First Leg
Camp Nou,
Barcelona
Barcelona
Dans les buts, Ilia Valov (27 ans), est un gardien très sûr sur sa ligne. L'arriére droit Emil Dimitrov (29) est très offensif, au contraire du latéral gauche Marius Urukov (22), plus à l'aise dans la tâche purement défensive. La charnière centrale, composée de Dimitar Mladenov (27) et de Trifon Ivanov (24), parfaitement complémentaire, évolue en couverture mutuelle. Le milieu de terrain révèle d'excellents techniciens, très offensifs et qui savent à merveille faire circuler le ballon : Kostadin lantchev (26), Ivailo Kirov (23), Georgi Georguiev (26) et Marin Bakalov (27 ans, le « poumon » de l'équipe).
Enfin l'attaque, qui est certainement le point fort du Sredets. Avec les deux petites merveilles Emil Kostadinov (22) et Hristo Stoïchkov (24), Le club dispose d'un potentiel offensif impressionnant, même si Kostadinov manque parfois d'efficacité dans la conclusion. La tactique ? Le plus souvent un 4-4-2 classique qui peut, selon l'adversaire ou le déroulement du match, se transformer en 4-5-1 ou en 4-3-3. «J'ai toujours eu, dit Penev, une philosophie adaptée à chaque rencontre. Mes joueurs sont les exécutants d'une logique et celle-ci diffère selon la valeur de l'opposant. Ma tâche est de former des individualités capables de s'adapter à toutes les situations. Notre principale force, c'est le collectif, mes joueurs se trouvent très facilement sur un terrain et ils savent résoudre les problèmes qui se présentent sans jamais paniquer. »
Dimitar Penev, pourtant, a un double regret : d'abord un effectif limité (dix-huit joueurs), ensuite, le départ, fin 89, de l'attaquant Lubos-lav Penev pour l'Espagne (avec le FC Valence, il réalise une excellente saison). «Nous aurions eu plus d'ambitions si Penev n'était pas parti», regrette le coach. Et de poursuivre: «Chaque année, le club voit ses meilleurs éléments partir pour les clubs d'Europe de l'Ouest. Ce fut par exemple le cas pour Dimitrov, Slaszkov et Markov en France. Puis il y a eu Penev et dans quelques mois, ce sera au tour de Stoïchkov. Nous recrutons les meilleurs éléments du pays, nous les formons et un beau jour ils s'en vont. Au début, j'en étais plutôt fier. Aujourd'hui, je préférerais les garder, » L'entraîneur déplore que ses garçons n'aient qu'une idée en tête : jouer à l'Ouest, où ils peuvent bénéficier d'une structure professionnelle plus solide et, surtout, de salaires conséquents. «Il faudrait pouvoir les retenir. Par exemple fixer une limite d'âge pour jouer à l'étranger. Ce n'est pas le cas pour l'instant et j'espère que l'Union Bulgare du Football fera le nécessaire à ce sujet. » Impressionnés par la puissance financière du club étrangers, les dirigeants sofiotes répondent à ces capitalistes du foot par une phrase-maison : « Parfois, les riches ne se rendent pas compte de la valeur de certaines choses essentielles.
Enfin l'attaque, qui est certainement le point fort du Sredets. Avec les deux petites merveilles Emil Kostadinov (22) et Hristo Stoïchkov (24), Le club dispose d'un potentiel offensif impressionnant, même si Kostadinov manque parfois d'efficacité dans la conclusion. La tactique ? Le plus souvent un 4-4-2 classique qui peut, selon l'adversaire ou le déroulement du match, se transformer en 4-5-1 ou en 4-3-3. «J'ai toujours eu, dit Penev, une philosophie adaptée à chaque rencontre. Mes joueurs sont les exécutants d'une logique et celle-ci diffère selon la valeur de l'opposant. Ma tâche est de former des individualités capables de s'adapter à toutes les situations. Notre principale force, c'est le collectif, mes joueurs se trouvent très facilement sur un terrain et ils savent résoudre les problèmes qui se présentent sans jamais paniquer. »
Dimitar Penev, pourtant, a un double regret : d'abord un effectif limité (dix-huit joueurs), ensuite, le départ, fin 89, de l'attaquant Lubos-lav Penev pour l'Espagne (avec le FC Valence, il réalise une excellente saison). «Nous aurions eu plus d'ambitions si Penev n'était pas parti», regrette le coach. Et de poursuivre: «Chaque année, le club voit ses meilleurs éléments partir pour les clubs d'Europe de l'Ouest. Ce fut par exemple le cas pour Dimitrov, Slaszkov et Markov en France. Puis il y a eu Penev et dans quelques mois, ce sera au tour de Stoïchkov. Nous recrutons les meilleurs éléments du pays, nous les formons et un beau jour ils s'en vont. Au début, j'en étais plutôt fier. Aujourd'hui, je préférerais les garder, » L'entraîneur déplore que ses garçons n'aient qu'une idée en tête : jouer à l'Ouest, où ils peuvent bénéficier d'une structure professionnelle plus solide et, surtout, de salaires conséquents. «Il faudrait pouvoir les retenir. Par exemple fixer une limite d'âge pour jouer à l'étranger. Ce n'est pas le cas pour l'instant et j'espère que l'Union Bulgare du Football fera le nécessaire à ce sujet. » Impressionnés par la puissance financière du club étrangers, les dirigeants sofiotes répondent à ces capitalistes du foot par une phrase-maison : « Parfois, les riches ne se rendent pas compte de la valeur de certaines choses essentielles.
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1st Half
2nd Half
Stoichkov began his career in his hometown, moving to Hebros in 1984. The next year he went to CSKA Sofia. There, he was involved in a fight during the final of the 1985 Bulgarian Cup which resulted in his suspension. After he was brought back to football, he managed to win the European Golden Boot with CSKA by scoring 38 goals in 30 games.
nice, 10x
ReplyDeleteTout simplement excellent. Merci TWB.
ReplyDeleteJarobegusi.