Coppa Italia 1964 1965 Derby d'Italia Juventus Inter Milan

Finale
29 aout 1965

Juventus: Anzolin; Gori, Leoncini, Bercellino I, Castano, Salvadore, Dell'Omodarme, Del Sol, Traspedini, Cinesinho, Menichelli.  Allenatore: Heriberto Herrera.
Internazionale: Sarti; Burgnich, Facchetti, Bedin, Guarneri, Picchi, Jair, Mazzola, Peirò, Suarez, Corso.  Allenatore: Helenio Herrera.

Celtic Glasgow The Jock Stein Years

  One of the greatest ever Scottish managers, the blunt but visionary Stein managed Dunfermline and Hibernian in the early 1960s, moving to Celtic in 1965. He turned Celtic into one of the finest European teams, winning the European Cup in 1967, the first British club to do so, and losing Finalists in 1970. When he left the club in 1978, he had led them to ten Scottish league championship, nine Scottish Cups and six Scottish League Cups. After a brief spell at Leeds United, he took over as Scottish manager and oversaw 6  international games. He died from a heart attack immediatly after the Scotland v Wales World Cup qualifier, a game which assured Scotland a place in the 1986 World Cup finals.

Coupe des Clubs Champions 1978 1979 Nottingham Forest Fc Köln AR

Forest-Cologne, c'est le choc des titans ; l'assurance à peu près certaine, pour le vainqueur, d'inscrire son nom au palmarès de cette Coupe d'Europe tant convoitée ; l'affrontement de deux équipes orgueilleuses, dominatrices et sûres d'elles-mêmes ; le duel tactique de deux techniciens très supérieurs, Brian Clough et Hennés Weisweiler. Le courant ne passe pas très bien entre les deux hommes. Certains prétendent que leurs opinions politiques divergent trop pour que leur passion commune pour le football les réunisse. Brian est socialiste militant. Hennés affiche ouvertement son penchant pour la droite, et il a le tort de tout mélanger. N'a-t-il pas dit, à la grande fureur de l'autre : « Tout comme Clough, je ne crois pas aux entraîneurs démocrates. »

Primera Division 1981 1982 Real Sociedad FC Barcelone

7e journee
24 octobre 1981
Estadio Anoeta
San Sebastian


  Le pays» Basque sent la poudre. Politiquement et footballistiquement. En première division espagnole, Athletic Bilbao et la Real Sociedad de San Sébastian représentent Euskadi, la « nation » basque. Glorieusement : le premier a joué en 1977 la finale de la Coupe U.E.F.A. La seconde lutte cette année pour le titre de champion contre un adversaire aux moyens incomparablement supérieurs : Sa Majesté le Real Madrid. Tout le monde s'en étonne, sauf les Basques qui ont tout programmé pour ça. San Sébastian. 

Emilio Butragueño "Infosa Servicios"


 Emilio  Butraguegno appeared on the international scene just as the BBC were getting used to pronouncing the phonetic nightmare 'Severiano Ballesteros'. Proud as they were for finally getting to grips with the golfer's name, they had terrible problems with the new star from Real Madrid, insisting on pronouncing his surname 'Butragwaynyo'. In fact, they never got it right. The notoriously tongue-tied David Coleman was indeed happy to learn that the player's nickname was the 'Vulture' (el Buitre), and used the easier alternative whenever he was assigned to commentate on a game featuring Spain. The period best known and cherished by a large proportion of Madridistas, that of the Quinta del Buitre, is a curiously resonant one. The Spanish - not just the Madrid variety - have a curious penchant for naming eras and periods of time, as if they had some national need to all agree on what was happening, at any specific moment in time in I heir history. Since Real Madrid have set the template for Spanish football since the 1950s, their periods, as we have seen, have all been named, signed and rubber-stamped into folk consciousness. And of course the quinta appeared after a period of relative crisis at the club -like a new lover who benefits from the 'rebound'.

Primera Division 2011 2012 Real Madrid Espanyol Barcelone

4 Mars 2012
Santiago Bernabéu

   En conférence de presse, José Mourinho a été questionné sur divers sujets extra-sportifs tels que son voyage à Londres en début de semaine ou une possible altercation avec Gonzalo Higuaín. L’entraîneur du Real Madrid s’est montré très clair auprès des journalistes présents. « C’est le moment parfait pour ne pas parler de ce dont vous voulez que je parle. Je ne sais même pas pourquoi vous me posez de telles questions. Je ne pense qu’à l’Espanyol car c’est une grande équipe avec un grand entraîneur. C’est le plus important à l’heure actuelle. C’est une opportunité parfaite pour laisser un match de championnat derrière nous et de garder le Fc Barcelone à la même distance. Nous travaillons pour rester leaders jusqu’au dernier match. Voilà ce que nous faisons et nous allons continuer ».

Liga 2011 2012 Real Madrid Racing Santander

18 Fevrier 2012
Santiago Bernabéu


 Avec cette 20 e victoire en 23 matches, qui n’a souffert d’aucune contestation, les Merengue filent droit vers le titre, même si leur dauphin barcelonais peut réduire l’écart de points à dix, en cas de victoire sur le 3 e Valence (21 h 30), au Camp-Nou. Les Madrilènes, sans forcer leur talent, ont surclassé un Racing Santander sans inspiration, et qui s’est en outre vu lourdement pénalisé par l’exclusion assez sévère de son arrière gauche Cisma, à la 39 e minute. 

Coupe des Clubs Champions 1980 1981 Real Madrid Inter Milan AR

 On n'a pas tres bien compris, au moment du tirage au sort de ces demi-finales, la satisfaction de Boskov et des Madrilenes. Certes, l'Inter n'est pas au mieux de sa forme mais rien ne prouve, vraiment, qu'il soit plus malleable que les autres competiteurs. Le Real, en tout cas, a ses convictions que les autres n'ont pas forcement. Depuis deux mois, l'equipe de Boskov court sur les nuages, avec des ailes aux pieds. Elle qui comptait neuf points de retard en championnat, vient d'additionner six victoires et de recoller au peloton de tete. Elle est animee d'un feu sacre impressionnant, tout a fait comparable a celui du temps passe. «Une grande equipe est en train de naitre, affirme Boskov. C'est pourquoi, connaissant bien ses possibilites et ses limites, je la crois plus capable, sur deux matches, d'eliminer  l'Inter plutot que Liverpool ou le Bayern.»

Ligue des Champions 1991 1992 Finale Barcelona Sampdoria

Finale
20 Mai 1992
Wembley Stadium


 « Pour attaquer, il faut avoir le ballon. Si je l'ai plus souvent que l'adversaire, j'ai alors plus de chances de maîtriser la situation. Or, pour conserver le ballon, il faut que je sois le plus souvent possible dans le camp adverse. Ainsi, les joueurs de mon équipe sont plus proches les uns des autres et j'augmente les possibilités de passes. Sans compter qu'avec beaucoup de mes hommes dans la partie adverse, je peux multiplier les possibilités d'offensives franches et directes. Car, dos au but, chacun sait qu'un attaquant est forcément en état d'infériorité par rapport à un défenseur. » Voilà, pas très compliqué... En vérité, la méthode du Barça consiste à déployer son réseau offensif sur toute la largeur du terrain, de façon à éparpiller les défenseurs adverses et à les isoler au maximum en créant, à chaque fois, le surnombre. Pour parvenir à maîtriser ce système à la perfection, Johann Cruyff sait qu'il faut accélérer le jeu en multipliant les passes à une touche de balle. Habileté technique et vitesse d'exécution. 

Coppa Italia 1988 1989 Finale Sampdoria Napoli

Finale Retour
28 Juin 1989
Stadio Giovanni Zini Cremona

 Per riprendere il cammino verso i vertici del calcio italiano Paolo Mantovani punta su Vujadin Boskov. Scelta azzeccata perché Boskov, personaggio di caratura internazionale e di grande esperienza, si rivelerà l'uomo giusto per far maturare definitivamente i giovani talenti tino a quel momento non compiutamente espressi della Sampdoria. Il carisma dell'istrionico Vujadin conquista subito i giovani allievi. Colto, brillante, poliglotta (serbo, spagnolo, tedesco, olandese e italiano le lingue che sa padroneggiare). Boskov aveva lavorato come allenatore in Svizzera, in Jugoslavia, in Olanda, in Spagna e in Italia, all'A-scoli. Riportata trionfalmente in serie A la squadra presieduta dall'indimenticabile Costantino Rozzi, decìde di puntare in alto. I giocatori messigli a disposizione dal presidente Io accolgono a braccia aperte, il feeling è immediato. Le sue storie di calcio affascinano, i suoi melodi di allenamento, fantasiosi e imprevedibili rispetto a quelli di Bersellini, riescono a portare nell'ambiente blucerchiato una salutare ventata dì buonumore dopo i mugugni e le polemiche della stagione precedente. Il presidente si presenta sul mercato con rinnovato entusiasmo e cambia il volto della squadra. Via l'amatissimo Francis, dopo quattro stagioni segnate da rari lampi accecanti e da mille infortuni, via l'ormai demotivato Souness, via Bordon, che ha superato il traguardo delle 35 primavere, via anche Malleoli e il veterano Scanziani, via Calia, che entra in un'operazione con il Verona mirata a portare a Genova il gigante teutonico Hans Peter Briegel. Con il tedesco arriva l'allora trentunenne Toninho Cerezo, che la Roma considera un giocatore finito. Poco più di 500 milioni il costo del cartellino del regista brasiliano che si rivelerà fondamentale per le future imprese della Samp. Mantovani, però, decide anche una cessione clamorosa, sventata all'ultimo istante proprio dal diniego del diretto interessato, Gianluca Vialli. Il presidente ha ormai raggiunto l'accordo con il Milan. Alla Samp andrebbero 10 miliardi e il terzino Cimmino.

AS Roma Stagione 1991 1992

  Terminate le "notti magiche" dei mondiali si torna al lavoro con Ottavio Bianchi al comando. Entrano a far parte della famiglia giallorossa anche Carboni, Aldair e Carnevale, ma a metà campionato un luttuoso evento raggela la società. Muore il presidente Dino Viola, gennaio del '91, e la pesantissima eredità viene raccolta da Giuseppe Ciarrapico, sollecitato dal presidente federale Ma-tarrese. Che Roma avremo? Nascerà presto, se nascerà, un altro Dino Viola? Ancora con le lacrime agli occhi i giocatori riescono a centrare per la settima volta l'obbiettivo Coppa Italia, dopo aver battuto il Foggia, il Genoa, la Juventus, il Milan e la Sampdoria. Per poco non riesce l'impresa anche in Coppa Uefa. Nella doppia finale con PInter la Roma perde all'andata 2-0 e al ritorno il gol di Rizzitelli non basta per capovolgere la situazione. Giuseppe Ciarrapico si entusiasmae conferma l'allenatore con l'innesto in squadra del brevilineo Thomas Haessler, furetto di centrocampo. Il quinto posto di classifica è assicurato, ma sfuma la Coppa delle Coppe ai quarti di finale per colpa del Monaco. Capita. E l'entusiasmo presidenziale inizia ad affievolirsi come pure la stima per il tecnico in carica che per la stagione '92-'93 viene sostituito da Vujadin Boskov. È una virata giusta? Alcuni errori di gestione ed una campagna acquisti spregiudicata fanno tremare le fondamenta della società. 

AS Roma Stagione 1957 1958

 Il periodo di serenità viene subito turbato dall'acquisto del danese Bronée che, in combutta con Viani, crea non poche grane a Biancone il quale, dopo 25 anni di servigi, cede il posto a Renato Sacerdoti. Si cambia, sulla panchina si siede Mario Varglien e fa stagione sì conclude al sesto posto. La ricostruzione è già in atto, la Roma cerca scenari nuovi per dimenticare il passato, e nell'ultima giornata del 31 maggio 1953, la novità più gradita è l'esordio sul tappeto verde dell'Olimpico. Il valzer degli allenatori non grazia Varglien, sostituito dall'inglese Jesse Carver e nel frattempo indossa la maglia giallorossa Alcide Ghiggia, l'u-ruguayano che ha fatto esplodere il Ma-racanà con un gol al Brasile nella finale mondiale del 1950. Di classe ne ha molta, lo sanno bene gli avversari, ridicolizzati la maggior parte delle volte dalle finte brucianti del fuoriclasse. Non segna molto, ma manda in rete i compagni Pandolfìni e Bettini. La posizione di classifica è buona, come quella dell'anno precedente, sesto posto e 36 punti.