Monday, October 13, 2025
World Cup1982 Qualif France Holland
Match Retour
18 Novembre1981
Parc des Princes
Les Hollandais, à vrai dire, ne sont plus les monstres de la galaxie football, ceux qui faisaient trembler les mégalopoles en envoyant rouler vers elles une boule orange étincelante faite de onze métaux indestructibles. La génération prodigieuse est en train de s'éteindre à l'image de celui qui fut le plus grand de tous, Sa Majesté Johan Cruyff. Johan, justement, a des démangeaisons dans les chaussons. Il a passé son hiverau bord des canaux gelés, à tâter de la nostalgie et de la direction technique auprès d'Ajax. Pendant quatre mois, son téléphone n'a pas arrêté de sonner, perturbant les canards du domaine. «Voulez-vous jouer avec moâ?», sussuraient un club anglais (Arsenal), un club américain (Los Angeles), un club allemand (Cologne) et bien d'autres dans la foulée. Johan aime la liberté, son compte en banque suisse aussi. Son homme d'affaires lui ayant grignoté le pactole, il lui arrive de retourner à la mine pour pelleter quelques millions. Les temps sont durs pour les retraités, savez-vous !
World Cup Qualifs 1978 Bulgaria France
Groupe 5 1ere journee
9 Octobre 1976
Sofia Referee Mr Foote
Sofia, 9 octobre 1976. Une nouvelle équipe de France entame une nouvelle campagne pour une nouvelle Coupe du Monde. Loin de la phase finale et de ses feux télévisés, on ressent mal dans l'opinion l'importance de cette épreuve unique et le retentissement qu'elle peut avoir sur la vitalité d'un football national. Les joueurs, eux, savent. En 1974, les merveilleuses images du W.M. les ont emmenés dans la ronde. Depuis, ils font des rêves de tango argentin. Michel Hidalgo, qui connaît bien, et pour cause, les motivations et les ressorts des joueurs français est décidé à entrer rapidement dans le vif du sujet : « Je vais leur parler de gloire. De leur gloire. Je vais leur demander s'ils n'en ont pas un peu assez d'entendre chanter encore et toujours les mérites de l'équipe de France de 1958, celle de la troisième place en Suède. C'est à eux désormais de tourner la page et de reprendre la légende à leur compte.»
9 Octobre 1976
Sofia Referee Mr Foote
Sofia, 9 octobre 1976. Une nouvelle équipe de France entame une nouvelle campagne pour une nouvelle Coupe du Monde. Loin de la phase finale et de ses feux télévisés, on ressent mal dans l'opinion l'importance de cette épreuve unique et le retentissement qu'elle peut avoir sur la vitalité d'un football national. Les joueurs, eux, savent. En 1974, les merveilleuses images du W.M. les ont emmenés dans la ronde. Depuis, ils font des rêves de tango argentin. Michel Hidalgo, qui connaît bien, et pour cause, les motivations et les ressorts des joueurs français est décidé à entrer rapidement dans le vif du sujet : « Je vais leur parler de gloire. De leur gloire. Je vais leur demander s'ils n'en ont pas un peu assez d'entendre chanter encore et toujours les mérites de l'équipe de France de 1958, celle de la troisième place en Suède. C'est à eux désormais de tourner la page et de reprendre la légende à leur compte.»
World Cup 1974 Qualifying England Poland
Groupe 5 6e journee
17 Octobre 1973
Wembley Stadium
17 Octobre 1973
Wembley Stadium
"I have never seen a better performance at Wembley by a visiting goalkeeper." (Sir Alf Ramsey)
On a night of missed chances and extraordinary saves from Jan Tomaszewski, the Polish keeper labelled a "clown" on TV by Brian Clough, England saw Iheir World Cup hopes disappear at Wembley last night. They slumbled exhausted and heart-broken out of the competition after a 90-minute all-oul assault had failed to break d o w n Poland's grim determination.
On a night of missed chances and extraordinary saves from Jan Tomaszewski, the Polish keeper labelled a "clown" on TV by Brian Clough, England saw Iheir World Cup hopes disappear at Wembley last night. They slumbled exhausted and heart-broken out of the competition after a 90-minute all-oul assault had failed to break d o w n Poland's grim determination.
World Cup 1982 Italia Poland
Demie Finale
8 Juillet 1982
Camp Nou Barcelona
8 Juillet 1982
Camp Nou Barcelona
Comme il doit trouver le temps long, Zbigniew Boniek, qui suit la rencontre depuis les tribunes. Et comme il regrette sans doute ces mots avec l'arbitre qui, lors du match contre l'URSS, lui ont valu un second avertissement, donc une suspension automatique pour cette demi-finale. Commence-t-il déjà à étudier le jeu de ses futurs partenaires de la Juventus de Turin? Dino Zoff, immuable gardien de buts de la sélection italienne avec ses cent quatre capes - et qui n'a pas l'intention de raccrocher de sitôt malgré ses quarante ans -, Antonio Cabrini, maillon essentiel de ce «catenaccio» dans lequel Buncol et Lato viennent systématiquement s'enferrer; Caetano Scirea, libero de son état et patron de cette défense impériale qui a su si bien museler coup sur coup les deux géants sud-américains emmenés par leurs vedettes Maradona et Zico; Marco Tardelli, qui mène la danse en milieu de terrain et d'une efficacité redoutable même si on ne le voit guère; et enfin, enfin ... ce Paolo Rossi dont on ne cesse de lui rebattre les oreilles depuis ses trois buts homériques contre le Brésil. «Le coup de chance parfait», déclare l'attaquant polonais au journaliste malin qui lui demande à chaud ce qu'il pense du but marqué par l'avant-centre de la Squadra Azzurra à la 22e minute.
















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