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Que reste-t-il du prestigieux Real de Madrid, depuis que son équipe, vers la fin des années 60, rentra dans le rang européen ? Deux choses : le souvenir indélébile d’une formation dont le football offensif confinait souvent à l’art, et parfois au génie. Cela, on le lui retira jamais, « l’inéluctable évolution » de notre sport favori ne nous permettant guère d’espérer qu’on le retrouve un jour. La seconde chose, c’est un record : dix victoires, dont cinq d’affilée, en coupe d’Europe des clubs champions (56, 57, 58, 59, 60 et 66).
ais s’il est vrai que le propre d’un record est d’être battu un jour, il ne nous étonnerait pas que ce soit au cours de cette décennie par ce Liverpool F.C. qui semble installé au sommet continental pour longtemps encore.
Certes, la formation anglaise ne briguera à Rome le 30 mai prochain que sa quatrième victoire dans la plus belle des compétitions européennes. Mais la constance affichée par les « Reds » depuis maintenant une bonne dizaine d’années, qui ne se dément pas malgré un logique rajeunissement des cadres au fil des saisons, leur autorise les plus belles espérances.
Qu’on en juge. C’est en 73 que Liverpool inscrivit pour la première fois son nom au palmarès européen. En coupe de l’UEFA face au Borussia Mœnchengladbach. (3-0 et 0-2). Il allait récidiver dans cette même épreuve face à Bruges en 76 (3-2 et 1-1). En 77, en coupe des cham¬ pions, les coéquipiers d’un certain Kevin Keegan s’imposaient pour la première fois face à Mœnchengladbach (3-1 à Rome). Ils remettaient çà en 78 face à Bruges (1-0 à Londres). Pendant deux saisons, Nottingham Forest allait prendre le relais. Mais en 81, à Paris, Liverpool remportait sa troisième coupe des champions (1-0 face au Réal). En 82, il atteignait encore les quarts de finale, chutant face au C.S.K.A. Sofia après prolongations (1-0 et 0-2). De même qu’en 83 où Widzew Lodz, vainqueur 2- 0 chez lui, ne perdait que 3-2 à Liver¬ pool. Nous voilà en 84, et Phil Neal et Ray Kennedy, les deux « rescapés » de la victoire de 76 en UEFA, qui rempor¬ tèrent aussi les trois suivantes en coupes des champions, s’apprêtent à disputer leur... cinquième finale européenne ! Constance européenne implique bien sûr régularité nationale. Nous ne détaillerons pas le palmarès anglais de Liverpool, ce serait fastidieux : sachez seulement qu’il a remporté 14 titres de champions (le premier en 1901) dont pas moins de sept depuis 1973, et qu’il en gagnera peut-être un quinzième puisqu’il est leader de l’actuel championnat. Ajoutez deux « Cups » (65 et 74), et quatre coupes de la League ces quatre dernières saisons et vous aurez fait le tour de la question.
Ce qui amène forcément à s’en poser une autre : pourquoi une telle régularité ? La réponse, qu’elle émane de nos confrères anglais ou du manager Joe Fagan, reste la même et peut être développée en deux parties. Première raison : les propres caractéristiques du football britannique. Auquel on peut reprocher souvent son manque d’imagination créatrice, mais sûrement pas l’enthousiasme de ses joueurs, ni leur présence physique, ni leur combativité. Ni non plus leur capacité à attaquer quand cela est nécessaire. Arguments importants qu’illustrent d’ailleurs parfaitement les nombreuses victoires britanniques sur le plan européen, que ce soient celles de Liverpool, de Nottingham ou d’Aston Villa ou d’Aberdeen, ces derniers temps. A l’époque du calcul, les Britanniques, eux, préfèrent encore jouer le jeu.
Deuxième raison : à Liverpool, les hommes passent mais le style et l’esprit demeurent. Le style, c’est ce football basé sur une organisation de jeu mise en place par Bob Paisley et perpétuée par Joe Fagan, qui fut son assistant pendant dix ans. Une organisation implacable, au sein de laquelle chaque joueur a un rôle bien précis à accomplir, aussi bien sur le plan défensif qu’offensif. Les bases en sont simples : défense en zone, milieu fourni avec quatre éléments, et surtout pressing constant avec volonté de récupération du ballon dans le camp adverse. Voilà pour la partie défensive, les deux attaquants de pointe étant chargés d’obliger sans cesse l’adversaire à relancer le jeu rapidement, afin de l’empêcher de s’organiser, facilitant ainsi le travail de récupération des joueurs du milieu ou de la défense. Pour la partie offensive, la participation de chacun est aussi demandée. Et c’est ainsi que Liverpool passe très rapidement d’une position de récupération à une position d’attaque, dans laquelle il n’est pas rare de voir six ou sept joueurs concernés.
Mais cette manière générale d’opérer peut comporter des variantes. Ainsi, selon l’adversaire rencontré, selon son organisation de jeu, selon la tournure des événements, Liverpool sait aussi bien se muer en équipe super-offensive pressant l’adversaire sur son but qu’en
A 22 ans, lan Rush a déjà inscrit plus de 100 buts pour Liverpool !
La Roma pourra-t-elle le neutraliser ?
So, it was back to Rome, venue of Liverpool's first Europeen Cup triumph back in 1977. Liverpool fans joked that Rome, like Wembley, was almost becoming Liverpool's second home. But this time there was a difference. Liverpool were not facing a German side, who were having to travel hundreds of miles from their home. Instead, they were lining up against the Italian champions in their own country in their home ground. If ever a team had an advantage, it was AS Roma. They had won 28 out of 36 Europeen lies at their Olympic Stadium. On any other ground, Liverpool would have been made the favourites. It was a different proposition in Rome, and many observers doubted Liverpool's chances of winning. At least Liverpool felt at home as they arrived to see the roads, houses and piazzas decked in red, even though it was the red of Roma. The city of Rome had set its heart on seeing their favourites crowned Kings of Europe in their own backyard. Liverpool had already clinched their third successive league title, equalling the long held records of Huddersfield Town and Arsenal. They had also just won their fourth successive League Cup, another record, and now faced up to winning a third trophy that season, and one that would make them the second most successful club in the history of European club football, behind the great Spanish champions, Real Madrid.
The Olympic Stadium was a cauldron of passion and colour, a sea of red from one end to the other. From the start, Liverpool set out to calm the atmosphere and reduce the tempo to a walking pace. They played the bail around their back four, slowly worked it forward and then sidefooted it back. It may not have been exciting but it was effective. In the 14th minute, the Reds scored. A Craig Johnston centre was pumped high into the area and the Italian goalkeeper, Tancredi, under pressure from Ronnie Whelan, leapt up to catch the bail only to lose it as he fell to the ground. It fell perfectly into the path of Phil Neal, the only survivorfrom 1977. 1-0. Liverpool could hardly have dared hope for a better start. But now it was suddenly about-turn as the traffic poured towards the Liverpool goal. For 20 minutes, Liverpool withstood sustained pressure, and then, just as it seemed they had survived the worst, Roberto Pruzzo sneaked in behind the Liverpool defence to level the score with a glancing header. Nils Liedholm's Roma side began the second half where they had left off, with a passionate crowd urging them on. But with Mark Lawrenson in majestic form, the zest of the Italians cooled after a 15-minute burst of attacking, which had produced nothing. Liverpool now asserted themselves once more and Nicol, who had corne on as a substitute, might easily have scored a winner but for a good save by Franco Tancredi.
Extra time beckoned, and with Liverpool looking weary after a season of 66 matches, it seemed the pendulum was about to swing away from them. Souness in the midfield remained inexhaustible, driving his men on by example, charging into the front line one moment, the next tearing back into defence. Roma's Brazilian pair of Falcao and Cerezo were blotted out of the game by the Scottish maestro. Extra time came and went without any further scoring. The European Cup would be decided on penalties for the first time in the history of the competition. Up stepped Steve Nicol confident, and almost grabbing the bail in his eagerness, before thumping it over the bar. It seemed the European Cup was lost. Liverpool's record with penalties had not been impressive that season. Not so Roma. Agostini Di Bartolomei put them one up. Next, Phil Neal coolly converted his kick. Then Bruno Conti, reckoned by Pele to be the best player in the 1982 World Cup, watched in horror as his casual shot soared over the bar. Liverpool were back on level terms.
Graeme Souness scored Liverpool's third, then Ubaldo Righetti equalised. By now, Bruce Grobbelaar was up to his antics: his knees knocking, arms flailing, pretending to be nervous, appearing to treat the match as though it were a practice game. Next in line was lan Rush. No mistake. Then Francesco Graziani's turn. Grobbelaar was now psyching the man out with his play-acting. It worked. Graziani's shot sailed way over the bar towards the terraces. The Italian players and their manager were extremely unhappy with the behaviour of the Liverpool goalkeeper, but whatever their complaints, it did not aller the fact that Grobbelaar had helped Liverpool win the shoot out.
Graziani's miss meant that it was ail down to the next kick. Up stepped veteran full-back Alan Kennedy. He had only to score and the European Cup would be Liverpool's. He placed the bail carefully, turned, never once glancing at Tancredi, and sent the bail into the back of the net. Kennedy turned and raced towards his jubilant team-mates. The man who had scored the vital goal in Paris had done it again, but Bruce Grobbelaar's shakes and shimmies had unnerved the Italians. Souness, appropriately, stepped up to receive the European Cup. The credit had to go to Liverpool's defence. Lawrenson, Hansen, Kennedy and Phil Neal had rarely been ruffled. In attack, Rush had been superbly contained by Righetti, while Dalglish had never found the spark that had made him so effective in earlier rounds. At the centre of it ail was Graeme Souness. It was an extraordinary achievement both for the player and for the club.
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