21 February 2012
Stadio San Paolo Napoli
Si les joueurs du Napoli usent d'astuces, plus ou moins grossières, pour dédramatiser l'enjeu de ce huitième de finale contre Chelsea, les chiffres, eux, se montrent implacables. Et tendent à croire que les Partenopei ont clairement érigé comme priorité la Ligue des champions plutôt que la course au Scudetto.
D'ailleurs, Walter Mazzarri, le bouillant coach napolitain, ne s'en est jamais caché, affirmant dès le mois d'octobre que la gestion de son effectif était dépendante des résultats en C1. Ce changement de cap, turn-over compris, explique notamment la septième place actuelle du club azzurro en Serie A et tous ces points perdus face aux "petites" équipes du championnat. Car, dès qu'il s'agit de gros rendez-vous, Naples et son équipe-type répondent présents. Tous les cadors du Calcio (Juventus, AC Milan, Inter, Udinese) sont en effet passés à la moulinette, jamais aussi incisive qu'à l'approche des matches européens. Le trio magique Cavani-Lavezzi-Hamsik laisse alors ses problèmes d'égos au vestiaire (rumeurs de transfert, car-jacking) pour faire parler son talent. Comme à Florence, le week-end dernier (victoire 3 à 0), où les attaquants sud-américains ont inscrit les trois buts de leur équipe, servis à chaque fois par un meneur slovaque enfin concerné. Déjà buteur lundi dernier contre le Chievo (2-0), El Matador a retrouvé son habit de lumière au bon moment, inscrivant ses quatorzième et quinzième buts en Serie A. Lui qui avait accusé un sérieux coup de mou durant l'automne -le contrecoup d'une Copa America destructrice pour son genou et son moral- est redevenu l'arme fatale azzurra.
Celle qui, au prix de ses vingt-six estocades, avait permis au Napoli de retrouver l'arène continentale. Une histoire que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Aujourd'hui, tous les gamins de la ville se plaisent à imaginer Cavani et consorts dépasser les traces laissées par la bande à Diego Maradona, qui n'est jamais allée au-delà des huitièmes en Ligue des champions. "C'est très important d'avoir égalé le même résultat que le Napoli de Maradona", avait soufflé le président De Laurentiis après la qualification de son club. "Nous y sommes, malgré un groupe compliqué et difficile qui a fait grandir l'équipe." Pas une raison suffisante pour s'arrêter en si bon chemin ? Car, malgré son expérience européenne, Chelsea est loin d'être irrésistible, perturbé par la fronde des supporters et d'une partie du groupe envers le technicien André Villas Boas. Et Naples, qui est sorti d'un groupe comprenant le Bayern Munich, Manchester City et Villarreal, parait suffisamment armé avec son culotté 3-4-2-1 pour enfoncer les Blues. "Je ne suis pas d'accord avec ceux qui disent que nous sommes favoris, répond Mazzarri, qui sera suspendu pour cette double confrontation, après avoir bousculé Giuseppe Rossi le 7 décembre dernier. Chelsea va reporter toutes ses motivations sur la Ligue des champions. Ils ont des joueurs habitués à ce genre de matches. Cela va être un match terrible, et nous devrons accomplir quelque chose d'exceptionnel." Mais, il n'y a dans la vie du Napoli que de l'exceptionnel.
Stadio San Paolo Napoli
Si les joueurs du Napoli usent d'astuces, plus ou moins grossières, pour dédramatiser l'enjeu de ce huitième de finale contre Chelsea, les chiffres, eux, se montrent implacables. Et tendent à croire que les Partenopei ont clairement érigé comme priorité la Ligue des champions plutôt que la course au Scudetto.
D'ailleurs, Walter Mazzarri, le bouillant coach napolitain, ne s'en est jamais caché, affirmant dès le mois d'octobre que la gestion de son effectif était dépendante des résultats en C1. Ce changement de cap, turn-over compris, explique notamment la septième place actuelle du club azzurro en Serie A et tous ces points perdus face aux "petites" équipes du championnat. Car, dès qu'il s'agit de gros rendez-vous, Naples et son équipe-type répondent présents. Tous les cadors du Calcio (Juventus, AC Milan, Inter, Udinese) sont en effet passés à la moulinette, jamais aussi incisive qu'à l'approche des matches européens. Le trio magique Cavani-Lavezzi-Hamsik laisse alors ses problèmes d'égos au vestiaire (rumeurs de transfert, car-jacking) pour faire parler son talent. Comme à Florence, le week-end dernier (victoire 3 à 0), où les attaquants sud-américains ont inscrit les trois buts de leur équipe, servis à chaque fois par un meneur slovaque enfin concerné. Déjà buteur lundi dernier contre le Chievo (2-0), El Matador a retrouvé son habit de lumière au bon moment, inscrivant ses quatorzième et quinzième buts en Serie A. Lui qui avait accusé un sérieux coup de mou durant l'automne -le contrecoup d'une Copa America destructrice pour son genou et son moral- est redevenu l'arme fatale azzurra.
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August 2006 back in Serie A
Caps
Grand, grand merci !
ReplyDeleteJuaninho
404 not found????????? what's the problem???
ReplyDeleteIT WORKS
ReplyDeleteno,please, doesn't works... 404 not found... with all items!!!!! any ideas????
ReplyDelete:|
I WORKS IT WORKS I WORKS IT WORKS I WORKS IT WORKS
ReplyDeleteI HAVE NO TIME FOR ALL THESE KIND OF MESSAGES.
BE PATIENT.