Friday, July 22, 2022

Ladies First: Euro 2022 Sweden Belgique


Quart  de Finale
21 juillet 2022 
Leigh Sports Village

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La Suède a arraché sa qualification pour les demi-finales de l’Euro féminin de football grâce à un but inscrit dans le temps additionnel contre la Belgique (1-0), ce vendredi à Leigh, près de Manchester. Dominatrices, les Suédoises ont longtemps buté sur la défense belge et son excellente gardienne Nicky Evrard (qui a effectué pas moins de sept sauvetages). Les Scandinaves ont également manqué de réalisme en tirant 34 fois au but pour seulement huit ballons cadrés. 


Qualifiées pour la première fois de leur histoire, et pour leur deuxième participation à l’Euro seulement, pour les quarts, les Belges ont douloureusement poursuivi leur apprentissage du très haut niveau avec cette défaite in extremis. Celles qui avaient été battues par les Françaises en poule (2-1), n’ont toutefois jamais vraiment inquiété leurs adversaires du soir (3 tirs, aucun cadré). Action confuse Les Suédoises, finalistes de la Coupe du monde 2003, ont finalement réussi à trouver l’ouverture par Linda Sembrant (90 + 2) au terme d’une action confuse dans la surface adverse. Sur un corner mal dégagé, le ballon est revenu à la défenseure centrale qui l’a catapulté au fond des filets. 


L’épilogue a beau être celui attendu dans ce quart de final le plus déséquilibré de tous, entre les Suédoises, N.2 mondiales au classement FIFA, derrière les Etats-Unis, et les 19e mondiales, le scénario est cruel pour les « Flammes Rouges » qui, avec leurs moyens, mais en mettant du panache, ont pu rêver pendant plus de 90 minutes à l’exploit. Prostrées au coup de sifflet final, quelques secondes plus tard, les Belges partent toutefois la tête haute après être sorties deuxièmes du groupe remporté par la France au nez et à la barbe des Islandaises et des Italiennes. En demie, les bleues et jaunes seront opposées à l’Angleterre, qui a battu l’Espagne (2-1) en quart, mardi prochain à Sheffield. Si elle ont montré au cours du tournoi qu’elles étaient capables de développer un beau jeu, leur manque de réalisme risque de leur coûter chez face aux Anglaises. Chez elles, les Lionesses ne voudront certainement pas laisser passer l’occasion de s’offrir une finale à Wembley le 31 juillet, et même un premier titre majeur au pays depuis le Mondial 1966 remporté par les hommes. 















Objectif quart de finale, check : objectif atteint. Mais " avec les succès, l’appétit grandit et on en veut davantage " ose Amber Tysiak, la sculpturale arrière de Louvain, peut-être attendue au coup d’envoi ce vendredi soir, après sa double jaune contre la France. " Pour moi, c’est du 50/50 contre la Suède... Evidemment on est réaliste, on sait bien que la Suède est une énorme équipe. Mais sur un seul match, tout peut arriver... On a montré contre la France que si on restait calmes au ballon et organisées en bloc, on ne devait avoir peur de personne. On va jouer sans pression car notre tournoi est déjà réussi… mais le stress est aussi positif. Sous pression, vous jouez toujours mieux ! " Davina Philtjens, la micro-back gauche, confirme. " On visait les quarts de finale… mais dans notre agenda caché, on veut maintenant passer au 2e objectif : on a les qualités pour aller en demi-finales ! Je ne suis pas vraiment surprise qu’on soit toujours là : je connaissais les qualités de l’équipe, il suffisait de faire ce qu’on devait faire… et nous y voilà ! Peut-être aussi que les Suédoises se disent : ‘ce n’est que la petite Belgique’… " 


Retrouvons l’experte. Du haut de son mètre quatre-vingt-six, Justine Vanhavermaet excipe, elle, d’une bonne connaissance du football scandinave : de 2019 à l’an dernier, elle a passé deux saisons… en Norvège, à Lilleström ! " Le foot nordique est très physique et les joueuses, malgré leur jeune âge, affichent une grosse expérience car elles y commencent très tôt le foot " explique la marathonienne du milieu belge. " Il y a des cas de Covid actuellement dans le noyau suédois, mais ça ne change pas grand-chose : vu la qualité de leur noyau, on ne verra pas la différence dans l’équipe alignée. On nous a en effet rapporté que la presse suédoise était très condescendante avec nous… et ça va nous servir de motivation. (clin d’œil) Mais cela ne vaut pas pour les joueuses suédoises : elles, elles se méfient de nous et saluent notre parcours… "


" Le poids de l’Histoire ? On ne le ressent pas sur nos épaules… " rétorque le coach Ives Serneels, quand on lui rappelle que pour les Red Flames, chaque match nourrit désormais la grande Histoire. " Cette équipe est animée d’un énorme mental et je suis fier de diriger un groupe pareil, toujours désireux de progresser : moi aussi, elles m’en apprennent des choses ! La Suède n’a pas le même jeu que la France, mais côté vitesse, puissance et talent, c’est comparable. Mais ce match est très spécial : en phase de poule on pouvait calculer, ici c’est de l’élimination directe… et ça change tout !

SPORTEN SWEDEN NEWS


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