Maradona: The Fall diretto da Angus Macqueen vincitore di un Emmy Award che offre un approfondito sguardo “dietro le quinte” su uno degli episodi più controversi della storia del calcio: Diego Maradona, la più grande stella del calcio mondiale, e la sua espulsione dalla Coppa del Mondo FIFA di USA ‘94 dopo essere risultato positivo a un test antidoping nel post-partita.
interviste esclusive e approfondimenti con i personaggi più importanti coinvolti in quell’evento storico: dall’ex segretario generale della FIFA Sepp Blatter, ai compagni di squadra di Maradona, Gabriel Batistuta e Claudio Caniggia, passando per la dirigenza e lo staff medico. Il documentario racconta le fasi di precedenti e quelle successive di uno dei momenti più celebri e sconvolgenti della storia dello sport, tanto che, tuttora, le persone più vicine a Maradona sostengono sia stato vittima di un complotto. Angus Macqueen, il regista, commenta: “L’immagine di Diego Maradona che corre come un matto verso la telecamera durante la Coppa del Mondo USA ‘94 è emblematica: un genio imperfetto, un uomo che dice di essere tornato al top della forma ma che sembra totalmente fuori controllo, devastato dai demoni e in preda alle droghe. Una leggenda sull’orlo del declino. Maradona: The Fall sfida la narrazione consolidata: come sempre, quando si tratta di Maradona, quello che si vede non è sempre il quadro completo”. Grant Best, il produttore, dichiara: “Maradona: The Fall narra del percorso che ha portato Diego Armando Maradona ai Mondiali del ’94, giocando per la sua amata Argentina. La FIFA e Stati Uniti d’America non vedevano l’ora che il più grande calciatore della sua generazione si esibisse durante la competizione
Au
pays du football, on ne naît pas roi. On le devient. Sur les travers
d'une vie tumultueuse alors mêrne qu'il avait atteint le faîte de la
gloire, Diego Armando Maradona a perdu les honneurs d'une couronne qu'il
tressait à la manière d'un Pelé. Haï par certains, adulé par d'autres,
Maradona est-il ange ou démon ? Les deux, mon capitaine ! Et s'il
fallait résumer l'existence facétieuse de ce personnage attachant et
déroutant en un match, sans doute ferait-on référence au fameux quart de
finale de la Coupe du monde 1986. Stade Aztec de Mexico, l'Argentine,
dont Maradona porte le brassard de capitaine, défie l'Angleterre. Quatre
ans auparavant, les deux nations s'affrontaient encore sur un autre
terrain. Il s'agissait de régler le sort des îles Malouines, l'arme au
poing. À l'entame de la seconde mi-temps, dans les airs, "Dieguito"
prend le meilleur sur Peter Shilton, le gardien anglais. Mais en fait
d'un but de la tête, c'est de la main que Maradona ouvre la marque. Tout
le stade note la supercherie sauf l'arbitre. Les Anglais, encore
abasourdis, assistent impuissants au raid solitaire du numéro 10
argentin, lancé balle au pied de sa propre moitié de terrain. Il slalome
six Anglais médusés avant dé| parachever son œuvre. Le but le plus
spectaculaire du tournoi vient d'être inscrit. À la sortie des
vestiaires, Maradona, en mystificateur, fait passer sa main pour celle
de dieu. Après Diego la triche, les spectateurs du monde entier
s'émerveillent devant Maradona l'étoile. "El Pibe de Oro" pavoise mais
seul son pied gauche est divin !
Diego
Armando Maradona a vu le jour le 30 octobre 1960 à Lanus. Il est le
cinquième enfant de Diego Maradona et Dalma Salvadora.Franco plus connue
sous le nom de Dona Tota. La famille, qui comptera jusqu'à huit
héritiers, survit à Villa Fiorito, l'un des innombrables bidonvilles
jouxtant Buenos Aires. Le jour de son troisième anniversaire, Diego
Maradona fils reçoit de son oncle le plus beau des cadeaux : un ballon.
Si l'on se fie à la légende, "Dieguito" ne veut pas lâcher le cuir. Au
point de dormir avec... Rapidement, "Pelusa" - son surnom à l'époque -
se joue des sinueux terrains vagues de Villa Fiorito. Sa conduite de
balle est unique, ses dribbles racés, son toucher précis. Ses camarades
de jeu ne sont pas jaloux. Goyo Carrizo fait partie des équipes de
jeunes d'Argentinos Juniors. Un jour de décembre 1970, il embarque son
ami Diego avec lui. Francisco Cornejo, l'éducateur n'en est jamais
revenu. Avec Maradona, les "Cebollitas" - les "petits oignons", surnom
des équipes de jeunes d'Argentinos Juniors - font pleurer tous leurs
adversaires : 136 matches, aucune défaite, qui dit mieux ? Alertée par
le phénomène, une équipe de la télévision argentine pose ses caméras à
Villa Fiorito. Entre deux séries de jonglages, le jeune prodige déclare
avec aplomb qu'il souhaite disputer la Coupe du monde et la gagner. Le
20 octobre 1976, Diego Armando Maradona fait ses premiers pas en
Première Division contre Tallares de Cordoba. En une mi-temps passée sur
le terrain, le surdoué éprouve la grâce d'un cadeau divin, dix jours
avant ses seize ans. "C'est la seule fois dans toute ma carrière où j'ai
eu l'impression de toucher le ciel de la main", se remémorera plus tard
l'artiste. Argentines a perdu mais Maradona, lui, a déjà conquis
l'estime de l'opinion. El Crafico, sans doute impressionné par le petit
pont tenté et réussi dès le premier ballon, a décerné au jeune joueur un
très laudateur 7 sur 10. Le 14 novembre, Lucangioli, le gardien de San
Lorenzo, est le premier d'une longue liste, à subir les diableries de
Maradona. César Luis Menotti, le sélectionneur national, tombe sous le
charme et le culot du prodigieux gaucher. En février 1977,
il fait appel à Diego contre la Hongrie. Les "Gauchos" s'imposent
largement (5-1). Qualifiés d'office pour le Mondial qu'ils organisent
en juin 1978, les Argentins sont portés par tout un peuple qui rêve
d'une consécration mondiale. Menotti a la pression. Il préfère miser sur
l'expérience. Au dernier moment, il écarte Maradona au
profit de Beto Alonso. Maradona regagne sa chambre en pleurs. Le rêve
de l'adolescent n'est pas brisé. Il est simplement reporté à plus tard.
Depuis
plusieurs saisons, Argentines Juniors bataille pour ne pas sombrer dans
les oubliettes du football argentin. La sélection argentine est sur le
toit du monde mais Menotti, du haut de son trône, n'a pas oublié le
petit Diego. Le 2 juin 1979, Maradona ouvre son tableau de chasse avec
l'équipe nationale lors d'une rencontre amicale disputée à Glasgow face à
l'Ecosse. Le sélectionneur responsabilise Maradona et le désigne
capitaine de la sélection appelée à disputer le Mondial juniors au
Japon, en août. Auteur de 6 buts en 5 matches, il triomphe avec
l'Argentine. "C'est incontestablement la meilleure équipe dont j'ai fait
partie", estimera-t-il au terme de sa longue carrière. Le pouls
d'Argentinos Juniors bat au rythme des coups de génie du natif de Villa
Fiorito. S'il inscrit 43 buts en 45 rencontres lors du championnat 1980,
Diego Maradona comprend aussi qu'il est désormais à l'étroit dans son
club formateur. Maradona
est devenu le joueur le plus populaire pays. Il rejoint donc le club le
plus aimé du pays. Avec Boca Juniors, il remporte son premier titre
national et conserve ses couronnes de meilleur joueur d'Amérique du Sud
et de meilleur joueur du championnat national. L'Europe est à ses Les
supporters de Boca se mobilisent pour son départ. En juin 1982, ils se
rendent pourtant a l'évidence... économique. Maradona prend la Direction
de l'Espagne et du FC Barcelone. Au passage, Boca encaisse la coquette
somme de 45 MF.
La
presentation au public catalan est cocasse. Maradona et l'Argentine
ouvrent en effet le Mondial 1982 au Nou Camp face à la Belgique. Les
curieux n'ont de regards que pour le meneur Argentin. La fête
s'annonçait grandiose, elle tourne au vinaigre. Les champions du monde
en titre sont battus puis vainqueurs de la Hongrie (4-1) et du Salvador
(2-0), les Argentins sont battus face à l'Italie et au Brésil au
deuxième tour. Face aux artistes brésiliens, Maradona cede a la
nervosité et quitte le terrain à cinq minutes de la fin et Coupe du
monde par la petite porte. Cette aventure préfigure en somme sa faillite
espagole. Car sous les couleurs de Barcelone, Maradona restera deux
saisons. À vingt-deux ans, il est annoncé comme le messie. Victime d'une
hépatite, "El Pibe de est coupé dans son élan après des debuts
prometteurs (13 matches, 6 buts). Le stratège argentin nest pourtant pas
si pressé de revenir, dit-on. Ses relations avec Udo Lattek sont
difficiles. De l'arrière droit à l'ailier gauche, l'entraîneur Allemand
du Barça apprécie les marathoniens, Maradona n'est pas un coureur de
fond. Lattek est remplacé par Menotti. Placé dans des meilleures
conditions, Maradona est prêt à exploser. Excepté qu'en septembre 1983,
il croise la route d'un certain Goicoetxea. D'un tacle à
l'emporte-pièce, le defenseur de l'Athletic Bilbao devient tristement
célèbre: jambe cassée et saison de Maradona terminée. Le convalescent ne
fait son retour qu'en fin de saison. Mais Nunez se lasse jeu de jambes
de night cluber. Maradona est vendu trois mois après les incidents de la
finale Coupe d'Espagne (contre... Bilbao !). Il est grand temps
d'abréger son séjour catalan. Nunez, qui a pris en grippe l'Argenttin
qu'il juge hautain et dédaigneux, négocie .
À
Naples, le début de l'été 1984 est rythmé par le feuilleton Maradona.
Viendra, viendra pas ? Les discussions sont serrées entre le président
du Barça et les négociateurs napolitains. Pour 75 MF, le transfert est
finalement conclu. Corrado Ferlaino jubile. Le patron du Napoli SSC a
réalisé le coup du siècle. Le 5 juillet, au stade San Paolo, les
Napolitains jouent des coudes pour assister aux présentations. Le nombre
des photographes et journalistes impose d'organiser deux entrées en
scène. Le club du Sud vient tout juste d'échapper à la relégation. En
maestro d'un orchestre aux allures de kermesse, Maradona parvient tout
de même à porter le Napoli au huitième rang en 1985. Auteur de 14 buts,
il gagne définitivement le cœur des Napolitains après l'installation en
Italie de sa famille au grand complet. Soit une cinquantaine de
personnes... "El Pibe de Oro" incarne la réussite dont toutes les marnas
rêvent pour leur fils. Rien n'est trop beau pour lui. Pas même la Villa
Paradiso, somptueuse demeure en surplomb de la ville. Quand Giordano et
Garella s'engagent, Maradona sourit : "Le peuple a l'équipe qu'il
mérite. Je crois que l'on va bien s'amuser", prédit-il.
Maradona
voit juste. Naples poursuit son implacable ascension. Troisièmes du
Calcio, les Sudistes menacent sérieusement la suprématie des clubs du
Nord. Le Napoli renverse même la Juve de Platini grâce à une merveille
de coup franc de l'Argentin. Cela n'était plus arrivé depuis des
lustres. Toute une ville s'identifie à la réussite de celui qu'elle
considère comme son fils. Elle lui pardonne même un tir au but raté au
Stadium de Toulouse et cette élimination prématurée de la Coupe de
l'UEFA qui s'ensuit. L'Italie, vaincue en huitième de finale de la Coupe
du monde 1986, Naples reporte sa fierté et ses espoirs sur
l'Argentine de Maradona. Au premier tour pourtant, Diego donne la
réplique à Altobelli et joue un vilain tour à la Squadra Azzurra. Un
doublé, controversé, en quart de finale face à l'Angleterre, un autre en
demi qui terrasse la Belgique, voilà l'Argentine portée en finale
par son capitaine. Du Mexique, Maradona rayonne sur le monde. Si
Burruchaga, son précieux adjudant, qui profite d'un parfait service du
maître, marque le but décisif de la finale face à l'Allemagne (3-2),
personne ne s'y trompe. Maradona, haut de son mètre soixante-cinq, est
le plus grand de tous.
La
technique est de plus en plus asservie à la puissance athlétique, et
pourtant Maradona parade. On interroge ses entraîneurs sur le sujet de
cette déconcertante facilité face aux géants qui poussent un peu partout
sur son chemin. "Diego possède un corps incroyablement compact et deux
cuisses énormes pour sa taille. C'est un athlète de jaillissement, très
rapide dans ses démarrages et ses courses", explique le préparateur
physique de la sélection. L'explication de Menotti, qui l'a vu débuter,
vaut également le détour : "Diego est un génie, dit-il. Il fait avec les
pieds ce que d'autres ne pourraient même pas faire avec les mains."
Vainqueur de la Coupe du monde, Maradona assouvit son rêve d'enfance.
Reste à réaliser ceux du peuple napolitain. Fondé en 1926, la vitrine
des trophées du SSC Naples ne renferme que deux Coupes nationales.
L'heure du Scudetto a sonné. Diego et ses camarades de jeu Bagni,
Carnevale, Garella et Giordano font la course en tête pratiquement
toute la saison. La folie s'empare de Naples le 10 mai 1987, jour du
sacre. Dauphins du Milan AC puis de l'inter Milan, les Napolitains, avec
un Maradona toujours virtuose, conquiè-rent de surcroît la Coupe de
l'UEFA en mai 1989 aux dépens de Stuttgart puis un nouveau titre
national en 1990.
Maradona
a trente ans. Il attend le Mondial italien pour fermer le bal d'une
décennie fantastique. Mais les "gauchos" flamboyants ont vieilli depuis
leur succès en 1986. Maradona n'échappe pas à la règle. Sous l'éteignoir
des défenses adverses, le Napolitain ne parvient plus à transcender le
jeu des Ciel et Blanc ni à sortir la compétition de son mortel ennui.
Caniggia sauve les apparences. L'Argentine, après un repêchage au titre
du meilleur troisième, élimine le Brésil en huitième (1-0), la
Yougoslavie en quart (0-0, 3-2 t.a.b.) et l'Italie en demi-finale (1-1,
4-3, t.a.b.). En finale, les Argentins retrouvent les Allemands. Ces
derniers tiennent leur revanche grâce à un penalty, néanmoins
discutable, transformé à cinq minutes de la fin par Brehme. Maradona,
qui avait blousé quatre ans plus tôt, ne supporte pas l'injustice.
L'image de son visage en larmes est saisissante. Retour de bâtons du
destin... le temps des adieux est-il venu ? C'est mal connaître sa
passion dévorante pour le jeu qui est sa raison d'être. Sa déraison
aussi car une destructrice descente aux enfers commence pour lui. Le 17
mars 1991, Maradona, convaincu de dopage, est suspendu 15 mois. Les
supporters napolitains enragent et n'attendent que son retour. Maradona,
brouillé avec ses dirigeants, refuse d'enfiler la tunique bleu ciel. Il
est transféré à Séville en octobre 1992 où il ne reste qu'une saison.
Ce n'est déjà plus qu'un fantôme.
Il rentre au pays un an plus tard, motivé par la Coupe du monde 1994. Ses supporters les plus fervents passent de déception en déception. Car à chaque lueur de salut s'ensuit irrémédiablement la série noire. Maradona débute pourtant le Mondial en fanfare d'une frappe de rêve face à la Grèce. Diego laisse paraître sur son visage la joie mêlée de rage d'un diabolique revenant. Mais le retour tourne court. Maradona, à nouveau contrôlé positif - à l'éphédrine - est exclu de la fête deux matches plus tard. Il tâche de se racheter une conduite en tant qu'entraîneur de Corrientes mais renonce au bout de deux mois. Durant quatre mois, sa reconversion en technicien ne fait encore que balbutier à la tête du Racing. Le terrain lui manque trop. Diego tente un retour avec Boca Juniors mais il doit se rendre à l'évidence du temps perdu et raccrocher les crampons le jour de son trente-septième anniversaire. Dans les coulisses de la sélection, son nom est encore murmuré avant la Coupe du monde 1998. Mais Maradona ne reviendra pas. "El Pibe de Oro" est usé par la cocaïne. À Cuba, il poursuit le combat de sa vie. Décrocher d'un enfer quotidien : la drogue. Dans la tribune de presse du Parc des Princes, lors de la Coupe du monde 1998, on questionne un journaliste argentin très influent sur le cas Maradona. Celui-ci s'intéresse à la carrière du légendaire gaucher depuis presque un quart de siècle. Compilés ses souvenirs, notre confrère, désabusé, se permet un raccourci des plus cyniques. "Petit, Maradona a échappé à une mort atroce. Tombé dans une fosse sceptique, il ne dut son salut qu'à l'intervention de l'oncle d'un de ses amis. À vrai dire, nous avons l'impression, nous autres commentateurs argentins, que Maradona se plaisait dans sa fosse sceptique. Il avait tout pour réussir. À presque quarante ans, Diego est à nouveau plongé dans une sacrée merde..."
Il rentre au pays un an plus tard, motivé par la Coupe du monde 1994. Ses supporters les plus fervents passent de déception en déception. Car à chaque lueur de salut s'ensuit irrémédiablement la série noire. Maradona débute pourtant le Mondial en fanfare d'une frappe de rêve face à la Grèce. Diego laisse paraître sur son visage la joie mêlée de rage d'un diabolique revenant. Mais le retour tourne court. Maradona, à nouveau contrôlé positif - à l'éphédrine - est exclu de la fête deux matches plus tard. Il tâche de se racheter une conduite en tant qu'entraîneur de Corrientes mais renonce au bout de deux mois. Durant quatre mois, sa reconversion en technicien ne fait encore que balbutier à la tête du Racing. Le terrain lui manque trop. Diego tente un retour avec Boca Juniors mais il doit se rendre à l'évidence du temps perdu et raccrocher les crampons le jour de son trente-septième anniversaire. Dans les coulisses de la sélection, son nom est encore murmuré avant la Coupe du monde 1998. Mais Maradona ne reviendra pas. "El Pibe de Oro" est usé par la cocaïne. À Cuba, il poursuit le combat de sa vie. Décrocher d'un enfer quotidien : la drogue. Dans la tribune de presse du Parc des Princes, lors de la Coupe du monde 1998, on questionne un journaliste argentin très influent sur le cas Maradona. Celui-ci s'intéresse à la carrière du légendaire gaucher depuis presque un quart de siècle. Compilés ses souvenirs, notre confrère, désabusé, se permet un raccourci des plus cyniques. "Petit, Maradona a échappé à une mort atroce. Tombé dans une fosse sceptique, il ne dut son salut qu'à l'intervention de l'oncle d'un de ses amis. À vrai dire, nous avons l'impression, nous autres commentateurs argentins, que Maradona se plaisait dans sa fosse sceptique. Il avait tout pour réussir. À presque quarante ans, Diego est à nouveau plongé dans une sacrée merde..."
Great!
ReplyDeleteEstoy loco por Diego. Gracias.
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