2e journee Groupe 2
Stadio Comunale, Turin
15 juin 1980
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Le football italien vit une période de doute. L’histoire du «totonero» - concours de pronostics clandestins avec joueurs achetés et résultats faussés - a privé la squadra azzura de son Paolo Rossi préféré, sans que l’on sache très bien si celui-ci - trois ans de suspension, en principe - a trempé dans l’affaire ou en a été la victime. Six mois ou presque d’enquêtes, d’articles de presse, de déclarations, ont jeté un voile de discrédit sur le calcio. Et l’on compte beaucoup, au sein de la Fédération italienne, sur ce championnat d’Europe, pour tenter de faire oublier aux « tifosi » que parfois, football rime avec magouille. Le sélectionneur Enzo Bearzot est inquiet. La preuve a été faite, au cours du match Italie- Espagne (0-0) que certains « Argentins » avaient considérablement vieilli ou, du moins, mal négocié le virage les amenant à ce championnat. Causio et Bettega ont la chaussette lourde. Benetti ne se sert presque plus que de son parechocs avant pour enfoncer les carosse- ries adverses. Quant à Graziani, le remplaçant turinois du torpilleur torpillé (Rossi), il est plein de bonne volonté, ardent comme la braise mais vraiment trop maladroit pour séduire le réaliste public italien. Il lui faut du mérite, d’ailleurs, à Francesco, pour supporter les avanies qu’on lui fait subir.
Les Anglais, appelés à affronter les Italiens sur leur sol, ne valent pas mieux. On avait fait d’eux, au vu de leurs résultats (un 2-0 en Espagne et un 3-1 sur l’Argentine, notamment) de sérieux favoris du championnat d’Europe. Mais ils sont privés de Trevor Francis, grave¬ ment blessé, et ils comptent, dans leurs jambes et dans leurs esprits, une si éprouvante saison qu’ils ne sont plus vraiment eux-mêmes. Sans compter que Kevin Keegan, leur merveille sacrée deux fois Ballon d’or de France-Football (élection du meilleur footballeur de l’année) en 1978 et 1979, semble amorcer son déclin athlétique. Greenwood a décidé de sortir Brooking, un peu émoussé et pas assez efficace en défense, pour le remplacer par Kennedy. Il a aussi décidé de changer d’avant-centre et d’appeler Birtles pour la vivacité de ses échanges avec Woodcock, les deux hommes ayant joué longtemps ensemble à Nottingham Forest.
Ces changements n’empêchent pas les Anglais de beaucoup souffrir, dès le coup d’envoi. Sous la baguette d’un Antognoni majestueux - l’archange aux pieds de velours, ainsi l’a-t-on surnommé - les Italiens portent constamment le danger vers le but de Shilton, lequel a piqué une grosse colère auprès de Greenwood lorsque celui-ci a rompu le pacte d’alternance avec Clemence lors du premier match contre la Belgique. Il a ainsi retrouvé sa demi-place, et il n’est pas à la fête, le héros de Madrid (avec Forest).
Les Italiens ne font pas le détail, écopent deux cartons jaunes (Benetti, 10e ; Tardelli, 19e) mais leur jeu collectif n’est pas brillant, avec beaucoup d’erreurs de Causio et Graziani, celui-ci manquant à trois mètres de Shilton (44e) la reprise d’un centre d’Antognoni. Ce qui permet aux Anglais, jouant sans ailiers, de récupérer des occasions de contres (21e, 33e) par Woodcock.
La squadra azzurra, débordante d’énergie à défaut de génie, s’offre encore, après le repos, une énorme occasion, Graziani ayant astucieusement lancé Oriali. Le centre à ras de terre de celui-ci est récupéré au second poteau par Sci- rea lequel prend son temps pour tirer... sur l’ex¬ térieur de ce même poteau (47e). Huit minutes plus tard, un tir superbe de Kennedy rencontre le même obstacle chez Zoff, qui pense à sa visite chez le Pape, quelques jours plus tôt, et touche sa médaille. Qui va céder dans ce match de titans fatigués ? Il faut, pour dénouer la situation, une espèce d’extra-terrestre....
galerie rivalité Italie Angleterre
super photos
Italy v England: 82 years of football rivalry – in pictures | Football | The Guardian
Gaius,
ReplyDeletetell me please what was said Dario Pereyra & Helio Alcantara? Have you got links to articles about this match? Thanks. I have previously downloaded from your review of this game about
32 minutes. Here is a more detailed review.
Hello Mr Rush like i said it's nice and nicer everytime, beautiful pages and you experimented H264 very well!!
ReplyDeleteThank you i see that you are very active
Video review of the first match of these teams February 25, 1976 in Montevideo, Uruguay.
ReplyDeleteGoals: Nelinho, Zico, Ocampo :)
http://www.youtube.com/watch?v=5cYiSNzFKoo&feature=related