National Stadium,
Tokyo
Attendance: 45,000
Referee: Franz Wöhrer




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2-1 110' Madjer (Porto)
FC Porto: Mlynarczyk - João Pinto, Inacio, Lipa Pereira, Rui Barros (61' Quim),
Geraldão, Magalhães, Madjer, Sousa, Gomes, André
Peñarol : Pereira - Rotti, Trasante, Herrean (95' Gonsalves), Domínguez,
Perdomo, Da Silva, Aguirre, Vidal, Cabrera (46' Matosas), Viera

Treize fois champion du Portugal, cinq fois vainqueur de la Coupe et quatre fois tenant de la Super Coupe (du Portugal), le club a été fondé en 1906. Jusqu'en 1912, il joua sur la pelouse du « Campo da Rainha » puis sur celle du «Campo da Constituiçao » jusqu'en 1952, date de l'inauguration du Stade das Antas, d'une capacité de 90 000 places et qui est actuellement en cours de modernisation. Le F.C. Porto est un club omnisports, la piscine olympique qui jouxte le stade est là pour en témoigner. Une traversée du désert pour le club-phare du Nord du Portugal : dix-neuf ans sans pouvoir gagner le championnat de 1959 à 1978.

En remportant la 28e édition de la Copa Libertadores le 31 octobre à Santiago, le club ururguayen Penarol Montevideo ne s'est pas seulement octroyé le droit de disputer la finale intercontinentale de Tokyo. Il a aussi inscrit pour la cinquième fois son nom au palmarès de cette épreuve (60. 61. 66. 82. 87). la plus prestigieuse du continent sud-américain au niveau des clubs. Ce qui le place à deux victoires à peine du fabuleux record détenu par Independiente (Argentine). Il a encore permis à l'Uruguay, petite nation de trois millions d'habitants dont les deux seules fiertés sont les plages de Punta del Este et le football, de « boucler » une saison 87 exceptionnelle. Car cette victoire en « Libertadores » s'ajoute à celle, acquise en juillet à Buenos Aires par la sélection nationale, dans la « Copa America ». Et ce à l'heure où le football uruguayen, économiquement vacillant, pillé de ses plus remarquables joyaux. (Paz. Francescoli, Alzamendi, Gutierez, Saralegui, Da Silva. Batista. Ramos. etc.) paraissait moribond. Mais, au-delà de tous ces aspects, au-
delà également des questions que ce succès soulève sur Pétât du football sud-américain, notamment sur le plan du jeu, Penarol, en remportant cette compétition, a écrit un chapitre véritablement épique de son histoire et de celle de la « Copa Libertadores ». L'un de ceux dont on reparlera encore dans vingt ans, voire dans cinquante, quand Aguirre, le buteur miracle de cette équipe, aura autant de cheveux blancs que les vagues du rio de la Plata ont de crêtes argentées. Cela mérite un retour en arrière... Avec deux qualifiés pour chacun des dix pays de la Confédération sud américaine, la « Copa Libertadores » accueille chaque année vingt clubs répartis lors du premier tour en cinq groupes de quatre. Le premier de ces cinq groupes est qualifié pour les demi-finales, disputées dans deux poules de trois (le tenant du titre entrant à ce stade de l'épreuve).
delà également des questions que ce succès soulève sur Pétât du football sud-américain, notamment sur le plan du jeu, Penarol, en remportant cette compétition, a écrit un chapitre véritablement épique de son histoire et de celle de la « Copa Libertadores ». L'un de ceux dont on reparlera encore dans vingt ans, voire dans cinquante, quand Aguirre, le buteur miracle de cette équipe, aura autant de cheveux blancs que les vagues du rio de la Plata ont de crêtes argentées. Cela mérite un retour en arrière... Avec deux qualifiés pour chacun des dix pays de la Confédération sud américaine, la « Copa Libertadores » accueille chaque année vingt clubs répartis lors du premier tour en cinq groupes de quatre. Le premier de ces cinq groupes est qualifié pour les demi-finales, disputées dans deux poules de trois (le tenant du titre entrant à ce stade de l'épreuve).
L'élégance, l'imagination et la technique ne sont pas les caractéristiques principales de cette équipe. Mais quand l'adversaire refuse le jeu, la fougue suffit parfois. L'entraîneur de ce Penarol d'énergie et de sueur. Oscar Washington Tabarez (40 ans), ancien défenseur qui exerça en Uruguay et au Mexique, puis devint entraîneur de la sélection en 83 avant de passer à Danubio, Wanderers et enfin Penarol (en 87), avoue d'ailleurs : « Les joueurs de Penarol sont imprégnés d'une motivation quasiment historique qui les pousse à se transcender. C'est ainsi que notre club a forgé sa gloire. C'est ainsi que nous continuons à gagner. C'est l'énergie d'un petit pays habitué à l'adversité dans tous les domaines et qui est fier de concurrencer les grands en football ».
Penarol, trente-huit fois champion d'Uruguay, a remporté quatrie Coupes Intercontinentales, en 61 (contre Benfica), 66 (contre le Real Madrid) et 82 (contre Aston Villa). Le voyage au Japon lui a d'ores et déjà rapporté une victoire : économique. Penarol. en effet, gagnera pour l'occasion quelques grosses poignées de dollars et profitera sans doute du déplacement pour rentabiliser son titre de « campeon » (d'Amérique au moins et peut-être du monde) avec des mat-ches amicaux en Asie ou ailleurs. Ce qui contribuera sans doute à combler un peu le déficit énorme (1250000 dollars, soit plus de 7,5 millions de francs) qui est le sien. Et qui a décidé la justice à décréter la saisie de toutes ses recettes aux guichets !
Penarol, trente-huit fois champion d'Uruguay, a remporté quatrie Coupes Intercontinentales, en 61 (contre Benfica), 66 (contre le Real Madrid) et 82 (contre Aston Villa). Le voyage au Japon lui a d'ores et déjà rapporté une victoire : économique. Penarol. en effet, gagnera pour l'occasion quelques grosses poignées de dollars et profitera sans doute du déplacement pour rentabiliser son titre de « campeon » (d'Amérique au moins et peut-être du monde) avec des mat-ches amicaux en Asie ou ailleurs. Ce qui contribuera sans doute à combler un peu le déficit énorme (1250000 dollars, soit plus de 7,5 millions de francs) qui est le sien. Et qui a décidé la justice à décréter la saisie de toutes ses recettes aux guichets !
Caps
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