Wednesday, March 31, 2021
Tuesday, March 30, 2021
Monday, March 29, 2021
Ligue des Champions 2010 2011 Manchester United Shalke 04
Mercredi dernier, les lignes des centrales de réservation hôtelières de Londres ont été longtemps saturées. La veille, Man U avait fini par battre Manu (Neuer), avec deux buts en trois minutes de Ryan Giggs et Wayne Rooney, et, malgré la performance exceptionnelle du gardien allemand de Schalke 04, Manchester United a déjà quasiment son billet en poche pour fa finale du 28 mai à Wem-bley, à deux heures de train au sud. Statistiquement, Nemanja Vidic et ses coéquipiers ont 97 % de chances de le composter définitivement ce soir. Comment dès lors ne pas comprendre les certitudes du peuple rouge, déjà tout excité à l'idée d'une expédition dans un stade où, en 1968, les plus âgés d'entre eux virent George Best et Bobby Charlton leur offrir le premier des trois titres européens du club (4-1 a.p. contre Benfica) ? Bien entendu, c'est un discours prudent que l'on a entendu hier à Old Trafford. « L'Inter Milan a commis la folie de sous-estimer Schalke, et il en a payé le prix. Ne soyons pas assez idiots pour commettre la même erreur», a ainsi averti l'admirable Ryan Giggs.
Premier League 2011 2012 Tottenham Manchester City
Their first two games had already been won and an upbeat tone established for the season ahead but Manchester City's true statement of intent was delivered here. To beat Swansea and Bolton is one thing but to dismantle, even humiliate, Tottenham Hotspur at White Hart Lane is quite another. This expensively assembled team is already capable of appearing untouchable. A first league victory in this corner of north London in 20 years returned City to the top of the formative Premier League table but it was the manner of their success that will reverberate through the division. This club already felt comfortable enough in their strength in depth to loan Emmanuel Adebayor to Spurs, the team who had denied City a place in the Champions League 15 months ago. This was why.
Premier League 2011 2012 Norwich Sunderland
26 September 2011
Carrow Road Norwich
Referee: C. Foy
Attendance: 26107
If you'd wandered up to a Norwich City fan on the evening of August 8, 2009 and totd them they'd be rubbing shoulders with England's elite in two years, you may well have got a bop on the nose. That was the day Paul Lambert's Colchester thumped the Canaries 7-1 in their League One season opener -the worst home defeat in Norwich's 109-year history. Lambert became their boss soon afterwords, and promptly masterminded bock-to-back promotions. In fact, the club's biggest feat of the summer has been keeping Lambert at the helm, despite interest from the claret-and-blue clubs of both East London and the West Midlands.
Carrow Road Norwich
Referee: C. Foy
Attendance: 26107
If you'd wandered up to a Norwich City fan on the evening of August 8, 2009 and totd them they'd be rubbing shoulders with England's elite in two years, you may well have got a bop on the nose. That was the day Paul Lambert's Colchester thumped the Canaries 7-1 in their League One season opener -the worst home defeat in Norwich's 109-year history. Lambert became their boss soon afterwords, and promptly masterminded bock-to-back promotions. In fact, the club's biggest feat of the summer has been keeping Lambert at the helm, despite interest from the claret-and-blue clubs of both East London and the West Midlands.
Sunday, March 28, 2021
World Cup Qualifying 1994 France Bulgaria
Group 6
17 november 1993.
Parc des Princes,
Paris
Attendance: 48 402
Referee: M. Mottram
La prophétie de Sloîtchkov s'est avérée lumineuse. Le mois dernier, l'attaquant du Barça nous confiait qu'il rêvait souvent d'une victoire bulgare 2-1 en terre française. Sans doute n'avait-il pas envisagé un tel suspense et, pour les Bleus, un tel scénario catastrophe. Quarante-quatre minutes et cinquante-neuf secondes s'étaient écoulées en seconde mi-temps quand Emil Kostadinov, qu'on annonçait en petite forme à Porto, trompait Lama pour la seconde fois de la partie. Il ne restait pourtant qu'une seconde à résister. Une seconde! A priori une formalité, surtout lorsqu'on tient la qualification, qu'un nul suffit, et qu'on bénéficie d'un dernier coup franc à vingt secondes du coup de sifflet final, à proximité de la surface de réparation adverse. En pareille circonstance, des basketteurs avisés menant d'un point conservent la balle, la font circuler, hors de portée des mains contraires, avant de tenter l'ultime panier à l'ultime seconde.
17 november 1993.
Parc des Princes,
Paris
Attendance: 48 402
Referee: M. Mottram
La prophétie de Sloîtchkov s'est avérée lumineuse. Le mois dernier, l'attaquant du Barça nous confiait qu'il rêvait souvent d'une victoire bulgare 2-1 en terre française. Sans doute n'avait-il pas envisagé un tel suspense et, pour les Bleus, un tel scénario catastrophe. Quarante-quatre minutes et cinquante-neuf secondes s'étaient écoulées en seconde mi-temps quand Emil Kostadinov, qu'on annonçait en petite forme à Porto, trompait Lama pour la seconde fois de la partie. Il ne restait pourtant qu'une seconde à résister. Une seconde! A priori une formalité, surtout lorsqu'on tient la qualification, qu'un nul suffit, et qu'on bénéficie d'un dernier coup franc à vingt secondes du coup de sifflet final, à proximité de la surface de réparation adverse. En pareille circonstance, des basketteurs avisés menant d'un point conservent la balle, la font circuler, hors de portée des mains contraires, avant de tenter l'ultime panier à l'ultime seconde.
World Cup Qualifs 1978 Bulgaria France
Group 5, Day One
09 October 1976
Sofia
Referee Mr Foote
Sofia, 9 octobre 1976. Une nouvelle équipe de France entame une nouvelle campagne pour une nouvelle Coupe du Monde. Loin de la phase finale et de ses feux télévisés, on ressent mal dans l'opinion l'importance de cette épreuve unique et le retentissement qu'elle peut avoir sur la vitalité d'un football national. Les joueurs, eux, savent. En 1974, les merveilleuses images du W.M. les ont emmenés dans la ronde. Depuis, ils font des rêves de tango argentin. Michel Hidalgo, qui connaît bien, et pour cause, les motivations et les ressorts des joueurs français est décidé à entrer rapidement dans le vif du sujet : « Je vais leur parler de gloire. De leur gloire. Je vais leur demander s'ils n'en ont pas un peu assez d'entendre chanter encore et toujours les mérites de l'équipe de France de 1958, celle de la troisième place en Suède. C'est à eux désormais de tourner la page et de reprendre la légende à leur compte.»
09 October 1976
Sofia
Referee Mr Foote
Sofia, 9 octobre 1976. Une nouvelle équipe de France entame une nouvelle campagne pour une nouvelle Coupe du Monde. Loin de la phase finale et de ses feux télévisés, on ressent mal dans l'opinion l'importance de cette épreuve unique et le retentissement qu'elle peut avoir sur la vitalité d'un football national. Les joueurs, eux, savent. En 1974, les merveilleuses images du W.M. les ont emmenés dans la ronde. Depuis, ils font des rêves de tango argentin. Michel Hidalgo, qui connaît bien, et pour cause, les motivations et les ressorts des joueurs français est décidé à entrer rapidement dans le vif du sujet : « Je vais leur parler de gloire. De leur gloire. Je vais leur demander s'ils n'en ont pas un peu assez d'entendre chanter encore et toujours les mérites de l'équipe de France de 1958, celle de la troisième place en Suède. C'est à eux désormais de tourner la page et de reprendre la légende à leur compte.»
Saturday, March 27, 2021
FA Cup 1965 1966 Everton Sheffield Wednesday
Final
7 May 1966
Wembley Stadium,
London
Attendance: 100,000
Referee: Jack Taylor
The other club in the 'sleeping giant' category were Sheffield Wednesday. The Owls, like Everton, had not visited Wembley since the war and had been sustained for three decades by their thrilling 1935 victory over West Brom. Wembley apart, Hillsborough is arguably the most famous FA Cup venue, but in 1966 it didn't stage a single tie. Wednesday's far-flung route saw them visit Reading, Newcastle, Huddersfield and Blackburn, emerging victorious each time. Johnny Faniham, David Ford and Jim McCalliog provided the goals, but they lined up at Villa Park as underdogs in their semi-final against Chelsea. Tommy Docherty's side were keen to avenge their defeat at the same stage a year earlier but failed to cope with a heavy pitch. Graham Pugh and Jim McCalliog saw Wednesday home and Chelsea left Villa Park with that sinking semi-final feeling again.
7 May 1966
Wembley Stadium,
London
Attendance: 100,000
Referee: Jack Taylor
The other club in the 'sleeping giant' category were Sheffield Wednesday. The Owls, like Everton, had not visited Wembley since the war and had been sustained for three decades by their thrilling 1935 victory over West Brom. Wembley apart, Hillsborough is arguably the most famous FA Cup venue, but in 1966 it didn't stage a single tie. Wednesday's far-flung route saw them visit Reading, Newcastle, Huddersfield and Blackburn, emerging victorious each time. Johnny Faniham, David Ford and Jim McCalliog provided the goals, but they lined up at Villa Park as underdogs in their semi-final against Chelsea. Tommy Docherty's side were keen to avenge their defeat at the same stage a year earlier but failed to cope with a heavy pitch. Graham Pugh and Jim McCalliog saw Wednesday home and Chelsea left Villa Park with that sinking semi-final feeling again.
Friday, March 26, 2021
Copa America 1999 Brasil Uruguay
18 July 1999
Estadio Defensores del Chaco Asuncion
Attendance : 40 000
Referee: M. Ruiz (Colombie)
Excédés par les cadences internationales, les multiplications de compétitions, les saisons trop longues (à quand une uniformisation des calendriers?), de nombreux joueurs sud-américains exilés en Europe ont décliné l'invitation, avec l'accord de leur Fédération. L'Argentine (Batistuta, Veron, Sensini, Claudio Lopez, Crespo) est la plus touchée. Certains, comme l'Uruguay (Fonseca, Montero, Recoba...) ou le Brésil ont choisi de profiter de ce tournoi pour relancer certains joueurs (Ronaldo?) et donner un peu d'expérience internationale à quelques espoirs, habituellement barrés par les stars internationales. D'autres, encore, n'ont que faire de tout cela. Fierté nationale en bandoulière, Paraguay ou Chili n'ont qu'un but avoué: la gagne! "Basta!» José Luis Chilavert a clamé haut et fort son mécontentement. Convaincu d'une forte présence "Oviediste" au sein de sa Fédération, le gardien-buteur du pays hôte, sous le coup d'une suspension de treize mois décrétée par les tribunaux de la federation argentine, a préféré renoncer et choisi de vivre «son» tournoi à travers une chronique hebdomadaire dans le Noticias, un quotidien national. «Basta!» Un mot d'ordre repris par Carlos Roa, un autre gardien mondialiste. Fatigué du mercantilisme en vigueur dans le football mondial, l'ex portier argentin du Real Mallorca, membre de l'Eglise évangéliste du septième jour a opté définitivement pour une autre voie, une autre foi dispensée par le Tout-Puissant... Vitres et capots dégueulant de drapeaux tricolores, en cette fin juin, le peuple paraguayen a d'autres convictions, d'autres envies. Aux cris de «Forza albirroja», il souhaite pousser les siens pour la troisième fois sur le toit du continent, sous l'œil bienveillant d'un omniprésent géant rouge appelé Coca, (celui qui fait pschit!).
C1 1987 1988 Real Madrid Porto Both Legs
Porto, champion d'Europe 1987 grâce au magicien Madjer (souvenez-vous de sa talonnade) est un gros gâteau partagé en plusieurs parts au début de la saison 87-88. Son entraîneur Artur Jorge, considéré comme le détonateur de l'aventure, a été engagé par le Matra-Racing à un salaire de ministre (américain), deux cent mille francs par mois, dit-on. Paolo Futre, le dribbleur électronique, n'a pas pu résister aux millions de pesetas brandis par Jésus Gil (qui n'est pas un saint) et l'Atletico de Madrid. Son club non plus d'ailleurs, qui touche nettement plus d'un milliard de centimes pour conclure l'affaire. Madjer lui-même est démangé par l'horizon, en contact avec le Bayern, Tinter, Barcelone, les autres. L'ambiance, à Porto, est à la dispersion des hommes et des idées. Heureusement pour Porto, ses dirigeants engagent le technicien yougoslave Ivic qui, s'il n'a pas l'adhésion et le quorum chez tous les gens du spectacle, est un homme de football, un renard, un pragmatique.
Thursday, March 25, 2021
League Cup 1975 1976 Manchester City Newcastle United Finale
28 Fevrier 1976
Wembley Stadium London
resume
Ftb.Lg.1976.Fin..MCity.Newc.Twb22.Resume.mkv
412.7 Mo
https://uptobox.com/59jdfs4c5d7x
https://uptostream.com/59jdfs4c5d7x
The 1976 Football League Cup Final took place between Manchester City and Newcastle United on 28 February 1976 at Wembley Stadium. It was the sixteenth final and the tenth Football League Cup final to be played at Wembley. Manchester City won the match 2–1 to win the competition for the second time. The match is best known for its winning goal, an overhead kick by Dennis Tueart.