FR (Belgique) 1H10
Marc.Wilmots.30AnsArchives.FRBEL.twb22.mp4
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A 16 ans, il fait ses débuts en Division 2 sous la vareuse de St-Trond. Avec son compère en attaque, Stef Agten, il porte les Canaris vers le titre de champion en 1987 et une couronne de meilleur buteur. Il rejoint alors le meilleur club belge du moment : le FC Malines du président John Cordier, entraîné par Aad de Mos qui a attiré, derrière les Casernes, les Preud’Homme, Clijsters, Koeman, Ohana, Den Boer, Rutjes et autre Emmers tout chaud vainqueur de la Coupe d’Europe des vainqueurs de coupe de football (1-0 devant Ajax Amsterdam. L’heure du grand choix arrivé pour « Willie » et sa famille avec dans le rôle du chef comptable un papa habitué à la vente de bétail et à qui on ne la fait sûrement pas…. Car Marc Wilmots au Standard, le mariage – ou plutôt la fusion – était tout simplement inévitable. Dès le début du rapprochement, la barre financière est fixée à 75 millions FB avec près de la moitié de la somme revenant au clan Wilmots qui a bien négocié son… capital (sur pattes). André Duchêne ne résiste pas et ‘offre’ ainsi le symbole des attaquants wallons à Sclessin où Marc va se donner corps et âme tout au long de ses cinq années marquées par 67 buts en 136 matches de championnat avec d’entrée une troisième place en championnat synonyme de retrouvailles avec l’Europe.
Six saisons (1996-2000 puis 2001-2003) avec une infidélité vers les Girondins de Bordeaux où il inscrira quand même 10 buts en 35 matches de la saison 2000/2001. Un coup de foudre pour la Gironde et ses vignes où le clan Wilmots a trouvé, aujourd’hui, refuge… quand l’homme n’entraîne pas. Une carrière sportive tout en panache et énergie marquée par l’incroyable succession d’opérations : ménisque, genoux, ligaments, épaule, pied et la quinzième et dernière au tendon d’Achille ce printemps en jouant au…tennis avec ses enfants ! Et à tout cela il faut évidemment ajouter l’équipe nationale où Guy Thys lui offre sa première sélection le 26 mai 1990 contre la Roumanie (2-2), l’emmène à la Coupe du Monde 1990 en Italie où il restera sur le banc pour consoler les Diables poignardés par le perfide anglais David Platt à la 120e minute. Un rapport parfois délicat, quelque fois houleux quand ce n’est pas de l’incompréhension totale avec l’équipe nationale qui naturalise alors à tour de bras Weber, Strupar, Vidovic ou Luis Oliveira. A la World Cup 1994, Paul Van Himst lui offre sa chance lors du 3e match éliminatoire face à l’Arabie Saoudite. Concours de maladresses, malchance, on ne retient finalement que la défaite (0-1 sur un invraisemblable solo d’Al Owairan qui efface à lui seul la moitié de l’équipe belge) qui expédie alors l’équipe nationale à Chicago pour un huitième de finale explosif face à la Mansschaft allemande que l’on perdra dans d’étranges circonstances arbitrales. Déjà…
1985-1988 Saint-Trond
1988-1991 FC Malines
1991-1996 Standard de Liège
1996-2000 Schalke 04
2000-2001 Girondins de Bordeaux
2001-2003 Schalke 04
COACH
2003 Schalke 04
2004-2005 Saint-Trond
2009-2012 Belgique
2012-2016 Belgique
2017 Côte d'Ivoire
2019 Iran
2021-2022 Raja Club Athletic
2024 Schalke 04
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