Dans un pays qui s'étire sur plus de 4 000 kilomètres, d'une largeur de 100 à 200 kilomètres en moyenne et qui s'achève à la Terre de Feu, le football est apparu en 1 850. Des écoliers anglais lancent ce jeu dans la capitale ainsi qu'à Valparaîso, où est fondé le premier club chilien, le FC Valparaiso. D'autres ont suivi dans la capitale, et le Club Social y Deportivo Colo-Colo prend naissance, lui, le 19 avril 1925. Sur cette terre de jeu et de feu, des joueurs issus du club de Magallanes lancent la dissidence, menés par David Arellano. Ils créent donc un nouveau club dont la fonction est toute résumée dans son nom même. Arellano et ses amis, dans la salle du café de la Calle Covadonga, ont opté pour une dénomination sans ambiguïté, le « club social et sportif ». Comme emblème, ils retiennent le visage de Colo-Colo, un chef de la tribu indienne des Mapuche, réputée pour sa sagesse et sa santé. Les fondateurs choisissent aussi le blanc comme couleur de maillot : « C'est le symbole de la pureté de nos intentions et de nos principes.
Le short noir, lui, représente notre détermination à la victoire, en toute circonstance. » Voilà pour la philosophie générale du nouveau club. Un club qui, dans ce pays à la grande tradition de football (le Chili organise la Coupe du monde en 1962 et s'y classe troisième), ne va pas manquer d'inaugurer une ère nouvelle. Ainsi, en 1927, Colo-Colo est le premier club sud-américain à effectuer une tournée en Europe : pas moins de quarante matches en Espagne et au Portugal. Mais, durant ce périple, le 3 mai 1 927, le capitaine et fondateur du club, David Arellano, meurt à Valladolid, victime d'une péritonite. C'est encore Colo-Colo qui se montre le plus novateur quand, en 1933, ses dirigeants proposent la création d'un Championnat du Chili professionnel, que le club remporte pour la première fois en 1937 sans concéder la moindre défaite, un exploit renouvelé en 1941. C'est aussi Colo-Colo qui, le premier, porte au plus haut les couleurs du football chilien en parvenant en finale de la Copa Libertadores (Coupe des clubs champions d'Amérique du Sud) en 1973. Ou en s'imposant dans cette même Copa Libertadores en 1991 et en disputant la Coupe intercontinentale (défaite contre les Yougoslaves de l'Étoile rouge de Belgrade). Sur la pelouse de l'Estadio Monumental David Arellano, construit en 1956 sous la présidence d'Antonio Laban, achevé trente ans plus tard (en 1986 !) et pouvant accueillir 65 000 spectateurs, le club de Santiago du Chili a marqué de son empreinte un championnat qu'il domine largement, accordant quelques miettes à ses rivaux historiques : Universidad de Chile, Universidad Catôlica, Cobreloa ou encore Union espanolo. Et quelques joueurs, sous le maillot blanc, brillent avant de rejoindre les grands championnats sud-américains (Argentine ou Brésil) ou européens, à l'exemple d'Ivo Basay à Reims dans les années 1980 ou encore, depuis 1999, Pedro Reyes, à Auxerre, et Pablo Andres Contreras, à Monaco. Avec, toujours présent à l'esprit, le grand principe de vie du chef mapuche Colo-Colo : sagesse et vaillance. Plus recemment, Alexis Sanchez fut dans l'effectif ansi que de jeunes prometteurs Chiliens.
Once jugadores de Magallanes se separaron de su club. Entre ellos los hermanos Arellano, David y Francisco, Juan Quiñones (inventor del uniforme), Luis Contreras, inventor del nombre, Rubén y Nicolás Arroyo, Clemente Acuña, Guillermo Cáceres, Rubén Sepulveda, Eduardo Stavelot y Luis Mancilla. Corrían los primeros años de la decada del ´20, cuando un grupo de estudiantes de pedagogía y excelentes jugadores del club Magallanes, institución fundadora del balompié chileno, ecepcionados por la falta de oportunidades hacia los jóvenes decidieron separarse de su club y fundar una nueva institución. Los promotores de la idea son los hermanos David, Francisco, Alberto y Alejandro Arellano Moraga. El 19 de abril de 1925 estos entusiastas estudiantes fundan el club que ha llegado a ser el más popular y prestigioso de Chile. En la calle Covadonga de Santiago, tras una larga reunión, los miembros de la nueva institución deciden llamarlo Colo Colo. El cacique mapuche es símbolo del valor, la sagacidad y la sabiduría, chispa de inspiración para los defensores de la tricota colocolina. La vestimenta representa fielmente la filosofía que inspiró a sus socios fundadores: "La camiseta blanca, símbolo de pureza de principios e intenciones; y el color negro de los pantalones significante de la determinación de luchar siempre lealmente por la victoria". Colo Colo ganó adeptos con rapidez. Muchos se sintieron atraídos por la fuerza de estos jóvenes estudiantes, que se presentan ordenadamente sobre un campo de juego y sobre todo que ejecutan un estilo que mezclan la técnica con esa guapeza característica del club albo, siendo desde sus albores un equipo difícil de doblegar, de corte ofensivo y goleador. Los albos se transformaron en animadores permanentes de los torneos chilenos y su fama creciente los requirió desde alejadas latitudes, dando satisfacción a dichas peticiones en la famosa y trágica gira de 1927.
Le short noir, lui, représente notre détermination à la victoire, en toute circonstance. » Voilà pour la philosophie générale du nouveau club. Un club qui, dans ce pays à la grande tradition de football (le Chili organise la Coupe du monde en 1962 et s'y classe troisième), ne va pas manquer d'inaugurer une ère nouvelle. Ainsi, en 1927, Colo-Colo est le premier club sud-américain à effectuer une tournée en Europe : pas moins de quarante matches en Espagne et au Portugal. Mais, durant ce périple, le 3 mai 1 927, le capitaine et fondateur du club, David Arellano, meurt à Valladolid, victime d'une péritonite. C'est encore Colo-Colo qui se montre le plus novateur quand, en 1933, ses dirigeants proposent la création d'un Championnat du Chili professionnel, que le club remporte pour la première fois en 1937 sans concéder la moindre défaite, un exploit renouvelé en 1941. C'est aussi Colo-Colo qui, le premier, porte au plus haut les couleurs du football chilien en parvenant en finale de la Copa Libertadores (Coupe des clubs champions d'Amérique du Sud) en 1973. Ou en s'imposant dans cette même Copa Libertadores en 1991 et en disputant la Coupe intercontinentale (défaite contre les Yougoslaves de l'Étoile rouge de Belgrade). Sur la pelouse de l'Estadio Monumental David Arellano, construit en 1956 sous la présidence d'Antonio Laban, achevé trente ans plus tard (en 1986 !) et pouvant accueillir 65 000 spectateurs, le club de Santiago du Chili a marqué de son empreinte un championnat qu'il domine largement, accordant quelques miettes à ses rivaux historiques : Universidad de Chile, Universidad Catôlica, Cobreloa ou encore Union espanolo. Et quelques joueurs, sous le maillot blanc, brillent avant de rejoindre les grands championnats sud-américains (Argentine ou Brésil) ou européens, à l'exemple d'Ivo Basay à Reims dans les années 1980 ou encore, depuis 1999, Pedro Reyes, à Auxerre, et Pablo Andres Contreras, à Monaco. Avec, toujours présent à l'esprit, le grand principe de vie du chef mapuche Colo-Colo : sagesse et vaillance. Plus recemment, Alexis Sanchez fut dans l'effectif ansi que de jeunes prometteurs Chiliens.
ESP repost dead link
Col.Col.Hist.Thewildbunch22.mkv
610.57 Mo https://1fichier.com/?hb6pmk92q0h5yci2dg84
Once jugadores de Magallanes se separaron de su club. Entre ellos los hermanos Arellano, David y Francisco, Juan Quiñones (inventor del uniforme), Luis Contreras, inventor del nombre, Rubén y Nicolás Arroyo, Clemente Acuña, Guillermo Cáceres, Rubén Sepulveda, Eduardo Stavelot y Luis Mancilla. Corrían los primeros años de la decada del ´20, cuando un grupo de estudiantes de pedagogía y excelentes jugadores del club Magallanes, institución fundadora del balompié chileno, ecepcionados por la falta de oportunidades hacia los jóvenes decidieron separarse de su club y fundar una nueva institución. Los promotores de la idea son los hermanos David, Francisco, Alberto y Alejandro Arellano Moraga. El 19 de abril de 1925 estos entusiastas estudiantes fundan el club que ha llegado a ser el más popular y prestigioso de Chile. En la calle Covadonga de Santiago, tras una larga reunión, los miembros de la nueva institución deciden llamarlo Colo Colo. El cacique mapuche es símbolo del valor, la sagacidad y la sabiduría, chispa de inspiración para los defensores de la tricota colocolina. La vestimenta representa fielmente la filosofía que inspiró a sus socios fundadores: "La camiseta blanca, símbolo de pureza de principios e intenciones; y el color negro de los pantalones significante de la determinación de luchar siempre lealmente por la victoria". Colo Colo ganó adeptos con rapidez. Muchos se sintieron atraídos por la fuerza de estos jóvenes estudiantes, que se presentan ordenadamente sobre un campo de juego y sobre todo que ejecutan un estilo que mezclan la técnica con esa guapeza característica del club albo, siendo desde sus albores un equipo difícil de doblegar, de corte ofensivo y goleador. Los albos se transformaron en animadores permanentes de los torneos chilenos y su fama creciente los requirió desde alejadas latitudes, dando satisfacción a dichas peticiones en la famosa y trágica gira de 1927.
Recorrieron parte de América, España y Portugal, jugando más de 40 encuentros. El día 3 de mayo de 1927, quedó grabado con letras de fuego en la corta historia de Colo Colo, porque su capitón y fundador, David Arellano, muere en la cancha de Valladolid, víctima de una peritonitis. El drama de ver a su capitán caído transformó a Colo Colo en una leyenda, que gatilló en las masas un fervor y un cariño tanto en nuestro país como en el extranjero. Colo Colo no sólo incidió de manera importante en alzar el nivel del espectáculo del fútbol en Chile, con su estilo característico y la multitud que se congregaba para verlo, sino que inspiró la creación del más importante torneo de fútbol de Sudamérica, como es la Copa Libertadores de América, con la organización en febrero de 1948 de Campeonato de Campeones, que reunió en Santiago a siete equipos sudamericanos.Los albos del cacique tuvieron grandes equipos a lo largo de su historia. Recordado es el título de 1937, que de la mano del Tigre Sorrel, Colo Colo ganó en forma invicta. Sin embargo, los hinchas del club popular debieron esperar hasta la década del 70 para entreverarse entre los mejores cuadros del continente. Bajo la Batuta del Zorro Alamos llegaron a la final de la Copa Libertadores. Recién en 1991, esa esquiva y ansiada copa, por fin, pudo ser tocada por los chilenos. Colo Colo nos dio esa enorme alegría. Desde la banca el croata Mirko Jozic revolucionó tácticamente a Colo Colo y en base a dinámica, fútbol de ataque y mucha garra se convirtieron en los mejores del continente. El 30 de septiembre de 1989 se entregó a la comunidad colocolina el Estadio Monumental, obra que demoro más de 30 años en ser terminada y que tiene una capacidad de 65.000 espectadores. Un año más tarde se le dotó de iluminación artificial, poniéndolo al nivel de los mejores recintos deportivos del continente.
A lo largo de su historia, Colo-Colo ha visto pasar más de mil futbolistas entre sus filas, siendo la mayor parte de estos de nacionalidad chilena. Desde la creación de las categorías inferiores de Colo-Colo en 1926, gran parte del plantel profesional del club ha sido nutrido por futbolistas surgidos desde estas, destacando entre ellos Francisco Valdés (máximo goleador histórico de Colo-Colo y del fútbol chileno), Carlos Caszely (tercer anotador histórico de la selección chilena), Roberto Rojas (considerado por el IFFHS como uno de los mejores porteros sudamericanos del siglo XX) y Matías Fernández (mayor venta de Chile al exterior y futbolista sudamericano del año en 2006), entre otros.Si bien el primer futbolista extranjero en vestir la camiseta de Colo-Colo fue el italiano José Rosetti el 1 de enero de 1927, además de contar con algunos en las décadas de 1930 y 1940, fue a partir de fines de los años 1960 cuando los jugadores foráneos adquirieron protagonismo en el club. Entre los extranjeros que llegaron a Colo-Colo destacaron los brasileños Elson Beiruth (110 goles convertidos), Severino Vasconcelos (2 veces campeón) y Emerson Pereira (3 campeonatos) y los argentinos Ramón Héctor Ponce (campeón en 1979), Marcelo Barticciotto (86 partidos internacionales y 7 veces campeón), Marcelo Espina (4 veces campeón), entre muchos otros.Con alrededor de 140 futbolistas, Colo-Colo es además el club que ha contribuido con más jugadores a la selección de fútbol de Chile, los que suman en su totalidad sobre 1.500 presentaciones con «la Roja». Los primeros seleccionados fueron David Arellano y Humberto Moreno. El futbolista de Colo-Colo que más encuentros ha disputado con la selección es el volante Jaime Pizarro, con 53 encuentros entre 1986 y 1993. Francisco Valdés , Carlos Caszely y Lizardo Garrido son otros de los futbolistas que recibieron mayor cantidad de convocatorias mientras jugaban por Colo-Colo. Misael Escuti es el jugador con mayor número de en encuentros disputados por torneos nacionales, 417 partidos entre 1946 y 1964.
Tras Escuti, los ya mencionados Lizardo Garrido y Francisco Valdés son, junto a Raúl Ormeño y Marcelo Ramírez, algunos de los futbolistas con mayor cantidad de presencias en primera división jugando por Colo-Colo, a nivel internacional Marcelo Barticciotto es el jugador que más encuentros disputó con 86 partidos,3 mientras que Lizardo Garrido tiene es récord de presencias en la Copa Libertadores con 67 encuentros. Por otro lado, los futbolistas que más goles han marcado por el club en primera división son Francisco Valdés (179), Carlos Caszely (151), Manuel Muñoz (120) y Alfonso Domínguez (116). Francisco Valdés es, además, el máximo anotador del club por encuentros oficiales con 207 goles y quien más goles convirtió por encuentros internacionales con 20 anotaciones, récord que comparte con Ivo Basay. En el mismo sentido, Luis Hernán Álvarez fue el jugador que más goles convirtió en una temporada de liga, 37 en 1937, mientras que, si se consideran todas las competiciones, Humberto Suazo ha sido quien más goles marcó en un año con 47 anotaciones en 2006. Este último posee además el mejor promedio de goles en la historia del club con 0,96 por partido.En lo que respecta a campeonatos obtenidos, Luis Mena es quien más campeonatos de Primera División ha obtenido con 10 títulos, siendo escoltado por Marcelo Barticciotto, Raúl Ormeño y David Henríquez con Marcelo Ramírez y Lizardo Garrido son además quienes más campeonatos han conseguido en total, con 15 trofeos, seguidos por Jaime Pizarro con 14.
Merci!
ReplyDelete