Friday, April 9, 2021

Premier League 2015 2016

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Les Foxes de Claudio Ranieri ont créé la sensation en chipant le titre sous le nez des gros bras de Premier League. Fort, très fort. La où on attend si peu de surprises. Par méconnaissance, sans doute, par culture de clichés à la vie éternelle, peut-être. L'Angleterre, après tout, c’est assez simple : les racines du foot, le ballon qui va  d’un but à l’autre, des joueurs qui, d’est en ouest, du sud au nord, ne marcheront jamais seuls, des figures de légende, du rock et de la bière mélangés, bref, une mythologie particulière à laquelle il est de bon ton d’adhérer parce que c’est cool et qu’on n’a pas ça chez nous. Autre certitude, plus statistique, fixée dans nos imaginaires à la visseuse industrielle: en dehors du « BigFour» Chelsea, Manchester United, Arsenal, Liverpool, aucune chance de régner sur la Premier League.  Et voilà que Leicester City s’incruste. « Invraisemblable », selon la formule de son attaquant, Jamie Vardy. À l’échelle de l’Angleterre, ça l’est. Leicester, ville des Midlands, en plein cœur du pays, dont le club se battait en avril 2015 à une place de relégable... Leicester, une fois vice-champion, en... 1929, dont la figure emblématique, native de la cité, a toujours été Gary Lineker (216 matchs entre 1928-1985], Leicester, dont le gardien champion du monde en 1966, Gordon Banks, porta les couleurs [1959-1962], tout comme un autre portier international anglais, Peter Shilton [1965-1924], 

 

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Mais Leicester, trois fois seulement convié à une campagne européenne [1962, 1998, 2001], Leicester et ses treize entraîneurs différents depuis 2000. Leicester et son 12e budget de Premier League : 135 millions d’euros, ce qui le placerait, en France, tout de même en 4e position, derrière Lyon et juste devant Marseille. Car Leicester est une belle histoire, mais ce n’est pas l’anti¬ histoire du foot business. L'exploit sportif, réalisé aux dépens de mastodontes qui comptent parmi les clubs les plus riches du monde, est bien réel, mais les Foxes, les Renards, vivent dans le même poulailler que les autres. Leur propriétaire est un milliardaire thaïlandais, Vichai Srivaddhanaprabha, qui a racheté le club en perdition, en 2010, pour 40 millions d’euros. Il doit sa fortune à une chaîne de magasins de produits détaxés possédant le monopole dans son pays. Le stade de Leicester, King Power Stadium, porte d’ailleurs le nom de sa compagnie, et son fils est le vice- président exécutif du LCFC. 

 

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Il reste que « Leicester n’est pas une équipe construite pour gagner le championnat d’Angleterre », note son entraîneur, Claudio Ranieri. L’ancien entraîneur de Monaco a débarqué à Leicester en juillet 2015. Il venait d’être remercié par la Fédération grecque, la sélection étant au plus mal en éliminatoires de l’Euro 2016. Il n’avait pas vraiment la cote, traînant une réputation d’entraîneur qui ne gagne jamais rien et devant faire face à l’annonce du départ de la star de l’équipe, Évidemment, lors des premières journées, personne ne s'est méfié. Chelsea patinait, Manchester United aussi, mais ça n’était qu’un rodage difficile. Lorsque Leicester s’ancra à la 2e place du championnat, le 13 septembre, à la faveur d’un succès in extremis sur Aston Villa [3-2], Ranieri ne manqua d'ailleurs pas de calmer les fantasmes: « L’objectif, c’est juste de se maintenir. On n’est ni en mars ni en avril, mais en septembre. Au printemps, on pourra rêver, mais certainement pas maintenant. »  Malgré tout, Leicester ne faiblit pas. Fin novembre, Manchester United vient chercher le match nul au King Power Stadium, mais l’événement du jour est au crédit de Jamie Vardy, qui marque lors de son 11e match d’affilée [13 buts], battant le record établi par le Néerlandais Ruud Van Nistelrooy. Le collectif des Foxes commence à impressionner. « Quand on était entrain de célébrer son but, vers le poteau de corner, il y avait une telle électricité dans l’air entre nous, j’en ai encore la chair de poule », racontera le défenseur Christian Fuchs à The Observer. En février, Leicester frappe définitivement les esprits en s’imposant [3-1] à Manchester City. 

 

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« Quand on était en train de célébrer son but, vers le poteau de corner, il y avait une telle électricité dans l’air entre nous, j’en ai encore la chair de poule. « Pfff... C’était incroyable, vraiment beau ! » s’enthousiasme Ranieri. « Marquertrois fois là-bas, ce n’est pas simple et c’est là qu'on a commencé à se dire qu’on pouvait réaliser quelque chose de grand », dira plus tard Riyad Mahrez au Guardian.  Dès lors, Leicester ne s’arrête plus tandis que, hormis Tottenham, ses concurrents s’empêtrent. « Les grands clubs n’ont pas donné 100 % pour une raison ou une autre », relève ainsi Ranieri dans France Football, en avril 2016. Entre la 29e et la 33e journée, son équipe aligne cinq succès d’affilée. Arsenal, qui pouvait profiter des déboires continus de Chelsea, de Manchester United et de l’irrégularité de Manchester City, par ailleurs préoccupé par la Ligue des champions, se ramasse en beauté. Les Foxes avancent. Seul Tottenham s’accroche, mais de loin, toujours à 6 ou ? longueurs alors que la fin de saison se profile. 

Finalement, Leicester obtient un nul sur la pelouse de Manchester United [1-1] et se retrouve sacré le lendemain, à la faveur du résultat entre Chelsea et Tottenham [2-2], À deux journées de la fin. « C’est la plus grande réussite dans l’histoire de ce grand club et on a le privilège d’en faire partie », synthétise Vardy. À peine une journée pour célébrer et, déjà, les questions : comment garder les joueurs révélés comme Mahrez, Vardy, Kanté ou même Schmeichel, le gardien fils de Peter, l’ancienne légende danoise de Manchester United ? Comment construire une équipe capable de 
« Leicester ne vendra pas ses joueurs. Nous cherchons à créer les bases d’une équipe. Tous les joueurs veulent rester. Ils sont heureux à Leicester.  Figurer correctement en Ligue des champions en 201? ? Immédiatement, l’actionnaire thaïlandais prend position et assure que l’effectif ne sera pas pillé. « Leicester ne vendra pas sesjoueurs, assène le vice-président. Nous cherchons à créer les bases d’une équipe. Tous les joueurs veulent rester. Ils sont heureux à Leices¬ ter. » L'ivresse des cimes, ça vous plonge le moindre milliardaire dans une euphorie optimiste... 






 

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