2017
COUPE DU MONDE U17
ANGLETERRE NORVEGE
Groupe D
4 mai 2017
Stadion Radnik, Velika Gorica
HAALAND FODEN & SANCHO
Euro.U17.2017.Eng.Norway.04052017.twb22.mp4
2.7 Go
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pass money
England U17s won their opening game of the U17 European Championships, beating Norway U17s 3-1 in Croatia. The young Three Lions came from behind at the SRC Velika Gorika to take all three points in their first outing of the campaign, with their opponents going ahead in the seventh minute. A corner from Norway's Johan Hove saw a scramble in the box, with England captain Marc Guehi poking home into his own net from the six-yard box. But it didn't take Steve Cooper's youngsters long to get back on level terms as Jadon Sancho raced down the left flank, putting a fine cross into the box for Liverpool striker Rhian Brewster to tap home from close range. Brewster nabbed his second before the break as England surged forward on the counter-attack, with Callum Hudson-Odoi cutting the ball back to his striking team-mate in the 35th minute, who slotted into the net from ten yards. It was Manchester City playmaker Phil Foden who sealed the victory for England in the 78th minute, latching onto a loose ball and surge into the box before driving the ball past Norway goalkeeper Mads Christiansen.
2019
COUPE DU MONDE U20
URUGUAY NORVEGE
24 mai 2019
Stadion Widzewa Lodz
HAALAND
WC.U20.2019.Urug.Norw.mkv
2.0 Go
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Two sumptuous first-half goals helped Uruguay see off a spirited Norway challenge and win 3-1 in their engrossing opener at the FIFA U-20 World Cup Poland 2019.Luis Suarez memorably scored a golazo from just outside the box against Spain in Uruguay’s Canada 2007 opener, and their current spearhead repeated the feat in the 21st minute in Lodz. Ronald Araujo parted the Norwegian defence with a long ball for Darwin Nunez, who chested it into his path and unleashed a fizzing, dipping volley that left goalkeeper Julian Lund stationary.It was 2-0 just before the half-hour, the exhilarating Brian Rodriguez deceiving his marker on the right wing and feeding Francisco Ginella, who cannily snuck between two Norwegians and lifted the ball into the roof of the net from seven yards.The second period was, however, a different story. Tobias Borkeeiet, from 15 yards inside his own half, produced a superlative pass for Christian Borchgrevink to coolly stroke home, on the volley, from the edge of the penalty area.Norway dominated possession and went close a few times thereafter, but Rodriguez put the result beyond doubt with a late breakaway goal.
Le buzz créé autour du futur transfert de Haaland a pris de l’ampleur depuis le voyage en Espagne de son agent, Mino Raiola, et de son paternel, Alfnge Haaland. Le 1er avril, le duo avait rencontré dans la même journée les dirigeants du FC Barcelone et ceux du Real Madrid pour parler surtout pognon, comme le font les vendeurs de bestiaux sur la place de la République à Vesoul, un jour de foire de la Sainte -Catherine. L’attitude a interpellé, pour ne pas dire choqué. Certains, comme Didi Hamman. ont même évoqué « un manque de respect», sans préciser pour qui. La posture n’est pourtant pas nouvelle. Il y a un peu plus d’un an, Raiola et Haaland père avaient effectué la même démarche avant le transfert du joueur de Salzbourg à Dortmund le 29 décembre 2019. Scruté, le prodige norvégien (20 ans) l’était déjà. Les stats accumulées depuis son arrivée en Bundesliga et l’amplitude de ses performances autant que celle de son physique font placé à un rang de phénomène où n’émarge aujourd’hui à ses côtés que Kylian Mbappé. Mais, depuis le début du « Haaland Tour» instigué par Raiola, on est passé dans une autre dimension d’attention. Ses attitudes, ses gestes, ses regards, ses mots (rares), ses fringues, tout est scruté jusqu’à l’extrême, comme si les uns ou les autres allaient trahir la destination de ses rêves ou la décision suprême. Laquelle risque d’être érigée au rang de feuilleton de l’été. À ce stade, Haaland riest plus un joueur. Il est devenu une bête curieuse, genre Marsupilami, et pas seulement à cause du tissu jaune et noir qui recouvre sa peau. Ce n’est plus Haaland mais La La Land, une production hollywoodienne qui flirte entre la série et la téléréalité.
Dans cette partie de poker menteur, la Premier League semble cependant partir avec une longueur d’avance. Lors du déplacement à Manchester, l’attaquant du BVB a été fliué, analysé, traqué , et même sollicté par l’arbitre assistant roumain, qui lui a demandé de signer un autographe sur ses cartons juste après la rencontre, au mépris de toutes les règles protocolaires (même s’il s’agissait d’une action en faveur d’une association qui lutte contre l’autisme). À son arrivée à l’hôtel Lowry, la veille du match, les journalistes des tabloïds n’avaient déjà pas manqué de souligner le prix de son modique sac à dos Louis Vuitton (2300e), mais surtout la couleur de celui-ci (bleu ciel, celle de Man City). Une tendance ? À la fin de la rencontre, l’accolade et les quelques mots échangés avec son presque jumeau Phil Foden (ils ont cinquante-cinq jours d’écart) ont encore amplifié la rumeur qui fait de City l’élu de son cœur. City, le club où son défenseur de père passa les trois dernières années de sa carrière anglaise, légèrement abrégée par un tacle vengeur de Roy Keane lors d’un fameux derby le 21 avril 2001. City, le club de Guardiola et de son pote Foden, qu’Haaland vit débuter en équipe première il y a quatre ans lors d’un match de Ligue des champions contre Feyenoord auquel il assistait en compagnie de son papa. City toujours, City encore. Jeune adolescent, Erling était même devenu membre Facebook de l’association des supporters Scandinaves des Citizens. À part Leeds,il n’est aucun club qu’il adore autant. Le Haaland Tour n’est donc qu’un prélude. Le binôme Raiola-Haaland Sr, qu’on avait vu se séparer à l’aéroport de Barcelone pour échapper à la vigilance des photographes et des caméras (le père est même resté planqué dans les toilettes un bon moment), n’a pu se rendre dans la foulée en Angleterre comme il l’avait prévu, quarantaine oblige. Ce n’est que partie remise, A l’unisson du Barça et du Real, les deux clubs de Manchester, Chelsea et Liverpool s’apprêtent à rivaliser de courbettes et d’offres mirobolantes pour séduire le Edvard Munch du football, dont le cri risque d’être plus retentissant encore que celui du peintre d’Oslo.
En faisant le tour des grands clubs. européens, Mino Raiola et Haaland Sr ont voulu porter à la connaissance de tous l'intérêt que le joueur suscitait André Si 1 va, lui , n’e st pas cornaqué par Mino Raiola, mais par son rival, Jorge Mendes. Coïncidence cocasse. Car le but inscrit le samedi 3avril dernier à 17 h 12 par l’attaquant de l’Eintracht Francfort a, peut-être, changé le destin proche de celui de Dortmund. En s’imposant (2-1) ce jour-là au Signal Iduna Park, l’équipe d’Adi Hütter a relégué le BVB à quatre points de la sienne, quatrième de la Bundesliga. À moins d’un revirement de situation en Championnat, Dortmund ne disputera pas la Cl la saison prochaine. Ce qui change beaucoup de choses. Haaland n’était en effet pas supposé partir l’été prochain, au mieux signer pour un autre club, mais rester dans la Ruhr encore une année. Lors d’une interview sur le site The Athletic, Mino Raiola avait évoqué le mois dernier le « pacte verbal» qui lie le joueur au BVB jusqu’en 2022, même si le terme du contrat est 2024. Un accord scellé lors du transfert en janvier 2020 et qui avait coûté aux Jaune et Noir un royal 23 M€ en commissions (15 pour Mino, 8 au papa), soit plus que le transfert lui-même (20 M€). Le problème est que, depuis, Haaland a pris la lumière. Et de la valeur. Disputer la Ligue Europa reviendrait à mettre le flamboyant bijou dans l’arrière-boutique plutôt que dans la vitrine. Improbable. A moins de vouloir faire baisser sa cote, ce qui n’est pas dans la démarche de l’agent italo- néerlandais, même si, pour reprendre une métaphore de notre confrère du Guardian, Barney Ronay, « Raiola serait capable de revendre aux Grecs les marbres du Parthénon exposés au British Muséum».
Bien sûr, le contexte sanitaire actuel et les conséquences économiques qu’a engendrées la pandémie dans le monde du football ne prêtent pas aux folies. Les dettes, parfois abyssales, se sont accumulées, réduisant la catégorie des prétendants à un top 6 composé des deux grands d’Espagne et des quatre géants anglais, même si ceux-ci ont également été largement impactés. Ils pourront toutefois compter sur la disparition du fair-play financier et se lancer ainsi dans des enchères qui n’en prendront alors que plus de valeur et d’intérêt. Car, c’est bien ainsi qu’il faut comprendre le Haaland Tour de début avril. En faisant la tournée des popotes de luxe, Raiola et Haaland Sr ont voulu porter à la connaissance de tous l’intérêt que le joueur et fiston suscitait. Tout bénéfice pour eux, mais aussi pour les clubs précités. Dans cette partie de poker menteur, la Premier League sem¬ ble cependant partir avec une longueur d’avance. D’abord, parce que le Championnat anglais est à la fois le plus banka- ble et le plus généreux. Moins que d’autres, ses clubs ont eu à souffrir économiquement de cette année de pandémie. Les finances restent saines, d’autant que certains les ont remises à niveau. On pense notamment à Liverpool dont l’augmentation de capital effectuée en catimini au début de ce mois a permis d’injecter 640 M€ dans les ressources du club. Un investissement qui émane du fonds d’investissement Red- Bird (le propriétaire de Toulouse), mais qui cache en fait un autre nom, celui de LeBron James en personne. La star NBA des Los Angeles Lakers possédera désormais 10% des parts de FSG, l’actionnaire principal des Reds et également des Boston Red Sox (baseball). Au-delà de la personnalité de James, son image et sa carrière peuvent-elles influencer la décision d’un jeune joueur obsédé par la grandeur comme Haaland ?
Dans cette affaire, aucun détail n’est à négliger. Ni le nom des protagonistes, qu’ils soient dirigeants, techniciens ou futurs coéquipiers,ni le fait qu’Erling Haaland est né en Angleterre, en l’occurrence à Leeds, et qu’il a toujours été un fan absolu de Premier League, où son père a évolué durant neuf saisons (Nottingham Forest, Leeds, Man City). « Il est fait pour la Premier League», claironnait le paternel encore récemment. A Madrid, Florentino Ferez, qui, pour une fois, s’est bien gardé de cacher sa rencontre avec les représentants du joueur, était en course pour sa réélection, assurée depuis. S’afficher sur le dossier Haaland ressemblait à une promesse de campagne. Ou comme une preuve de puissance dans le cas de Joan Laporta à Barcelone, lequel a intérêt à montrer qu’il est à nouveau bien présent aux commandes de son club.
À la fin du quart aller de C l entre Dortmund et Ma nch ester City (2-1), l'accolade et les quelques mots échangés avec Phil Foden ont encore amplifié la rumeur qui fait des Sky Blues les élus de son cœur. Reste une question: qui peut se payer Haaland? L’absence de Dortmund en Ligue des champions la saison prochaine induirait un changement de tunique cet été. Mais aussi une somme bien plus conséquente à débourser pour le club acheteur, probablement au moins le double de la clause de cession incluse dans son contrat (75 M€), laquelle ne prend effet qu’en juin 2022. Dans l’entourage du Bous sia, on évoque un montant quatre fois supérieur pour laisser partir l’avant- centre, total qui n’émeut même pas Graeme Souness. Dans le Sunday Times daté du 4 avril dernier, l’ancien milieu écossais de Liverpool allait même jusqu’à affirmer: « Haaland, c’est plus fort que Mbappé et du niveau de Messi et Ronaldo, même si j’attends de voir son influence sur le plan de la longévité. 11 est rapide, toujours dans le bon timing (un hors-jeu toutes les cent quarante-quatre minutes), il a une incroyable présence physique, une technique incroyable et une finition diabolique. Pour moi, il vaut 350 M€. »
Pep Guardiola affirmait à l’évocation d’un possible transfert à Manchester City: "Au vu de ce qu’il demande aujourd’hui, ça va être compliqué. On n’a pas les moyens, 'fous les clubs sont dans le dur, et on n’est pas une exception. Après, je ne dis pas que ça n’arrivera pas. » Avant d’édulcorer ses propos quelques jours plus tard : « Jusqu’à présent, le club n’a jamais dépensé plus d e 120 M€ pour un jou e ur. Mais, peut- être, cela va-t-il arriver un jour si l’on juge que le joueur en question peut améliorer le potentiel de l’équipe pour les cinq ou dix prochaines années. » Le cordon ombilical qui relie Manchester United (client de Raiola) et Haaland est solide. Et se nomme Ole Gunnar Solskjaer. Le technicien norvégien de Man United n’est pas seulement celui qui a lancé le jeune Haaland il y a quatre ans, lorsqu’il était l’entraineur de Molde. Il est aussi celui qui l’a vu grandir, dans tous les sens du terme (le môme a pris vingt centimètres la première année) et celui qui a gardé un contact régulier avec lui depuis 2017. Selon un quotidien anglais, les Red Devils auraient même déjà promis à Haaland le fameux numéro 7, celui de Best, Cantona, Beckham et Cristiano Ronaldo, que porte actuellement Cavani. Le journal local Manchester Evening News s’est même déjà projeté sur le bilan de Haaland en rouge la saison prochaine (30 buts), en faisant une simulation via le jeu vidéo Football Ma nager. Un délire à la mesure de l’envergure d’un joueur qui pourrait pulvériser un record, celui du joueur le plus cher du monde détenu par Neymar (222 M€ pour venir du Barça au PSG en août 2017). Mais les records n’ont pas de secret pour Haaland. Ainsi que l’a révélé son père, le gamin, fils d’une heptathlonienne, avait effectué, alors qu’il n’avait que 5 ans, un saut en longueur de 1,63 m lors d’une compétition d’athlétisme. Une performance jamais égalée par un bambin de cette tranche d’âge. Toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort... Dortmund voudrait conserver sa pépite Scandinave. Mais une possible non -partici patron à la prochaine Ligue des champions pourrait contraindre I e Borussia à le céder pour remplir ses caisses.
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PHIL FODEN
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JADON SANCHO
Derrière ce nom à consonance hispanophone se cache en réalité une jeune pépite anglaise qui n’a pas hésité à traverser la Manche et à poser ses valises en Allemagne, au Borussia Dortmund précisément Un cas à part pour les Britanniques, d'un naturel casanier et conservateur, qui favorisent généralement les sirènes de la Premier League à celles de l’étranger. Sancho, lui, fait partie de ceux qui aiment prendre des risques.
Arrivé dans la Ruhr lors de l’été 2017» Sancho avait auparavant effectué son écolage à Watford, dans la banlieue de Londres, avant de rejoindre Manchester City pour parfaire sa formation, Et alors que Pep Guardiola, l’entraîneur des Skyblues, lui tendait la main de l’équipe première, le jeune homme a préféré décliner l’offre. « Nous avions un accord avec Sancho, nous nous sommes serré la main. Et pu is, il a décidé de ne pas signer le contrat», se souvient le coach espagnol, encore amer. Comme s’il préférait s’épanouir à l’ombre des regards, le jeune Anglais qui sortait alors d'un Euro U17 2017 ponctué à la seconde place, mais avec le titre de meilleur joueur du tournoi a préféré la possibilité de se montrer sans la pression médiatique inhérente au championnat anglais. Et un an et demi plus tard, le principal intéressé n'a pas de quoi regretter son choix, malgré une première année où il a dû se familiariser avec la Bundesliga.
Dans le vestiaire du Borussia Dortmund, certains joueurs sont d'ailleurs conscients du potentiel incarné par Jadon Sancho.
«S'il continue de travailler comme ça, il peut devenir l'un des meilleurs ailiers au monde. Il me rappelle Eden Hazard et il ny a aucune raison qu'il ne devienne pas aussi bon que lui un jour», pointe le milieu de terrain belge. Witsel
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