Monday, May 22, 2023
DFB Pokal 1968 1969 Bayern München Schalke 04
Der Favorit hat gewonnen. Bayern spielte trotz der Hitze kùhl und tat nur so viel, wie zum Sieg nôtig war. Und das reichte.
Die Bayern redeten sich vor dem Spiel ein, dafl sie besser aïs die Schalker seien. Deshalb fiihlten sie sich stark, so stark, dafi sie nicht immer gut ge-nug spielten, jedenfalls nicht so gut, wie sie eigentlich sind. Ihr SelbstbewuCtsein iiberschritt in der ersten Halbzeit die Grenzen des Leichtsinns. Da spielte Pumm nicht wie ein Professer, sondern wie ein famulus, HeB sich viermal in der Nahe des eigenen Straf-raums den Bail abnehmen, sucht sich mit Schwarzenbeck den fal-schen Partner zu einem Spielchen im eigenen Strafraum. Trotzdem ging die Bayern-Rèch-nung unter dem Strich auf. So genau wie die Rechnung der Amerikaner beim Raumflug. Mit dem Schluflpfiff lag der Bail vor Beckenbauers FuB. Dann machte der eiskalte Rechner Beckenbauer einen entscheidenden Fehler. Er hob den Bail auf und reichte ihn Schiedsrichter Helmut Fritz. Wo doch die Bayern versprochen hatten, den Bail nach Hause zu brin-gen! Kapitàn Olk und Gerd Mùller starteten noch schiichterne Versu-che, den Bail wieder zu bekommen, doch Helmut Fritz gab das Geschenk nicht zuriick...
DFB Pokal 1970 1971 Bayern München FC Köln
19 Juin 1971
Neckarstadion Stuttgart
Neckarstadion Stuttgart
Ganz klare, dicke Striche sind gezeichnet: Bayern München ist im Finale der Superfavorit und der 1. FC Köln ein Außenseiter im Miniformat. Der Skandal lahmt die Mannschaft, denn Manfred Manglitz steckt ja mittendrin, und das neutrale schwäbische Publikum empfängt die Mannschaft vom Rhein denn auch mit einem Pfeifkonzert. „Als ob wir was dazu könnten ...", beklagt sich Wolfgang Overath, Die Münchner sind mit 15 000 Schlachtenbummlern ins Neckarstadion gezogen. Ihr „Bayern, Bay-ern" beherrscht die Szene. Die 5000 Kölner fallen kaum auf. Und die Partie beginnt, als wenn sich die Bayern keine Zeit lassen dürften. Ein Sturmlauf, wie er im Buche steht. Angriff auf Angriff. Beckenbauer im Mittelfeld, als wenn er Ankurbler vom. Dienst und nicht der Libero wäre.
Charity Shield 1979 Liverpool Arsenal
The Charity Shield
match was between 1978/79 Football League champions, Liverpool, and
1978/79 FA Cup winners Arsenal.It was business as usual at Wembley as
Liverpool continued where they had left off at the end of the previous
season by once again illustrating why they were regarded as the best
team in England.This
time Arsenal were the victims as Bob Paisley's ruthless winning machine
produced a performance that must have chilled every topflight manager
to the bone with a crushing 3-1 success.New signing Avi Cohen watched on
from the bench and must have wondered if we would ever get a game as a
Terry McDermott double and one from Kenny Dalgish left the FA Cup
winning Gunners soundly beaten.Not even a consolation goal from cup
final hero Alan Sunderland could raise Arsenal spirits as the Reds ran
out worthy winners.As the full-time whistle blew to bring a welcome end
to the Londoners' misery, Liverpool stepped up to claim their fourth
Charity Shield outright.It would set the tone for the remainder of the
season as the Reds surged to yet another League Championship, with
McDermott picking up both the PFA and Football Writers' Player of the
Year awards.
FA Cup 1987 1988 Wimbledon Liverpool
Il y a des légendes qui se construisent à grands coups de courage et d'obstination. Celle de Wimbledon est née de ces deux sentiments lors d'un après-midi de mai, sur cette pelouse de Wembley où les plus aristocrates des aristocrates anglais pourraient pique-niquer sans même déplier une nappe tant ce tapis naturel égale les meilleures moquettes de Buckigham. Cent quarante horse guards pour accompagner l'hymne de la Coupe « Abide with me » (restez à mes côtés) puis pour jouer le «God saye thé Queen » sous le regard de la princesse de Galles, Lady Diana, face à face dans un ordre impeccable, les équipes de David Wimbledon et Goliath Liverpool. Spectacle grandiose dans une ambiance de fête que seul le sport anglais sait générer. Liverpool arrivait pour cette Cup avec son dix-septième titre de champion d'Angleterre en poche, avec le meilleur joueur anglais, Barnes, le meilleur buteur, Aldridge, le meilleur coach, Kenny Dalglish. Pour lui donner la réplique, le F.C. Wimbledon sans titre et sans médaille.
FA Cup 1976 1977 Liverpool Manchester United
Wembley Stadium
21 Mai 1977
21 Mai 1977
Peu avant que les deux équipes ne furent officielle-Iment présentées au Duc de Kent, Stewart Houston, le défenseur écossais de Manchester, avait longé la pelouse de Wembley. Pour répondre aux marques de sympathie, il salua le public en s'aidant de ses béquilles. Il semblait calme et n'osait peut-être pas trop espérer que son équipe, quatre-vingt-dix minutes plus tard, ferait oublier sa déconvenue contre Southampton, l'an passé, lors de cette même finale de la Coupe d'Angleterre. Tandis que les virages du stade, tous deux rouges de drapeaux et de banderoles, rivalisaient de la voix à l'entrée des joueurs, on mesurait les chances de chacun des adversaires. On affirmait que Liverpool ne perdait jamais deux mat-ches consécutivement ; or les diables rouges venaient de s'incliner contre Bristol Rovers... On remontait aussi l'histoire du football anglais pour constater que, depuis 1906, aucun club n'avait perdu la Cup deux années de suite, sauf, précisément, Manchester United, en 1957 et 1958.
Manchester United The Inside Story
Here we go! For the first time we take you behind the scenes at Manchester United, the best known football club in the world. Follow the United stars through a training session as they prepare for a big game. See how they relax away from the pressures of modem day football. Travel on board the Manchester United team coach and see how Alex Ferguson and his backroom staff prepare for an important fixture. Join the players for the pre-match meal and in their hotel rooms. Eavesdrop on a board meeting at Old Trafford and hear from the men who make United tick. Chief Executive Martin Edwards talks about plans for the future. Director Bobby Charlton remembers the great days of the '50s and '60s. Manager Alex Ferguson moves into the transfer market to sign new players. You'll also see another side to Manchester United when we visit the Centre of Excellence and talk to the youngsters who are aiming for the top, discover how the club's scouting system works and look in on a special dinner in Old Trafford's Executive Suite. The Inside Story takes you where cameras have never gone before to affer you a unique souvenir of your favourite club, that plus top action from United games. The programme also includes top football action. Manchester United
is reputed to be the most popular football club in the world, with the
highest average home attendance in Europe. The club's worldwide fan base
includes more than 200 officially recognised branches of the Manchester
United Supporters Club (MUSC), in at least 24 countries. The club takes
advantage of this support through its worldwide summer tours.
Accountancy firm and sports industry consultants Deloitte estimate that
Manchester United has 75 million fans worldwide, while other estimates
put this figure closer to 333 million.
Manchester United A Decade of Action
Ron Atkinson arrive au club et immédiatement bat le record des transferts britanniques en achetant Bryan Robson, qui est censé être le meilleur milieu depuis Duncan Edwards. L'équipe d'Atkinson contient aussi Jesper Olsen, Paul McGrath et Gordon Strachan et des joueurs formés au club Norman Whiteside et Mark Hughes. MU gagne la coupe d'Angleterre en 1985, après l'avoir perdu en finale en 1983, et il devient favori pour gagner la championnat en 1986 après dix victoires lors des dix premiers matches, MU ne finira que quatrième. Après un mauvais départ l'année suivante, Atkinson est renvoyé avant la fin de la saison.
Alex Ferguson arrive d'Aberdeen FC pour remplacer Atkinson et mène le club à la onzième place. La saison suivante en 1988, MU finit vice-champion, avec Brian McClair qui devient le premier joueur depuis George Best à marquer 20 buts en championnat dans une saison. Cependant, MU est à la peine les deux saisons suivantes. Alex Ferguson est sur le point d'être renvoyé en 1990 mais sera sauvé par un but de Mark Robins donnant à MU une victoire au troisième tour de la coupe d'Angleterre contre Nottingham Forest. L'équipe continue à gagner et remporte la coupe contre Crystal Palace. Manchester gagne la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe en 1991, battant les champions d'Espagne du FC Barcelone en finale. En manque de forme la saison suivante, le club termine à la seconde place du championnat derrière Leeds United. En 1991, le club se met en bourse pour une valeur de £47 millions.Primera Division 1993 1994 Barcelona Atletico Madrid
28e journee
Nou Camp
Dans la préface de son livre, "Mis futbolistes y yo", Johan Cruifff dresse va portrait flatteur de Pelé, "le plus proche de la perfection». Son livre, qui démarre par un hommage à Romario, consacre quelques pages à Maradona qu'il a longtemps considéré comme le meilleur au monde. «Mais il avait une dette envers le football qu'il n'a jamais soldée, (...) & quand je vois qu'il propose parfois de s'entraîner seul durant la semaine et de jouer chaque dimanche, je reste perplexe." Selon lui, Di Stefano était 'tout proche de Pelé» et la plus grande qualité de Beckenbauer consistait à "prendre toujours la meilleure décision pour l'équipe». Crvifff, qui vante «la sobriété de Zubixarreta», admire beaucoup van Basten qu'il souhaiterait pourtant "plus humain» et teejrctte son caractère "aigre» qui "l'a rendu un peu antipathique». Comme l'auteur, Michael Laudrup est «un amoureux fou du football» qui, malheureusement, «n'est jamais à 100 %», Koeman «un gagneur, froid, calculateur». Quant à Stoichkov, en dépit de ses qualités et de sa vitesse, «il doit prendre en compte qu'il n'a qu'une seule jambe, la gauche». Avant d'achever son ouvrage sur un tableau exhaustif de son effectif actuel, Cruijff avoue trouver Michel plus fort que Lentini et reconnaît à Zico «un pur talent, un toucher de balle magistral et un sens du but extraordinaire». Cent trente pages éhgieuses, critiques, parfois très sévères. Du Cruijff dans le texte.