23 Avril 2002
Nou Camp
Nou Camp
repost lien mort retrouvé
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C1.2001.2002.Barc.Rl.twb22.mp4
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Immuable, le rituel sévit tous les 23 avril en Catalogne. Pour fêter la «Sant Jordi» (Saint-Georges), le patron de la Catalogne, les hommes ont l’habitude d’offrir des roses aux femmes et reçoivent un livre en retour. Le 23 avril 2002, Zinédine Zidane n’avait que des épines à tendre aux fans du Barça. Ce soir-là le Real Madrid des Galactiques débarque dans l’antre de son rival le moral gonflé à bloc. Il vient d’étriller Tenerife à Bernabeu (4-1) et reste dans la course au titre, à un point du leader et futur champion Valence, tandis que le Barça se traîne à la 5e place et revient d’un déplacement perdu à Vigo (1-2). Avant l’un de ces rares Clasicos «européens» (les deux équipes se ne se sont retrouvées que 4 fois sur la scène continentale sur 231 Clasicos joués), les Madrilènes sont d’autant plus sûrs d’eux qu’ils viennent d’éliminer le Bayern Munich, tenant du titre, en quarts de finale (1-2, 2-0).
Dans le dur les Barcelonais mettent la pression d’entrée sur leur ennemi, Clasico oblige. Au milieu, Cocu et un jeune Brésilien de 19 ans, Thiago Motta, musellent bien Zidane. Mais Kluivert et Luis Enrique se heurtent à César. Dominé, le Real Madrid laisse passer la petite tempête et frappe après la pause. A la 55e minute, «El Mago» Zidane ouvre le score d’une «vaselina», un ballon subtilement lobé, que Bonano, sorti à sa rencontre, ne peut qu’effleurer des doigts. Le Français, qui retrouve toute son influence à mesure que le match progresse, plonge les 98.000 spectateurs du Camp Nou dans le silence. Dans les arrêts de jeu, Steve McManaman double la mise pour le Real (2-0). Le Real ne tremblera pas au retour à Bernabeu (1-1). Quinze jours plus, le Français offrira leur 9e «Coupe aux grandes oreilles» aux Merengue d’une somptueuse volée du gauche à Hampden Park face au Bayer Leverkusen (2-1). Un but pour l’éternité.
«À l'époque, nous avions Luis Figo, Roberto Carlos, Raul... Peut-être que nous avions dans l'effectif quatre ou cinq des meilleurs joueurs du monde. Et Zidane était celui qui sortait le plus du lot. Nous avions la chance de l'avoir avec nous et cela pesait sur ces matches-là», souligne Francisco Pavon, titulaire ce soir de victoire madrilène en C1 et témoin privilégié des «années Zizou» au Real. Au final, en six visites au Camp Nou, Zinédine Zidane n’aura perdu qu’une seule fois 0-3 en novembre 2004, pour deux nuls (1-1 en mars 2002, match dans lequel il ouvrira le score, et 1-1 en mars 2006) et deux victoires (2-1 en décembre 2003 et celle en Ligue des champions).
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Immuable, le rituel sévit tous les 23 avril en Catalogne. Pour fêter la «Sant Jordi» (Saint-Georges), le patron de la Catalogne, les hommes ont l’habitude d’offrir des roses aux femmes et reçoivent un livre en retour. Le 23 avril 2002, Zinédine Zidane n’avait que des épines à tendre aux fans du Barça. Ce soir-là le Real Madrid des Galactiques débarque dans l’antre de son rival le moral gonflé à bloc. Il vient d’étriller Tenerife à Bernabeu (4-1) et reste dans la course au titre, à un point du leader et futur champion Valence, tandis que le Barça se traîne à la 5e place et revient d’un déplacement perdu à Vigo (1-2). Avant l’un de ces rares Clasicos «européens» (les deux équipes se ne se sont retrouvées que 4 fois sur la scène continentale sur 231 Clasicos joués), les Madrilènes sont d’autant plus sûrs d’eux qu’ils viennent d’éliminer le Bayern Munich, tenant du titre, en quarts de finale (1-2, 2-0).
Dans le dur les Barcelonais mettent la pression d’entrée sur leur ennemi, Clasico oblige. Au milieu, Cocu et un jeune Brésilien de 19 ans, Thiago Motta, musellent bien Zidane. Mais Kluivert et Luis Enrique se heurtent à César. Dominé, le Real Madrid laisse passer la petite tempête et frappe après la pause. A la 55e minute, «El Mago» Zidane ouvre le score d’une «vaselina», un ballon subtilement lobé, que Bonano, sorti à sa rencontre, ne peut qu’effleurer des doigts. Le Français, qui retrouve toute son influence à mesure que le match progresse, plonge les 98.000 spectateurs du Camp Nou dans le silence. Dans les arrêts de jeu, Steve McManaman double la mise pour le Real (2-0). Le Real ne tremblera pas au retour à Bernabeu (1-1). Quinze jours plus, le Français offrira leur 9e «Coupe aux grandes oreilles» aux Merengue d’une somptueuse volée du gauche à Hampden Park face au Bayer Leverkusen (2-1). Un but pour l’éternité.
«À l'époque, nous avions Luis Figo, Roberto Carlos, Raul... Peut-être que nous avions dans l'effectif quatre ou cinq des meilleurs joueurs du monde. Et Zidane était celui qui sortait le plus du lot. Nous avions la chance de l'avoir avec nous et cela pesait sur ces matches-là», souligne Francisco Pavon, titulaire ce soir de victoire madrilène en C1 et témoin privilégié des «années Zizou» au Real. Au final, en six visites au Camp Nou, Zinédine Zidane n’aura perdu qu’une seule fois 0-3 en novembre 2004, pour deux nuls (1-1 en mars 2002, match dans lequel il ouvrira le score, et 1-1 en mars 2006) et deux victoires (2-1 en décembre 2003 et celle en Ligue des champions).
what is the pass word, with thanks?
ReplyDeletetwb22 pass always the same
ReplyDeleteno pass
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