Mestalle Valencia
FR Pass twb22
C1.2012.2013.Val.Par.Aller.twb22_1.mp4
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Le PSG attendait ça depuis 1995 et une demi-finale perdue face à l'AC Milan. Alors Paris a croqué dans ce huitième de finale aller, son premier match à élimination directe en C1 depuis 18 ans, comme un mort de faim. Il en est ressorti rassasié. Dans un Mestalla sonné et aphone et sous les yeux d'un David Beckham ravi, Valence a été dévoré en 90 minutes (1-2) par un PSG aussi inspiré offensivement qu'intraitable défensivement. Bien sûr, les cinq dernières minutes laisseront un goût amer à Carlo Ancelotti. Sans la réduction du score d’Adil Rami et l’expulsion de Zlatan Ibrahimovic, la soirée aurait été idéale. Mais cette victoire reste une excellente opération et Paris a un pied et quelques orteils en quart de finale.
Le PSG s'est appuyé sur sa dynamique irrésistible en L1 pour boucler l'affaire en une mi-temps. Quarante-cinq minutes de haute facture où les hommes d'Ancelotti ont donné une leçon de cohérence et de discipline collective à des Espagnols sans solution. Il n'a fallu que dix minutes à Paris pour prendre la mesure de son hôte. D'abord par un tir sur le poteau de Lucas (9e) puis une minute plus tard par un exploit individuel de Lavezzi, bien aidé par un Guaita peu inspiré sur le coup (0-1, 10e). Avec cette ouverture du score précoce, l'Argentin a ouvert un boulevard à un PSG jamais aussi à l'aise que lorsque son adversaire joue haut et qu'il doit évoluer en contre.
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