Thursday, November 24, 2022

World Cup 2022 Belgique Canada


Group Stage
23 novembre 2022

FR (Canada) full with pre & Post Match 
WC.2022.Belgique.Canada.FRCAN.twb22.mp4
5.39 GB https://1fichier.com/?tbavpkfmcnhd2sre7i1g
https://filejoker.net/petulte20zi7 
FR (Belgique pre match & 30mnts fisrts half
WC.2022.Belgique.Canada.FRBEL.twb22-1.ts
32.38 MB https://1fichier.com/?wuoboe6fk7q2lx5fpl9o
https://filejoker.net/w1m6p6anbwda

Trente-six ans ou 13 316 jours. C’est le temps qui s’est écoulé entre le dernier match du Canada à la Coupe du monde de soccer et son affrontement contre la Belgique perdu 1 à 0, ce mercredi.
Le gardien belge Thibaut Courtois a plongé à sa droite pour stopper un tir de pénalité du Canadien Alphonso Davies, tôt dans le match, ce mercredi, à la Coupe du monde de soccer, au Qatar. Ce sont des petites choses qui font la différence sur la plus grande scène de foot au monde et un tir de pénalité raté par Alphonso Davies dans les 10 premières minutes de jeu a peut-être fait la différence. Davies, qui aurait pu effectuer un tir d’une plus grande qualité, a été arrêté par le meilleur gardien au monde, Thibaut Courtois. S’il avait fait mouche, le jeune prodige du Bayern Munich aurait marqué le premier but de l’histoire du Canada au Mondial. En 1986, le pays avait été blanchi en trois matchs. C’est un filet de Michy Batshuayi à la 44e minute qui a finalement fait la différence.


L’entraîneur John Herdman a confirmé après la rencontre qu’il n’y a pas de politique interne concernant les «penalties». Ce sont les joueurs sur le terrain qui décident qui s’exécute. Il s’est ensuite porté à la défense de Davies qui a pris l’initiative d’aller tirer. «Je suis fier de “Phonzie” qui a pris le ballon. Il a soutenu le poids d’une nation qui attendait depuis 36 ans», a-t-il dit.
«C’est aux joueurs à décider et quand tu as un gars à 5 millions qui dégage de la confiance comme lui qui prend le ballon, c’est correct. Courtois est un bon gardien.» Dans un stade Ahmad bin Ali largement vendu à la cause canadienne, nos représentants, qui occupent le 41e rang du classement de la FIFA, ont offert une performance presque sans faute face à une Belgique (2e mondiale) souvent débordée par la rapidité des attaques de l’unifolié. C’est la finition qui aura fait défaut aux Canadiens, puisqu’ils ont décoché 21 tirs contre seulement neuf pour les Belges.
Mais les hommes de Herdman ont souvent précipité leurs gestes près de la surface adverse et ils n’ont finalement cadré que trois tirs. Cyle Larin est venu bien près lui aussi de devenir le premier marqueur de l’histoire du pays à la Coupe du monde à la 80e minute sur une magnifique tête que Courtois a captée en plongeant à sa droite.


Le Canada se retrouve pour le moment au dernier rang du Groupe F, tandis que les Belges sont au sommet à la suite du verdict nul de 0 à 0 entre le Maroc et la Croatie, plus tôt dans la journée.
Malgré un peu de nervosité en début de rencontre, le Canada a complètement dominé la première demie, mais la Belgique n’a eu besoin que d’un petit moment de flottement de la défense ennemie pour ouvrir la marque. Batshuayi a profité d’une longue passe de Toby Alderweireld pour s’insérer entre deux arrières et battre Milan Borjan avant de se rendre au vestiaire. C’est dommage parce que les Canadiens ont réellement dicté l’allure de la partie dès les premiers instants jusqu’à ce but belge. En première demie, le pays négligé a tenté 14 tirs, dont deux cadrés, contre quatre pour les Belges qui en ont aussi cadré deux. Même si les Européens ont décidé de stationner l’autobus assez tôt en seconde demie, le Canada a continué d’appuyer sur l’accélérateur avec des changements offensifs de la part de Herdman, qui a notamment envoyé le Québécois Ismaël Koné dans la mêlée peu avant l’heure de jeu. Les Canadiens ont pressé sans relâche sans pour autant pouvoir percer la muraille de Courtois, qui a été très bon dans les moments importants.


Ce qu’on peut affirmer sans avoir peur de se tromper, c’est que le Canada a gagné beaucoup de respect avec cette prestation face à une Belgique qui avait peu de solutions pour gérer la vitesse des Rouges. Il n’y a plus de doute possible, Herdman et sa troupe ont entièrement mérité leur place à ce Mondial, mais on le savait déjà puisqu’ils avaient terminé au premier rang de la qualification de la CONCACAF. Ce qu’ils ont confirmé mercredi, c’est que ce n’était pas un accident. Ils forment réellement une très bonne équipe qui, avec encore un peu de progression, va pouvoir continuer de se frotter aux meilleurs.








































No comments:

Post a Comment

NO LINKS ALLOWED