ENG 1H Cool stuff
Scotland.1978.WC.twb22.mp4
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Les Ecossais, au sein du Royaume-Uni, passent pour d’incorrigibles empoisonneurs. Braillards, vantards, tête un peu fêlée, ils ont dans le football une expression qui ne plait pas toujours aux Anglais. Et les matches, entre les trois lions et le chardon, ne sont pas toujours dignes du salon de thé. Ainsi, quand le tirage au sort eut placé l’Ecosse au sein d’un groupe IV qui comprenait également la Hollande, le Pérou et l’Iran, et que les Ecossais eurent clamé qu’ils avaient de bonnes chances d’être champions du monde, les chapeaux melons s’agitèrent dans la City. «Tout, mais pas ça !» était à peu près le sentiment général.
Confiants, très confiants, les Ecossais s’installèrent dans leur quartier général et préparèrent, dit-on, au whisky, leur premier match contre le Pérou. Leur arrière central McQueen était blessé, mais ils n’en faisaient pas un drame. On allait voir ce qu’on allait voir. A la 15e minute de ce match historique, Joe Jordan l’édenté inscrit sans opposition le premier but écossais. Pendant un quart d’heure encore, le terrain appartient aux atlhètes de MacLeod. Puis Cubillas, qui voit clair, vient épauler ses avants. Il a vu, ce roublard, que certains Britanniques marchent sur leurs oreilles. A la 40e minute, Cueto égalise puis 3-1 pour le Pérou, et de la brume, là-bas, dans les chaumières des Lowlands. On va apprendre, un peu plus tard, une vilaine chose: Willie Johnston, l’ailier gauche, était dopé. En fait, l’Ecossais avait ingurgité deux tablettes d’un produit interdit, pour soigner un rhume, et sans en avertir le médecin de la délégation. « Willie s’est conduit comme un imbécile, dira un de ses amis. Mais l’idée de se doper ne lui viendrait jamais à l’idée. Il n’aime que le bourbon. » Cette affaire, et aussi une sombre histoire de primes la Fédération écossaise attache ses sterling avec un élastique firent que lambiance au sein de la sélection de MacLeod devint extrêmement pénible.
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