Alex Ferguson A decade of Glory 1986-1996

  Sir Alex Ferguson had to walk a long, hard road to become the most successful Manchester United manager of all time. He was born in Glasgow's shipbuilding district of Govan in 1941 and, after leaving school the teenage Ferguson joined the tens of thousands of men who laboured in the yards, as an apprentice welder. But the boy was also turning out for Glasgow's famous amateur club, Queen's Park, and his prowess as a centre-forward outshone his ability with a welder': torch, and he was soon signed on as a professional by Perth's St Johnstone in 1960. After four years there he was snapped up by Dunfermline Athletic, who were at the time one of Scotland's elite dubs. But a boyhood dream came true in 1967 when Rangers, the team he had supported all his life, paid £65,000 to take him to Ibrox. The move did not work out well. Ferguson gained a reputation for truculence, a trait which landed him in trouble with team-mates, opponents, referees and the Rangers management. He was showing early signs of the single-mindedness that would make him such a formidable manager, but at this stage his intransigence saw him transferredto Falkirk, where he had a taste of coaching, and later to Ayr United. Ferguson took his first steps as a fledgling manager at East Stirling in July 1974, but after making an early impact there he was given the chance to manage a bigger club, St Mirren, in Paisley on the outskirts of Glasgow. 

Best And Marsh Their Greatest Games

George Best and Rodney Marsh, two of the most talented and famous footballing names of the seventies, talk us through memorable highlights of their immortal heyday. They begin with their own brilliant individual skills, with Best's goal feast against Northampton, a Marsh hat-trick for Q.P.R. and then both of them performing their magic for Fulham.This is followed by a look at goalkeepers with Best and Marsh perhaps the best qualified to assess the relative abilities of the likes of Banks and Jennings, as save after miraculous save shows what a force these men were.
The debate about teams and managers uses exciting and nostalgic film of the contrasting dough's Derby County and Revie's Leeds sides, with dough's ability to lift an ordinary team to extraordinary heights, and Revie's machine which ground out an endlessly attritional football formula. The final discussion is reserved for the special place Liverpool holds in English football, with classic clips of their great teams of the 70"s with wave after wave of Keegan, Hughes, McDermott, Dalglish et al as they irresistibly crush the opposition, including a quite astonishing 7-0 demolition of a talented Spurs side.

Leeds United Whites in Washington

  In this special edition of The White Video, we follow Leeds United all the way to the United States. On the field, United take on Columbus, leaders of the USA's Major League, and Washington. There's highlights of both games, plus interviews with club captain David Wheteral, newsignings   Pierre Laurent and Derek Lilley, Lee sharp and David O'Leary. But the most memorable moments are off the field as we tour the US Capital and seethe sights along with the lads, who reveal musical talents you never dreamed of in your worst nightmares!

Celtic's Uefa Cup Journey "The Road To Sevilla"

 Déjà victorieux à Liverpool (2-0), au tour précédent, après avoir été tenu en échec à l'aller à Glasgow (1-1), le Celtic a  récidivé en demi-finale. Cette fois, c'est Boavista qui en a fait les frais! Grâce à l'incontournable Henrik Larsson, les  «Bhoys» se sont imposés à Porto 1-0, privant du même coup le football portugais d'un derby inédit en finale à Séville. Car,  ans l'autre match, le FC Porto a réussi le tour de force de bouter hors de l'épreuve une Lazio aux abois. Victorieux lors  de la première manche à Das Antas (4-1 ï, les partenaires de Vitor Baia n'ont pas tremblé à Rome, se contentant du nul  (0-0), après que le portier lusitanien eut notamment repoussé un penalty. Le 21 mai, sur la pelouse du stade Olympique de  Séville, il faut d'ores et déjà se préparer à suivre le somptueux duel entre les deux meilleurs réalisateurs de l'épreuve  (9 buts chacun), Henrik Larsson, côté Celtic, et Derlei, dans les rangs de Porto. Mais s'il paraît difficile de dégager un  quelconque favori pour la victoire, une chose est sûre   . néanmoins: personne ne devrait être déçu par le spectacle. Sur  le terrain bien entendu, mais aussi en tribunes. Car pour l'ambiance, on compte évidemment sur les bouillants supporters  des «Dragons», mais aussi et surtout, sur la turbulente et sympathique marée «verte et blanche» de Glasgow qui déferlera  sur la cité andalouse. 

Coupe des Coupes 1979 1980 Final Valencia Arsenal

Finale
14 Mai 1980
Heysel Stadium


Image de la désolation et du courage mal récompensé que celle de Graham Rix, planté sur la pelouse du Heysel et regardant fixement le point de penalty, d'où venaient de s'envoler les espoirs des canonniers d'Arsenal. Image de la contradiction, aussi, de voir le meilleur joueur de cette finale échouer sur un geste technique réalisé et réussi des centaines de fois. Enfin, l'image de la solidarité, que cette course du capitaine anglais Rice entraînant avec lui tous ses coéquipiers pour venir récupérer Graham Rix, qui ' s'était mis à pleurer au milieu de la suface de réparation. Car, s'il est vrai que tout au long de cette finale, il ne s'est pas passé grand-chose de palpitant, la faute n'en revient certainement pas aux joueurs d'Arsenal, qui ont cru jusqu'au bout que le destin allait pencher du côté des plus méritants. 

Coupe des Clubs Champions 1986 1987 Final FC Porto Bayern München

Finale
27 Mai 1987
Prater Wienn

 La finale de la Coupe des Champions 1987 vient de s'achever. Les joueurs du F.C. Porto sous la conduite de leur capi-taine Joap Pinto qui refuse de se dessai-sir du precieux trophee, en ont termine avec leur tour d'honneur. Au centre du terrain, les Munichois effondres ont observe la scene de loin. La tete dans les mains, Jean-Marie Pfaff n'en revient pas encore. Et c'est alors que se produit la scene la plus sympathique de cette formidable soiree. Alignes en rang d'oignons, a quelques metres de la ligne de louche el face a la tribune d'honneur, les joueurs de Porto recjoivent l'hommage de leurs adversaires qui defilent devant eux en leur serrant la main. Plus qu'une cere-monie, ce geste represente la victoire du football.

Coupe des Clubs Champions 1986 1987 Dynamo Kiev Fc Porto

Demie Finale Retour
22 Avril 1987
Respublikanskiy Stadium Kiev

 Mai 1984 à Bale: en finale de la Coupe d'Europe des Vainqueurs de Coupe, le F.C. Porto s'incline 2-1 face à la Juventus de Turin. L'équipe portugaise est vaincue, mais elle séduit le public par son football collectif et offensif. Quelques semaines plus tard, plusieurs de ses joueurs se retrouvent en France et se distinguent lors de l'Euro 84. Après l'ère Benfica, le football lusitanien est entré dans l'ère Porto. Pour le club du Nord du Portugal, la finale de Bale marque l'arrivée au sommet du football continental. Beaucoup d'observateurs sont cependant sceptiques : ils se demandent s'il ne s'agit pas seulement de l'un de ces épisodes « pittoresques » dont les Coupes d'Europe sont friandes avec l'intrusion de « petits » dans la cour des « grands ». C'est mal connaître le pouvoir économique du F.C. Porto, qui joue régulièrement à Amas devant 50 000 spectateurs, et peut ainsi se permettre de recruter ce qui se fait de mieux sur le marché portugais. C'est ignorer aussi la force essentielle de cette équipe : des principes de jeu favorisant une progression constante. 

Coupe des Clubs Champions 1978 1979 Glasgow Rangers FC Köln

Quart de Finale Retour
22 Mars 1979
Ibrox Park Glasgow


 Le souhait de Brian Clough est exaucé. Non seulement son équipe n'est pas appelée à rencontrer les Rangers mais c'est Cologne, autre favori de l'épreuve, qui va subir le feu des Écossais en quart de finale, au mois de mars. Hennés Weisweiler, l'entraîneur du club allemand, n'en est pas particulièrement enchanté. C'est un vieux monsieur aux grosses lèvres lippues qui pourrait avoir confiance en soi : il a fait de Moenchengladbach, en son temps, l'une des deux meilleures équipes allemandes ; et il a recommencé avec Cologne en obtenant le doublé Coupe-Championnat 1978. Mais Cologne ne va pas très bien : son équipe est à dix points de Kaiserslautern en Bundesliga, et son attaque n'a marqué que 28 buts en vingt matches. Pour exprimer sa désillusion, Weisweiler a repris à son compte la boutade d'Einstein : «II était une fois des scarabées qui vivaient sur une boule. Ils ne le savaient pas. Moi je suis le scarabée qui s'en est aperçu. »