Quart de Finale Retour
3 avril 2006
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Repost d'un lien mort. Fichiers retrouvés (des centaines de gigas de matchs originaires d'ici
reuploadés et renommés sans mon tag sur deux autres sites Francais sans qu'on m'en ait parlé)
Le quart de finale de la Ligue des champions 2005/2006 reste le plus douloureux des souvenirs avec la demie contre le Bayern en 2020 Pour Lyon. Parce que c'est le grand AC Milan, parce que c'est le plus grand des Olympique Lyonnais et parce qu'il a manqué deux petites minutes pour signer le plus grand exploit de son histoire. "Il n'y a pas de débat possible, le pire souvenir, c'est Milan", nous confie un Grégory Coupet qui a tout connu ou presque en onze saisons et demie à Lyon. En ce printemps 2006, l'OL est au sommet de sa toute-puissance en Ligue 1. Quadruple champion en titre, il roule sur le championnat avec une facilité déconcertante. "A cette époque, on a un sentiment d'invulnérabilité", se souvient François Clerc qui sera titulaire à San Siro. "L'adversaire est impuissant. On sent en nous une force, une sérénité qui rappelle celle du PSG aujourd'hui." Patrick Müller abonde : "Moi j’ai connu deux périodes à Lyon. La première période, c’était de 2000 à 2004. Et après, je suis revenu à l’hiver 2005. Là, c’était plus vraiment le même club. Les ambitions étaient clairement différentes. Quand je suis revenu, le championnat n’était même plus une question. C’était une obligation de le gagner et on devait aller faire quelque chose en Ligue des champions."
Avant de poser le pied à San Siro ce 5 avril 2006, les hommes de Gérard Houllier n'ont plus perdu depuis plus d'un an et 29 matches à l'extérieur. Cette saison-là, ils seront leaders de la 5e à la dernière journée de L1 et ils la finiront avec 15 points d'avance sur le dauphin bordelais. En Europe, bien sûr, Lyon n'a pas le même statut mais sa progression constante couve de grands espoirs. L'élimination injuste face au PSV en 2005 nourrit un vrai sentiment de revanche. Et les Néerlandais seront balayés en 8e de finale en 2006 après un 4-0 à Gerland en forme de vengeance. Lyon grandit et se construit une réputation sur le Vieux Continent. La déculottée infligée au Real Madrid (3-0) en poule et la première place du groupe acquise devant les "Merengue" consolident la réputation déjà solide de l'Olympique Lyonnais. Dix ans avant l'ère des superpuissances du football européen qui confisqueront tous les trophées, et deux ans après la victoire finale de Porto, Lyon fait partie des sérieux outsiders. Voire un peu plus que cela. "Oui, très honnêtement à cette époque-là, on pense qu'on peut aller au bout", avoue désormais Grégory Coupet. "Notre ambition était celle-ci en tout cas. Le président Aulas nous l'a inculquée et on y croyait."
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