8e journee
19 novembre 2022
FR
Women.D1.Arkema.2022.2023.Reims.Rodez.FR.twb22.mp4
3.45 GB https://1fichier.com/?kte7zrakg9fkve6yw0ff
https://filejoker.net/i1s1r4imvkrg
Le Stade de Reims n'a pas confirmé son succès fleuve à Soyaux (1-4). À la maison, les Rémoises n'ont pas réussi à trouver la clé face à leurs homologues ruthénoises, promues cette saison en D1 (0-0). Le deuxième match nul cette saison pour les joueuses d'Amandine Miquel, qui ont davantage poussé dans le deuxième acte pour forcer la décision face à une valeureuse équipe de Rodez. En vain.
Bonjour, je n'avais pas osé te le demander , avec les 3 semaines d' "enfer " que tu vas certainement avoir. C'est très gentil de ta part. Merci beaucoup Romulus92
ReplyDeletepourquoi pas....
ReplyDeleteReims ne méritait pas mieux ( L'UNION du 20/11/2022 )
ReplyDeleteEn panne d'inspiration et pas assez appliqué techniquement, le Stade n'a pas trouvé la faille face à une valeureuse formation de Rodez.
Les Rémoises étaient pourtant prévenues. Pour espérer confirmer le succès fleuve acquis à Soyaux (1-4), elles se devaient d'être au rendez-vous. Si le promu ruthénois a justifié sa réputation d'équipe accrocheuse, qui a amplement mérité de ne pas repartir de la Marne les bagages vides, le Stade de Reims a, lui, manqué son coup, concédant son deuxième match nul de la saison en D1. Et au vu des débats d'hier après-midi, un autre résultat n'aurait pas reflété la prestation stadiste.
On a affronté une équipe qui défend avec beaucoup de cœur, et on n'a pas su la mettre en danger Amandine Miquel, coach du Stade de Reims
Amandine Miquel, après la partie, a parlé d' « un match nul justifié » . Sonia Ouchene a embrayé dans la foulée, estimant qu'elles et ses coéquipières « ne méritaient pas mieux » que ce 0-0. C'est d'ailleurs une rareté pour le Stade de Reims de terminer une rencontre sur un tel score depuis sa remontée parmi l'élite. Il faut remonter au 4 septembre 2021 pour en retrouver une trace en championnat. C'était face à Guingamp, déjà à la maison. Le dernier en date ? C'était le 6 mars dernier, en quart de finale de la Coupe de France face à Nantes, avant une défaite aux penalties.
On n'ira pas jusqu'à comparer cette élimination avec la rencontre de ce samedi mais fatalisme et frustration étaient également présents dans le camp marnais à l'heure de débriefer une copie globalement terne. La première frappe cadrée, signée Melchie Dumornay, est intervenue à la 33 e minute. Ensuite ? Il aura fallu attendre la 70 e pour voir l'Haïtienne manquer le cadre alors qu'elle semblait avoir fait le plus dur.
Julie Pasquereau, dix minutes plus tard, a allumé une nouvelle mèche hors cible (80 e ). Deux opportunités comme deux symboles d'un Stade de Reims trop imprécis techniquement pour espérer autre chose. « On a eu ce que l'on attendait : une équipe qui défend bien, avec beaucoup de cœur et d'énergie, et on n'a pas réussi à la mettre en danger, constate Amandine Miquel. On savait ce que l'on devait faire mais on ne l'a pas fait assez souvent et pas suffisamment bien, ou suffisamment vite, ou suffisamment propre techniquement pour les mettre davantage en difficulté. » Les Rémoises auraient même pu concéder un penalty à la 89 e minute, lorsqu'un long coup franc d'Océane Saunier a terminé sa course sur la main droite de Magou Doucouré, en pleine surface de réparation.
« C'est frustrant, parce que l'on sait que l'on a des qualités pour battre des équipes comme ça, mais c'est toujours un point de pris », relativise Julie Pasquereau. Le verre est donc à moitié plein mais il ne pouvait de toute façon pas être davantage rempli.
tu as la critique severe :))
ReplyDelete