé depuis trois ans", a glissé Amandine Henry
















That's what happens a lot for a long time on first half only. Comes from the
broadcast i thing














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