Finale
31 Mai 1984
Waldstadion Frankfurt
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La finale de la coupe: un drame en trois actes "Frappez-le, Michael, frappez-le." Karl-Heinz Rummenigge se tenait avec une tête rouge vif sur la ligne médiane du Waldstadion de Francfort, nerveux 8: 7 après les tirs au but, le FC Bayern Munich a remporté la Coupe d'Allemagne pour la septième fois de son histoire triomphante. Le capitaine Kalle et ses coéquipiers ont applaudi comme si c'était la première fois. Quelques mètres plus loin Lothar Matthâus était allongé sur la pelouse sanglotant tranquillement - le deuxième acteur principal de ce drame de football en trois actes. Même le prologue promettait une excitation inhabituelle. À Munich, le capitaine Rummenigge a fait un vœu solennel, pour ainsi dire. En guise d'adieu, il avait promis à ses fans à plusieurs reprises et en toute sincérité: "Je n'irai pas à l'Inter Milan sans titre." Et Lothar Matthâus ne voulait pas non plus quitter son Borussia les mains vides à Mônchengladbach. "Nous 'obtiendra le trophée. "
Les thrillers sensationnels en demi-finale avec Borussia 5: 4 contre le Werder Brême et le fou 6: 6 à Schalke contre Bayera avaient déjà fait bouillir l'ambiance. La coupe cette fois, ce n'était pas le beau-fils du football allemand, c'était, comme en Angleterre, le point culminant de toute la saison. Mais la performance finale a laissé des sentiments mitigés. Les acteurs manquaient de brillance et de formes d'expression techniques moyennes comme dans la vie quotidienne de la Bundesliga. Même Karl-Heinz Rummenigge est resté pâle et toujours sous le contrôle de son homologue Uli Borowka. Une fois, il était sur le point d'être expulsé quand il jeta avec colère le jeune Borussien au sol. Lothar Matthâus avait l'air fatigué, Winfried Schâfer et Uwe Rahn semblaient épuisés tôt après une longue pause après une blessure. Mais quelle intrigue grandiose cette partie offrait, comme conçue par un brillant scribe et mise en scène par un grand metteur en scène. ...
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