Saturday, January 15, 2022

Bundesliga 2 2021 2022 Dynamo Dresden Hamburger SV


14 Janvier 2022
Rudolf-Harbig-Stadion

GERM Full pass twb22
Bundes2.2021.2022.Dresden.Hamb.GERM.twb22.mp4
5.0 Go
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Le club le plus populaire d'Allemagne de l'Est a toujours trimé pour survivre, luttant hier contre les méthodes de la Stasi et l'exil de ses meilleurs joueurs, aujourd'hui contre une crise durable et les débordements de la frange la plus bourrine de ses supporters. Malgré tous ces éléments défavorables, le Dynamo Dresde reste une institution. Il est l'antithèse du RB Leipzig, projet monté de toutes pièces par la firme Red Bull dans l'autre grande ville du coin. Le SGD – pour « Sportgemeinschaft Dynamo »  semble pourtant durablement englué dans les bas fonds, loin du strass d'une Bundesliga inaccessible à des clubs est-allemands pillés au moment de la chute du mur et qui n'ont pas su adapter leurs structures au professionnalisme à l'occidentale. 


Après avoir disputé les quatre saisons inaugurales de la « Buli » post-réunification, le club de Saxe n'est plus jamais parvenu à y revenir, évoluant depuis vingt ans entre la D4 et la D2, au gré des résultats sportifs et des déboires financiers.  Des decenies après la chute du Mur Berlin, le fossé entre les footballs est-allemand et ouest-allemand n’est pas encore comblé. Malgré les difficultés et les aléas de son histoire récente, l’Allemagne est quand même parvenue à remporter la Coupe du monde 2014. Une prouesse quand on sait ce qui a précédé la construction de cette Mannschaft au début des années 90, un véritable tournant de l'Histoire allemande.


En mai 2018, 55 ans après la création de la Bundesliga, le Hamburger SV est relégué en D2 pour la première fois de son histoire. Un camouflet pour ce membre-fondateur du championnat allemand contemporain, mais un événement qui n’avait rien d'inattendu. e tous les clubs fondateurs de la Bundesliga, qui existe sous sa forme actuelle depuis 1963, Hambourg était en effet le seul à ne jamais avoir été relégué. Eh oui, même le surpuissant Borussia Dortmund a effectué un petit tour dans les divisions inférieures pendant la décennie 1970. Et si certains noms ont fini par quitter définitivement l’élite, à l’instar de Munich 1860, du FC Sarrebruck ou du SC Preussen Münster, le HSV a lutté, saison après saison, contre vent et marées pour garder sa place au sommet de la pyramide. De quoi lui assurer un surnom synonyme de sa longévité : le Dino. Sauf que personne n’est éternel, on le sait, même les dinosaures. Il fallait donc un jour que Hambourg finisse par se faire rattraper par son destin.


Si les Hambourgeois ont particulièrement kiffé les décennies 1980, faites d’épopées européennes et de titres à gogo, et 2000, pendant laquelle leur club compte parmi les cadors de Bundesliga, le tournant des années 2010 marque le début de la chute des Rothosen vers les bas-fonds du classement. Des cadres non remplacés, une direction hasardeuse et, surtout, un nombre incalculable de changements d’entraîneurs ont plus que jamais fait rimer HSV avec instabilité. La grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf s’est dégonflée comme une baudruche. Au terme de la saison 2013-2014, Hambourg se sauve d’une manière absolument catastrophique en barrages grâce à deux matchs nuls qui laissent Greuther Fürth en D2. Rebelote l’année suivante face à Karlsruhe, qui reste à quai à cause d’un but de Nicolai Müller au bout de la prolongation. Et si l’exercice 2015-2016 voit le HSV terminer à une timide dixième place, celui-ci recommence sa dégringolade dès le suivant.


Dynamo Dresden kann Remis nur gegen den Hamburger SV. Auch im Rückspiel gab es ein 1:1, erst das zweite in der gesamten Saison. Die Knipser beider Teams stachen dabei. Das Remis verdienten sich die Schwarz-Gelben vor allem mit einer beherzten ersten Halbzeit. Christoph Daferner: "Heute haben wir ein Unentschieden mitgenommen. Das war hart erarbeitet. Wir mussten brutal viel laufen. Wenn wir uns hinten reingestellt hätten, hätten wir keine Chance gehabt. Kompliment an die Jungs." Zwei Fakten vor dem Spiel: Neuzugang Vaclav Drchal stand gleich in der Startelf. Morris Schröter musste wegen eines Infektes kurzfristig passen. Dann ging es vor den erlaubten 1.000 Anhängern los und aus Dynamo-Sicht durchaus verheißungsvoll. In der vierten Minute landete der Ball vor den Füßen von Yannick Stark, der aus 16 Metern aber zu unplatziert abzog, HSV-Keeper Daniel Heuer Fernandes klärte mit den Fäusten. Die Gäste aus Hamburger hatten zunächst große Probleme mit dem aggressiven Anlaufen der Dresdner. Einzig in der Box fehlte es auch den Gastgebern an der Durchschlagskraft. Die vielen Standards verpufften, ein Versuch von Julius Kade in der 30. Minute wurde von Heuer Fernandes zur Ecke abgewehrt.


Dann schlugen die bis dahin offensiv blassen Gäste eiskalt zu. Nach einem geblockten Schuss von Ransford Königsdörffer ging es ganz schnell: Sonny Kittel trieb den Ball auf der linken Seite voran, seine Flanke landete vor den Füßen von Knipser Robert Glatzel, der aus zehn Metern mit einem Lupfer vollendete (37.). Dynamo Dresden nun verunsichert: Chris Löwe mit dem Bock in der 42. Minute, Kittel und Alidou im Nachschuss nutzten die dicke Chance zum Glück nicht.
Tim Walter (Hamburg): "Wenn ich versuche, mit 50 Prozent durchzukommen, damit kannst du in der zweiten Liga keine Spiele gewinnen. Wir hatten uns darauf eingestellt, dass sie uns pressen wollen. Das hat Dresden sehr gut gemacht. Wir haben uns schwergetan, sind dann besser ins Spiel gekommen. Insgesamt war es aber zu wenig Bereitschaft. Wir hatten in der zweiten Halbzeit genug Konterchancen, um das 2:0 zu machen. Ein Ausgleich kann bei einem 1:0 immer passieren, das haben wir heute erlebt."Alexander Schmidt (Dresden): "Das Unentschieden ist gerechtfertigt. Unsere Mannschaft hat es sich verdient. Kampf, Leidenschaft und Herz waren da. Das Tor hat den Spielverlauf auf den Kopf gestellt. Der Gegner hatte eine hohe Qualität. Alle waren angespannt, die Jungs haben es super gemacht. Unsere DNA kommt immer besser zum Tragen. Wir dürfen aber nicht nachlassen, das Ingolstadt-Spiel war uns eine Lehre. Das darf uns nicht nochmal passieren."

Dyn. Dresden: Broll - Akoto, Sollbauer, Ehlers, C. Löwe - Y. Stark - Königsdörffer (82. Mörschel), Kade (90.+2 Giorbelidze) - Daferner - Drchal (71. Batista Meier), Borrello (71. Will)
Hamburger SV: Heuer Fernandes - Heyer, Vuskovic, Schonlau, Gyamerah - Meffert - Reis, D. Kinsombi (68. Jatta) - Kittel - Glatzel (79. M. Kaufmann), Alidou (85. Wintzheimer)






 


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