Saturday, June 10, 2023

Ligue des Champions 2009 2010 Inter Milan Bayern München

Finale

22 Mai 2010

Bernabeu Madrid


ITA 

CL.Final.2009.2010.Bayern.Inter.ITA.twb22-1.ts

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CL.Final.2009.2010.Bayern.Inter.ITA.twb22-2.mp4

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ESP original 2010 raw mpeg repost lien mort retrouvé

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"Les finales ne se jouent pas, elles se gagnent". L'auteur de cette formule, inconnu célèbre, ne pensait évidemment pas à José Mourinho le jour où il l'a prononcée pour la première fois. Pourtant, le Portugais incarne mieux que quiconque cette maxime qui pourrait avoir valeur de devise officielle. Samedi à Madrid, là où il devrait poursuivre sa carrière, The Special One, qui transforme en or tout ce qu'il touche, avait mis un plan sur pied. Comme d'habitude, l'Inter s'y est tenue et, avec le talent et la froide précision de Diego Milito, a fait plier le Bayern Munich 

Ce succès, le troisième des Nerazzurri en C1 et le premier depuis quarante-cinq longues années, récompense un club qui domine son championnat depuis cinq saisons mais qui continuait, assez inexplicablement, à faire des complexes sur la scène européenne. Tout le contraire du voisin rossonero, vainqueur de deux Ligues des Champions lors de la dernière décennie. Aujourd'hui, l'Inter tient sa revanche et, auteur d'un fabuleux triplé, peut bomber le torse. Définitivement.

 

 

Elève de Louis van Gaal à la fin du siècle dernier, José Mourinho a dépassé le maitre samedi. Vainqueur de sa deuxième Ligue des Champions avec deux clubs différents, un exploit que seuls Ernst Happel (Feyenoord 1970, Hambourg 1983) et Ottmar Hitzfeld (Dortmund 1997, Bayern 2001) avaient réussi avant lui, le Portugais entre au Panthéon des techniciens de génie. Pour cette finale évidemment mais également l'intégralité du parcours de l'Inter. Au fil des tours, Chelsea, le CSKA Moscou et Barcelone ont plié devant l'organisation lombarde et la discipline des joueurs de Mourinho. Même le Bayern Munich, modèle de sérieux, n'a rien pu faire. Trop impuissant, trop dépendant de Robben et trop peu inspiré durant cette finale, le club allemand n'a jamais trouvé la faille. Les champions d'Allemagne ont possédé le ballon la majeure partie du temps (67% de possession), comme en demi-finale face à Lyon, mais n'ont cette fois jamais su quoi en faire et se sont finalement fait poignarder par un certain Diego Milito.

 

 

Si les Interistes érigent une statue en l'honneur de Mourinho, ils pourront également construire un petit quelque chose pour Milito. Argentin au sang froid, l'ancien buteur du Genoa a concrétisé les efforts de ses coéquipiers en réussissant un doublé. Sur son premier but, El Principe a parfaitement combiné avec Wesley Sneijder et battu Hans Jorg Butt du droit, après une feinte de tir bien sentie (1-0, 35e). Sur le second, il a enrhumé Daniel van Buyten d'un crochet intérieur, avant de terminer le travail du plat du pied droit (2-0, 70e). Imparable. Comme l'Inter.

 

 














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