Friday, September 3, 2021

Ajax Amsterdam 2001 2002 Season Review Zlatan First Year


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Lorsqu'il débarque aux Pays-Bas de son Malmö natal, Ibrahimović est déjà précédé d'une grosse réputation. En bien comme en mal, d'ailleurs. David Endt, dirigeant du club à l'époque, ouvre la boîte à souvenirs : « Avant qu'on le signe, un de nos recruteurs est parti lui rendre visite pendant que l'équipe de Suède était en stage de préparation en Espagne. Il est revenu et nous a dit : "Wow, il est phénoménal. Mais fou, aussi." Ça nous allait parce qu'on ne voulait pas un joueur parfait, mais un joueur hors norme. » De fait, suivi par de grosses écuries européennes à l'époque, le bonhomme voit sa cote boursière monter. Sauf que l'Ajax veut vraiment Ibra. Résultat : le club amstellodamois claque près de 9 millions pour accueillir la bête. « Un investissement, en quelque sorte. Une petite folie, aussi » , selon Endt. Un record de surcroît, battu depuis par les signatures de Huntelaar et Sulejmani au club. Pourtant, l'ancien dirigeant l'assure : « Un tel pari, c'est une chose qui ne peut plus arriver dans un club comme l'Ajax. Il y avait de grandes discussions sur le prix parce que ça semblait exagéré pour un joueur inconnu de 19 ans. Mais Co Adriaanse a dit : "Je le veux !" Et il l'a eu. »


Dès son arrivée à De Toekomst, le joueur suédois veut se faire un nom. Ou plutôt un prénom. Et à défaut de le laisser sur le Hall of Fame du club – il est encore trop tôt – il s'en prendra à sa vareuse. David Endt, toujours : « Il était comme un guerrier qui voulait combattre le monde entier. Quand on préparait les maillots pour la saison, on lui a donné le 19. Il s'en foutait du numéro. En revanche, il regarde le nom sur le maillot : Ibrahimović. Il dit : "Hey, c'est quoi ça ? Mon nom est Zlatan. ZLATAN ! Tu dois mettre Zlatan sur le maillot !" » Julien Escudé, son coéquipier durant près d'un an et demi au club, la joue plus rigolarde et y voit un geste de mansuétude. « Son nom, y a des lettres, hein ! Donc ça coûte cher en flocage, Ibrahimović. Il a pensé aux supporters : Zlatan, c'est plus court ! » Dommage pour les fans ajacides circa 2001-2002, Zlatan décide de porter à nouveau son nom de famille sur les épaules. « Pour sa deuxième saison, on lui floque son maillot Zlatan. Et lui : "Non non non, c'est Ibrahimović", s'amuse David Endt. Bon, d'abord tu veux Zlatan, ensuite tu veux Ibrahimović ? Pourquoi ? C'est quoi ce truc ? "J'ai parlé à mon père et mon père m'a dit que je devais honorer notre nom de famille. Donc ce sera Ibrahimović." »
















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