Huitieme Aller
22 fevrier
Stanford Bridge
FR full
C1.2021.2022.Chels.Lill.FR.twb22.mp4
4.2 Go
https://uptobox.com/0bd5lpqmx3x9
https://filejoker.net/gdu1piwfsy92
ou or FR
C1.2021.2022.Chels.Lill.FR.twb22.1MT.ts
923.9 Mo
https://uptobox.com/kqwuh20wkxic
https://filejoker.net/dsiyarzacmb4
C1.2021.2022.Chels.Lill.FR.twb22.2MT.ts
1.0 Go
https://uptobox.com/cu84kzvy0fen
https://filejoker.net/bmmkq4h1y74o
PREMATCH UK
C1.2021.2022.Chels.Lill.ENG.twb22.PreMatch..ts
401.2 Mo
https://uptobox.com/5gq1pwasgfda
https://filejoker.net/3xkwmjmdcq42
HALF TIME CHELSTv ENG
C1.2021.2022.Chels.Lill.FR.twb22.HalfTim.ChelsTv.ts
163.1 Mo
https://uptobox.com/7nzrxgrbcera
https://filejoker.net/pv6h22kbmxj1
Opposé au tenant du titre Chelsea en huitième de finale mardi soir (21h), le LOSC a l'ambition de déjouer tous les pronostics en s'appuyant sur un parcours européen remarquable. Encore et toujours dans le rôle de l'outsider, les Lillois de Jocelyn Gourvennec comptent bien transformer leur habitude de créer la surprise, pour en faire une partie de leur identité. De tous les tirages pour un premier de poule, tomber contre Chelsea en huitième de finale était probablement le pire pour les Lillois. Alors deux fois d'affilée, la malchance était poussée à son paroxysme ! Mais le LOSC n'a pas pleuré pour autant, et ne s'est pas réfugié derrière cette excuse d'un tirage difficile. En Europe, les Dogues sont habitués à devoir jouer les petits poucets depuis plus de 20 ans. Et cette année, la donne est différente.
"Personne ne nous voyait terminer premiers. On a déjoué les prédictions", a rappelé Jocelyn Gourvennec en conférence de presse avant le choc de mardi contre Chelsea (21h), soulignant la performance des champions de France en titre, leaders de leur poule devant le Red Bull Salzbourg, le FC Séville et Wolfsburg. Déjà plus petit coefficient UEFA de tous les participants de C1 alors que le club était dans le chapeau 1 initial avec tous les favoris, le LOSC a appris à se faire tout petit, pour mieux créer la surprise. C'était déjà le cas l'an dernier en Ligue 1, quand personne n'avait imaginé les hommes de Christophe Galtier tenir la distance sur toute une saison et terminer champions, en terrassant le Paris Saint-Germain. Fort de son expérience de Ligue des champions il y a deux ans, et de ses prestations de haut vol dans les grandes rencontres depuis un an et demi, le groupe lillois se sait galvanisé, à l'image de son capitaine José Fonte. "Ces trois dernières saisons, le groupe a joué plusieurs grands matches. Nous sommes habitués aux matches de haut niveau", a défendu le Portugais.
Et c'est vrai que sans jamais être favori, Lille a réalisé des grands matches quand il le fallait. De sa démonstration à San Siro contre Milan en Ligue Europa (3-0) à son succès au Parc des Princes pour filer vers le titre dans sa course contre le PSG (1-0), le LOSC a montré qu'il savait répondre présent l'an dernier. Cette saison, les grosses oppositions contre Paris au Trophée des Champions (1-0), contre Marseille en Ligue 1 (2-0) ou sur la pelouse de Séville dans un match pour sa survie européenne ont toutes tourné en faveur des Nordistes. A l'exception près de la débâcle de février contre le PSG à domicile (1-5), l'équipe de Gourvennec sait élever son niveau de jeu quand elle est attendue. Ce qui fait sa force.
"C’est une étape supplémentaire demain contre un grand club, le tenant du titre. Le défi est énorme", a aussi précisé l'entraîneur lillois lundi soir. L'opposition à Stamford Bridge promet un grand match de football, sur une terre anglaise que Lille connaît bien. En Europe, les Dogues ont souvent affronté des clubs anglais sur les 20 dernières années, déjà à ce stade de la compétition. Les Lillois n'avaient craqué contre Manchester United en 2007 qu'à la faveur d'une injustice et d'un but cruel sur coup-franc de Ryan Giggs. Contre Chelsea quinze ans plus tard, ils sont une fois de plus dans ce costume de David contre Goliath. "Mais nous, comme des hommes et avec notre ambition, on veut montrer que c’est possible. On a notre mot à dire", clame le guerrier Fonte. A l'aube d'un printemps qui peut devenir fou si l'Europe se poursuit, Lille doit le temps d'un soir oublier son statut de onzième de Ligue 1 pour passer en mode Ligue des champions. "J’espère qu’on va montrer le vrai visage du LOSC demain. Nous devons être solidaires", a prévenu le défenseur central lundi soir. L'adversaire a de quoi faire peur du haut de sa troisième place de Premier League, car Chelsea n'est plus la même équipe que celle qui s'était imposée par deux fois contre les Dogues en poules il y a deux ans. Mais Lille aussi s'est complètement transformée : "Tout a changé depuis notre venue il y a deux ans. C’est un LOSC plus performant en Ligue des champions désormais". Moins les gens y croiront, plus grande sera la surprise que José Fonte et ses partenaires sont déterminés à créer.
Rarement l’expression "errer comme une âme en peine" n’aura autant collé à la description d’un joueur pendant un match. Il fallait voir Romelu Lukaku déambuler, hagard, sur la pelouse de Selhurst Park pour saisir l’étendue du malaise que son cas représente ces dernières semaines à Chelsea. Isolé, déconnecté et presque perdu dans l’animation des Blues, le Belge a connu un match rachitique, ponctué par… 7 ballons touchés, dont un sur le seul coup d’envoi.
La stat interpelle et fixe un record peu enviable, surtout pour un joueur de son statut : jamais Opta n’avait enregistré une telle discrétion depuis qu’il collecte les données dans cette compétition. Face à une telle disette, difficile de rester pleinement mobilisé. Même Alan Shearer compatissait dans Match of the Day : "En première période, il n’a eu qu’une touche autre que le coup d’envoi, expliquait-t-il. Une touche ! C’est la faute de tout le monde. Il y a définitivement une incompréhension entre ce dont il a besoin et ce qu’il reçoit. Il s’est même arrêté de courir par moments car la balle ne venait jamais".
Merci pour ce post, les liens FR sont Morts
ReplyDelete