Monday, April 19, 2021

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Supercopa Espana 2010 2011 "El Clasico" : Barcelona Real Madrid

Second Leg
Camp Nou Barcelona
17 August 2011

On commence aujourd'hui et on finira demain. Évidemment quand on a des supporters dans le monde entier, l'horaire remarquablement tardif d'un coup d'envoi est une donnée très relative. Barcelone reçoit le Real Madrid ce soir, à 23 heures, au Camp Nou, en match retour de la Super coupe d'Espagne (aller : 2-2), et pour certains aficionados de latitudes lointaines, ce sera l'heure du petit déjeuner. Mais en Europe, et même en Espagne, où les coups d'envoi tardifs épousent à la fois la recherche d'un peu de fraîcheur et la culture d'un pays qui passe à table beaucoup plus tard que les autres, c'est franchement tard, tout de même. En France, il suffira de veiller et de faire comme si ce jeudi à venir était tout aussi férié que le 15 août, lundi. Car ce n'est quand même pas un soir à aller se coucher. Ce feuilleton-là mérite d'être vu en intégralité : depuis le printemps, la rivalité a atteint un niveau d'intensité et une audience planétaire qui n'ont pas beaucoup d'équivalents dans l'histoire du foot. On ne savait pas trop quoi espérer de la première manche de la Supercoupe, dimanche, à Bernabeu, mais il y avait exactement les mêmes ingrédients que d'habitude : de l'intensité, des gestes techniques d'exception, des buts magnifiques et des tacles assassins. Il ne manquait qu'une chose, que le résultat a en partie cachée : une belle équipe de Barcelone.

Liverpool Hall Of Fame

 Ian St. John, Ray Clemence, Alan Hansen, and John Barnes give a personal view of what makes Liverpool the most consistently successful football club in the land. This hour long programme highlights the "Reds" memorable achievements over the last 25 years at home and abroad. The players talk about the background to their careers, reminisce about famous games and players, and enjoy, again, over 50 goals that show why Liverpool, and the players who represent the club are so special.

Liga 1996 1997 "El Clasico" Barcelona Real Madrid

Day 37:
10 May 1997
Nou Camp,
Barcelona

Barcelona :  Vitor Bahia; Ferrer, Nadal (Stoichkov, min. 23), Abelardo F., Sergi; Figo (Pizzi, min. 89),  De la Peña, Guardiola, Giovanni (Popescu, min. 16); Luis Enrique, Ronaldo.  (Entrenador: Bobby Robson)
Real Madrid. :  Illgner; Panucci, Alkorta, Hierro, Roberto Carlos; Víctor (Amavisca, min. 46), Redondo, Seedorf, Raúl; Mijatovic, Suker (Zé Roberto, min. 70).  (Entrenador: Fabio Capello)
Goal :     1-0 Ronaldo (44’)

Liga 2011 2012 : "El Clasico" Real Madrid Barcelona

9 December 2011
Santiago Bernabeu Madrid

Cette année, la pression du clasico est sur Barcelone, qui ira se mesurer samedi 10 décembre au stade Bernabeu à un Real Madrid "nouvelle formule" et leader, pour le choc entre ces deux monstres espagnols qui peut déjà s'avérer décisif pour le championnat d'Espagne. Le FC Barcelone, s'il perdait à l'occasion de cette 16e journée de Liga, se retrouverait en effet à six points des Merengue, ceux-ci comptant par ailleurs un match en retard par rapport aux Catalans, ce qui, dans le cas d'une victoire Merengue, porterait l'écart entre Real et Barça à neuf points. Ce clasico est donc lourd d'enjeux, d'autant qu'il charrie aussi tout le passif de la saison dernière, que le Real Madrid de cette année souhaite de toute évidence solder.

Bundesliga 1976 1977 Borussia Mönchengladbach Bayern München

11 Decembre 1976
Bökelberg Stadion Mönchengladbach


Berti Vogts prophezeite: "Wenn nichts dazwischenkommt, feiern wir irn März die Meisterschaft." Aber es kam allerhand dazwischen. Erst wurde Berti Vogts an der Leiste operiert. Prompt gab es die erste Niederlage - in Hamburg gegen den HSV mit 1:4. Das Fehlen von Berti, dem Kapitän, hatte die Borussen konfus gemacht. Keine Ordnung, kein System. Die Borussen spielten in Hamburg wie eine Schüler-Mannschaft: alle auf einem Haufen. Als der HSV gewonnen hatte, sagte Georg Volkert: ,,So leicht habe ich es als Stürmer noch nie gehabt." Eine Woche später kam auch Jupp Heynckes unters Messer. Meniskusoperation. Zuerst der beste Abwehrspieler, jetzt der beste Stürmer. Das Chaos war vollkommen. 0:4-Niederlage in Karlsruhe -gegen den späteren Absteiger. Kein Berti Vogts -die Abwehr war offen wie ein Scheunentor. Kein Jupp Heynckes — Borussen-Tore wurden Mangelware. Mit Heynckes hatten die Borussen in 14 Spielen 32 Tore (davon Heynckes 14) geschossen, ohne Heynckes kamen sie in 14 Spielen auf elf Treffer. Das sagt alles und beweist vieles. Das zeigt aber vor allem: Jede Klassemannschaft ist auf ein, zwei Klassespieler angewiesen. Bayern München ohne Beckenbauer und Maier? Kein Problem für den Gegner. Diese fünfte Meisterschaft wurde unter Palmen und Sonne in Santo Domingo in der Karibik geschmiedet. Als Berti Vogts 1976 las:"Das war Gladbachs letzte Meisterschaft", reagierte er so: „Wenn wir jetzt Meister werden, dann können wir alle stolz sein. Das ist eine Herausforderung für alle." Er hämmerte es allen ein. Doch nach dem fünften Titelgewinn gab Berti auch zu: „Den Schönheitspreis haben wir nicht gewonnen..."

Supercopa Espana 2010 2011 "El Clasico" : Real Madrid Barcelona

First Leg
Santiago Bernabeu Madrid
14 August 2011

Attendance 90 000 
Referee : M, Vittenes 

 
  Quand les socios sont en vacances et que la province énamourée prend ses quartiers d'été à Bernabeu, il flotte sur l'arène brûlante un air de stade du Sud, loin des habitudes assises et silencieuses des habituels propriétaires. Mais la ferveur blanche, absolument renversante à 22 heures, a parfois été renversée, un peu plus tard dans la nuit, après l'apparition de Messi, qui plane sur l'Espagne comme il plane sur l'Europe. Il n'y a que l'Amérique du Sud qui lui résiste encore, peut-être parce que le football argentin n'est plus son football. Ce n'était que la première soirée espagnole de la saison, et déjà il faut écrire sur Messi, accoler encore des mots, toujours des mots, les mêmes mots : on n'avait pas vu le prodige argentin pendant la première demi-heure, on imaginait qu'il avait encore du sable entre les orteils, mais il s'est occupé de tout le soir-même où son Barça n'aurait jamais pu se débrouiller tout seul.

Ligue des Champions 1992 1993 Spartak Moscow Marseille Aller et Retour

 Au bout du Parc Loujniki, il y a le Stade Lénine, et dans les allées du Parc Loujniki il y a des files ininterrompues de jeunes gens et de jeunes filles, comme des processions de fourmis, qui avancent vers le Stade Lénine. Tout à l’heure, ils seront au moins cent mille à se serrer les uns contre les autres sur le béton de gradins largement ouverts vers le ciel. Les plus fortunés d’entre eux ont déboursé la somme de 1 5 roubles pour pouvoir s’offrir une place couverte. Dans cette Union soviétique qui craque de toutes parts, 15 roubles, c’est beaucoup. Plus d’une journée de salaire. Mais à Moscou, le Spartak a la cote, surtout auprès des jeunes. C’est une équipe rock n’roll avec des cheveux longs et pas forcément des idées courtes. Une équipe comme on les aime dans la capitale de la Russie quand on y rêve de jeans et de guitares électriques. Oleg Romantsev, son entraîneur, n’hésite pas à faire confiance à des gamins qui ont encore le teint pâle et boutonneux des ados qu’ils étaient hier. Vingt-quatre ans de moyenne d’âge pour cette équipe du Spartak de Moscou qui ne sait rien ou pas grand-chose de l’OM, qui vient de pousser le grand Milan hors du train à grande vitesse qui fonce vers la finale de la Coupe des Champions. En URSS, le championnat fait relâche, et les bambins de Romantsev sont partis en tournée, comme le Bolchoï, pour alimenter les caisses du club en se produisant sur les terrains synthétiques japonais face à des formations qui balbutient un mauvais football. Il faut bien vivre, non ?...  

Ligue des Champions 1992 1993 FC Bruges Marseille

 Groupe A Journée 6

21 avril 1993

Jan Breydel Stadion Bruges

 

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