Saturday, March 27, 2021

WC 2006 France Espagne

 27 Juin 2006
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Qui aurait pu croire Raymond Domenech lorsque, au cœur de l’hiver précédant la Coupe du monde, il répétait avec une égale certitude et une non moins réelle sincérité qu’il n’avait réellement qu’un seul objectif : la finale de la Coupe du monde, le 9 juillet 2006, au stade Olympique de Berlin ? Un stade mythique, refait à neuf pour ce qui passait alors, aux yeux du plus grand nombre, pour ne pas dire de la quasi-totalité de ceux qui écoutaient le message du sélectionneur, pour une sorte de lubie. Au mieux un rêve, au pire une folie. Il faut dire que le parcours qui avait mené l’équipe de France à la qualification pour la douzième phase finale de Coupe du monde de son histoire, sa troisième d’affilée tout de même - record égalé -, pouvait susciter des tas de sentiments et d’opinions, mais certainement pas l’excès de confiance. 

 

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Souvenons-nous plutôt de la rentrée scolaire des Bleus à l’été 2005. Certes, après le retour des « vieux fils prodigues », Zinédine Zidane d’abord, puis Lilian Thuram et Claude Makelele dans sa foulée, l’équipe de France avait effectué une très probante entrée en matière en balayant la Côte d’ivoire en match amical, à la mi-août à Montpellier. Mais la reprise des éliminatoires mondiaux avait été d’un autre tonneau. Car si les Bleus avaient réussi l’exploit de s’imposer à Dublin (1-0), sur un geste décisif - un geste de très grande classe - de Thierry Henry, au terme d’un premier match couperet, leur voyage en Suisse s’était soldé par un nouveau match nul (1-1). Ils n’avaient finalement dû leur première place du groupe et leur qualification directe pour l’Allemagne qu’à une série d’exploits du gardien irlandais contre la Suisse, tandis qu’à la même heure, au Stade de France, ils écrasaient (4-0)... les (tout de même assez modestes) Chypriotes ! Logiquement, il n’y avait pas de quoi se voir en finale de la Coupe du monde quelques mois plus tard... Mais le foot, c’est parfois tout sauf logique. Et c’est pour cela qu’on l’aime, justement !  Chez les bookmakers londoniens, baromètre assez fidèle (si ce n’est de la réalité des choses, en tout cas de la façon dont le public les apprécie), la cote tricolore était au plus haut à cette période de l’année. C’était environ du 15 à 20 contre 1 ! Du jackpot assuré en cas d’exploit. Mais assez peu de gens, à ce moment-là, auront osé miser leurs économies, sans même parler de victoire, sur une simple présence des Bleus à Berlin le 9 juillet...  Il fallait y croire, et Raymond Domenech était à peu près le seul qui y croyait. Avec l’obstination et l’application qu’il met en toutes choses. Mais avec également le brin de fantaisie qu’il ne sait s’empêcher de dispenser joliment, comme la coriandre sur la salade de tomates fraîches. Il était seul à y croire mais, sans que l’on y prenne vraiment garde, il allait bientôt être rejoint par ses joueurs, au cœur de la saison, grâce à une initiative qui fut tout sauf anodine. Je veux évidemment parler du voyage aux Antilles, le premier match en Martinique de l’histoire de l’équipe de France, contre le Costa Rica.

 

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Une nouvelle aventure commence alors. Avec un lourd programme. Seulement deuxième de son groupe, l’équipe de France se voit proposer un véritable parcours du combattant dans le bas du tableau. Pour commencer, ce fut l’Espagne, l’une des équipes les plus attendues du tournoi, euphorique au premier tour, avec trois victoires en trois matches. Une jeune armada de Luis Aragonés, brillante équipe espagnole à la moyenne d’âge nettement inférieure à celle des Français et dont la presse nationale claironne bien vite qu’elle va définitivement « mettre à la retraite Zidane » - référence au titre de Marca, le grand quotidien sportif de Madrid - et toute sa bande. Cela paraît d’autant plus clairvoyant que l’Espagne mène bientôt 1-0, une faute de Thuram ayant valu un penalty. Mais les Français vont alors passer une puis deux puis trois vitesses supérieures, comme autant de buts synonymes d’une épatante supériorité. 

 

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