Thursday, February 15, 2024

Coupe Uefa 1979 1980 Widzew Lodz St Etienne

1er Tour Match Aller
9 Septembre 1979
Stadion Widzewa

FR repost lien mort retrouvé 
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C3.1979.1980.Lodz.StEt.Ripbytwb22donotrepost.mp4
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« La première chose qui m’a frappé lorsque j’ai découvert le terrain de Lodz, intervient à son tour Lopez, c’est que les poteaux étaient carrés. Ceux qui ont une bonne mémoire voient ce que je veux dire. Je n’ai pas oublié la finale de Glasgow et ces deux tirs sur la barre... A chaque fois que j'y repense, j’ai des frissons. Mais à Lodz, nous n'en étions qu’au premier tour de la Coupe de l'U.E.F.A. Cela ne nous empêchait pas d’être tous assez tendus, conscients de la valeur du football polonais. Une de mes deux filles, Géraldine, m’avait pourtant bien encouragé avant le départ en me disant : « Si tu ne gagnes pas papa, tu auras une fessée en rentrant. » Robert Herbin avait d'autres arguments pour nous motiver, mais ils étaient presque inutiles. A Saint-Etienne, on aime la Coupe d’Europe. Il fallait d’ailleurs voir quelle ardeur tout le monde déployait à l’entraînement. Lors de l’ultime séance de jeu de tête, Zimako arborait un pansement à l’arcade qui l'avait fait surnommer Jo Kimpuani, 


Platini avait été mis K. O. et Larios et Rep avaient eu un sérieux accrochage... A Lodz, tout était oublié, mais j'étais si tendu que j’ai pris un cachet pour dormir. Et le lendemain, je n’ai cessé de penser au match depuis l’aube. Je me voyais dégager de la tête au-dessus de la mêlée, tacler à l’ultime instant un attaquant ou encore réussir un tir des 30 mètres. Et, à l'heure de la sieste, j’ai surtout passé mon temps à parler avec Farizon de Boniek ou de la vitesse de leurs attaquants. Il n’y avait guère que Rep à être décontracté. Concentrés en défense et d’appliquer au départ une stricte individuelle. Il s’agissait de suivre son adversaire direct jusqu'à la fin de l’action, mais de revenir se placer ensuite. Et si nous récupérions le ballon, nous devions laisser les demis organiser le jeu. Juste avant le début de la rencontre, il ajouta encore de ne rien dire à l’arbitre et d’être agressifs sans être méchants. Les derniers mots avant le coup d’envoi ont été du président qui m'a tapé sur les fesses en murmurant : «Tu fermes le portail derrière...» Dans les premières minutes, j’ai eu une balle à repousser de la tête et c’est à peu près tout. Au contraire, Platini et Zimako avaient déjà eu deux belles occasions de la tête quand Platini a tiré en force un coup franc bien placé qu’un défenseur a détourné dans son but. En fin de mi-temps encore, Zimako est parti seul et j’étais persuadé qu’il allait marquer. Il a tellement tergiversé qu’un défenseur l’a contré. Sur le coup, j’ai râlé. « C’est pas possible de rater des buts pareils », ai-je lancé, alors qu'à côté de moi Santini répétait : « C’est pas vrai, c’est pas vrai. » Dans les vestiaires, nous n’avons plus rien dit mais ce pauvre Zimako offrait triste mine. 


Dès la reprise, je me suis rendu compte que nous ne leur posions plus de problèmes et les petites frictions ont commencé. Une montée inopportune de Borel, rentré en cours de jeu, a d’abord semé la panique chez nous. « Qu’est-ce que tu es parti foutre devant », ai-je hurlé. Curkovic, aussi, avait senti que ça allait mal. « Dis aux milieux de s’écarter pour recevoir le ballon », me demanda-t-il. Pourtant, je ne croyais pas au pépin. J'étais persuadé que nous allions tenir. 3eu après, Curkovic avait le ballon dans a main. Je me suis écarté pour recevoir a balle, mais il a préféré servir Platini, cerné par deux Polonais. Michel, légèrement poussé, l’a perdue et, pour la récupérer, a commis une faute. Les Polonais ont immédiatement joué le coup franc et e suis arrivé une fraction de seconde trop tard pour empêcher le tir de Boniek. Il n'y avait pas encore de raisons de s affoler, mais je me suis inquiété lorsque j’ai vu que nous n’arrivions plus à carder le ballon, que personne ne bougeait, que personne n’offrait jamais une solution. L’orage menaçait un peu plus à chaque instant. Je me suis retrouvé seul face à deux Polonais, et l’un d’entre eux a complètement « queuté » son tir, avec le tibia, à trois mètres des buts, et j’ai pu dégager. Un peu plus tard, sur un corner, nous étions au moins six verts pour deux Polonais. Et c’est l'un d’eux, Kowenicki, qui a marqué de la tête au premier poteau. Alors là, j’ai gueulé... et fort...Il ne s'est plus passé grand-chose ensuite, comme si Lodz se satisfaisait du résultat. C’est vrai que nous aurions peut-être signé pour une courte défaite avant la rencontre, mais je trouvais rageant d’avoir eu ainsi le match en main et de l’avoir laissé filer. 









8 comments:

  1. can you please write what password is?

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  2. there is a note at the end of the blog
    pass twb22

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  3. The video is not of this game...
    It´s the first half of a game between Borussia Monchglabach and Liverpool, i don´t no the year...

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  4. This comment has been removed by the author.

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  5. My guess is UEFA Cup Final, second leg, 23/05/1973..

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  6. yes. i'll fix it when i will look in the box

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